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 In Gods We Trust : La retraite flamboyante de Dieter Lesmack

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Narsis
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Sam 11 Fév - 21:19

- La retraite flamboyante de Dieter Lesmack -



"Mes enfants, je vous le promet, je compte passer une retraite tout a fait tranquille.." Dieter Lesmack


Le petit village de Bois-sans-Feuille étais reclus au fin fond d'une vallée, a l'extrême Sud du Comté de Beetletun. Si on se demandais a quoi pouvais ressembler le trou du cul de la Kryte, Bois-Sans-Feuille apportais la réponse. Une petite communauté de quelques centaines d'âmes, isolé de la plupart des problèmes du monde. Accessible par une bonne grosse journée de batelier, même les Dieux avaient dut oublié de penser a cet endroit, tant il ne s'y passais jamais rien.

C'est ici, dans une vaste cabane forestière a l’écart, que vivais la famille Lesmack. Le Père, Dieter Lesmack, étais un Répurgateur de l'église de Dwayna a la retraite. Son fils aîné, Savarah Lesmack, Répurgateur en activité, passais de temps a autre. Son second enfant, Lilly Lesmack, étais Bourgmestre de Bois-Sans-Feuille. Elle étais mariée a Hervé, Hervé Lesmack, qui portais le nom de son épouse car "Ca ne le dérangeais pas". Hervé étais comptable a la Mairie du village, un metier a la hauteur de son absence d'ambition et de caractère. Le couple avait deux jeunes garçon, Jerry et Nathan, deux gosses turbulent de 7 et 8 ans, qui n'attendaient qu'une chose : Devenir Répurgateur comme leurs Grand-Père et leur Oncle, et ainsi perpétuer la tradition familiale. Ensuite, il y avais Khalys, une somptueuse prêtresse élonienne, compagne de l’aîné, Savarah, qui logeais un temps a Bois-Sans-Feuille et qui avais été rapidement accepté par la famille (Bien plus rapidement qu'Hervé, a vrai dire). Et pour finir, il y avait le cadet de la Fratrie Lesmack, Adrien, simple d'esprit mais adorable. Adrien faisait les travaux de labeurs au village, il apportais du bois et des vivres aux personnes vieillissantes, il aidais les ouvriers municipaux en portant les matériaux de construction, et a la belle saison, il aidais les paysans pour les moissons ou les vendanges. Ainsi, malgré son handicap, Adrien étais plutôt bien vu par la communauté pour sa capacités de travail et son dévouement.

S'étais un jour comme un autre au village, chacun vaquais a ses occupations dans cet étrange monde parallèle ou rien n'étais jamais bousculer. Dieter Lesmack, du haut de ses 75 ans, marchais d'un pas dynamique et enjoué vers le petit lac, proche du village. Avec sa canne a pèche et son panier a casse-croûte, le vieil homme très souriant traversais la communauté avec son sourire radieux. Ses long cheveux gris, sa barbe affinée en pointe et ses moustache rebiquée, lui donnais des airs de mousquetaires. Et a vrai dire, tout le monde savais bien que le vieil homme maniais bien mieux la rapière, que la canne a pèche.
Mais il avait choisis de prendre sa retraite il y a dix ans, lorsque son fils aîné avais reprit le flambeaux. Fini les chasses aux monstres, fini les chasses aux sorcières, après un palmarès impressionnant qui forçais le respect, Dieter Lesmack se consacrais essentiellement a sa vie de famille, et a des loisirs un peu cliché pour un vieil homme.

Il n'aimais pas la pêche, mais entre les abrutis du club du troisième age, et la compagnie de son beau fils Hervé, tout ses poissons qu'il n'attraperais pas étais de bien meilleur compagnie. Et puis s'il avais un peu de chance, peut être que quelques centaures égarés passeraient prés du village, ou qu'un minotaure enragé menacerais les cultures. Dans ses cas de figures, les villageois venaient toujours le voir, lui. Et il pourrais alors faire une belle prise, tout en disant a ses enfants : "J'y suis pour rien, j'étais juste la par hasard"

Mais le hasard fut bien plus généreux avec le vieil homme ce jour la, alors que son hameçon sans asticot flottais dans l'eau, il aperçu une barque en approche du village. S'étais anormal, pour une simple raison, le batelier ne faisait la navette entre Beetletun et Bois-Sans-Feuille que les Mardi et les Jeudi.. Et on étais Samedi.
Dans la plupart des villes du monde, le groupe de fanatique du Blanc-Manteau aurait réussi une approche très furtive.. Mais dans un bled comme Bois-Sans-Feuille, les gens comprirent en un temps record que quelque chose clochais. Dieter laissa la canne a pèche sur son trépied, il ouvrit son panier a casse-croûte pour sortir son revolver de 9mm, et sortis de son étuis a canne a pèche, sa fine rapière aiguisée qu'il accrocha a sa ceinture. Le vieil homme se désintéressa vite de son objectif initial pour voir s'il trouverai de plus gros "poisson".

Dans la barque, ils étaient quatre. Une envoûteuse Blanc Manteau, et trois guerrier. Leur mission étais d'une simplicité enfantine : Aller piller des villages isolés du Comté pour récolter des denrées pour l'action a venir. L’envoûteuse briefais les gars :
-"Bon, je récapitule. On tue ceux capable de se battre ou qui s'interpose. On remplie l'embarcation un maximum de bouffe et de bois. On désarme les pecnots restant. Et surtout, on leur fait bien comprendre qu'on reviendra se servir très bientôt. Comprit ?"

Les soldats acquiescèrent a leur supérieure, a moitié concentré, après tout, s'étais qu'un bled d'abrutis. Dans le pire des cas, il y aurait juste deux/trois chasseurs a laminer.

La petite équipe débarqua sur les quais, leurs tenue étais discrète, pas de signe d’allégeance trop visible, bien que leurs armes étaient néanmoins visible. Ils s'approchèrent doucement d'un villageois qui semblais affairés, non loin. Un des guerrier le regarda et l'interpella :
-" Hey ! toi, la ! Ou est le grenier du village ?"
Le villageois répondis d'un ton un peu surprit :
-" Bah pourquoi ?"
Un autre guerrier grimaçais avant de prendre un air un peu plus tendu :
-"Répond nous. Si tu veut pas avoir de problème"
Ils furent interrompu par un vieu pécheur qui s'étais approché :
-"Didonc, la politesse, c'est pas votre truc.." leur dit d'un air souriant, Dieter Lesmack.
Le quatuor se tourna vers l'ancien, visage fermés. L’envoûteuse grinça des dents avant d'ajouter :
-"Ferme la vieu débris ! Ou sont les greniers ?.."
Les guerriers sortirent leurs armes, prenant des poses visiblement destinés a impressionner.
Le vieil homme eut comme seule réponse, un rire franc. Le villageois s'en allais vers le village, sentant le grabuge arriver. Dieter Lesmack riais en frisant un coin de sa moustache nonchalamment. On voyais au comportement du vieil homme, qu'il voulais justement que ca dégénère, comme s'il l’espérais au fond de lui. Il ajouta :
-"Quel dommage que vous ne soyez que quatre !" fit le vieil homme d'un ton de provocation "Moi qui espérais un combat équitable.. J'en suis navré pour vous, jeunes gens !"
Puis l'ancien rigolais de nouveau, a gorge déployée. Si il y avait un second domaine, mise a part le combat, que Dieter avait élevé au rang d'Art, s'étais sans hésiter la provocation de ses adversaires.
L’envoûteuse grinça des dents et dit d'un ton froid a ses hommes :
-"Butez le !"

Ca y est, après des années d'attente, enfin, Dieter étais assaillis par un groupes de malandrin. Le vieil homme sortis sa rapière avec un sourire comblé. Il l'avait un peu provoqué, c'est vrai.. Mais après tout, qui le saurai vraiment ? Et puis, ca se voyais qu'ils venaient dans de mauvaises intentions.. S'étais pas vraiment sa faute a lui.
D'un geste souple, alors que les trois guerrier lui fonçaient dessus, Dieter mit un coup de pied dans un panier de crabe pour l'envoyer sur eux. Et ca marchais ! Les premiers assaillants perdirent leurs garde juste pour ca.. Dieter étais un peu déçu, mais pas grave, il ferait lui même un peu durer l'affrontement. Il leurs fit un petit coup de pression en pointant quelques estocade vers eux. Les guerrier furent tellement surprit de l'agressivité au combat du vieillard qu'ils se marchaient les uns sur les autres, sur le petit ponton des quais. Dieter dans une feinte de corps, en désarma un d'un geste fins, puis lui botta le cul pour le faire tomber a l'eau.
Le guerrier passa a l'eau dans le geste le plus humiliant qui soit, le rire grandiloquent de Dieter résonnais aux abord du lac, tandis qu'il restais très offensif vers les deux autres guerriers.

-"AH AHAHAHA !! Allons.. Allons.. Est-ce un exercice de Lame, ou un concourt de natation ?.. AHAHA AH"

Dieter bougeais sa main libre en parlant de façon très théâtrale, ce n'est pas que l'ancien étais si véloce que ca.. Mais sa façon de bouger toute en feinte, accompagnée d'une science de la position de combat, en faisait un adversaire absolument immonde. Il parait les deux assaillants restants d'une même parade de lame, et de sa main libre, pointais deux doigts vers les yeux de l'un des guerrier qui dut se désengager du combat de quelques mètres. Son coup de rapière suivant, fut dirigé immédiatement vers la braguette du guerrier restant, fendant ceinture et boutonnière avec une précision hallucinante. Le vieil homme s'esclaffa de rire en se reculant de quelques mètres, tandis que le pantalon du guerrier tombais au sol.

-"C'est la meilleure !! AHAH En voila un Cul-nu !! CUL NU !! AHAHAHahaha"

La science du combat de l'ancien étais horrible, plus il effectuais de bottes de lames, plus il effectuais de provocation, et plus les guerrier en face s'énervais et perdais leur sang froid. Le vieu bretteur profitais ensuite des erreurs faites par l'énervement de ses victimes, pour complexifier ses assauts et rajouter des attaques encore plus humiliantes. L’envoûteuse comprit alors que l'ancien n'étais pas un vulgaire rigolo et se décida d'agir en voyant ses hommes se faire ridiculiser par le vieillard. Elle usa de sa magie pour se téléporter derrière lui et tenter de le prendre dans le dos de sa lame, avec le guerrier tomber a l'eau qui revenais également dans le combat trempé, par dans le dos de l'ancien.

Dieter riais tout le long du combat, il adorais ca, il avais vécu toute sa vie pour le combat et il ne regrettais en rien sa canne a pèche abandonné. Il lança un violent flash lumineux grace a sa magie, vers le guerrier trempé et l’envoûteuse, tandis qu'il faisait virevolter son manteau telle une cape vers le guerrier défroqué et celui qui clignais d'un œil. Sa rapière dansais, tout ses gestes étais d'une fluidité incroyable et son anticipation du combat, impeccable. Parade, contre, parade, provocation. Son style de combat étincelant n'avait d'égal que son sourire ravi.

Mais alors qu'il venais de fouetter les fesses du guerrier défroqué, l’envoûteuse s'étais reculée et sortais un revolver a quelques mètres. Dieter comprit que les assaillants n'avaient pas juste besoin d'une leçon, ils étaient venus pour tuer et malheureusement, pour s'éviter le projectile, il dut parer le guerrier trempé et l'interposé entre lui et le tir de l’envoûteuse. Le guerrier trempé, emporté en avant par une feinte de Dieter, se fit tirer dans le dos par l’envoûteuse, hors d'elle. Dieter s'exclama, d'un ton plus sérieux :

-"C'est pas très fair play, tout ceci.. Les jeunes de respectent plus rien.."

Le guerrier trempé tomba au sol, Dieter flasha les deux autres assaillants dans son dos pour tirer lui aussi de son revolver sur l’envoûteuse, la touchant en plein épaule droite. L’envoûteuse hurla en sentant la balle de 9mm lui transpercer et lui briser l’omoplate. Elle lâcha son revolver et s'enfuis d'une téléportation vive vers une grange, non loin. Dieter dut rapidement se retourner vers les deux autres assaillants pour les tenir en respect, il ne pouvait la suivre et l’envoûteuse entra dans la grange, blessée. Dieter continua alors le combat de lame face aux deux guerrier restant, il pouvait continuer a utiliser son arme a feu, mais ce n'étais pas son genre. Il préférais l'escrime largement.

L’envoûteuse dans un râle de douleur vint se plaquer au milieu des bottes de pailles, tout étais si vite partie en couille. Elle maugréa avant d'entendre du bruit a l'étage de la grange, elle n'avais plus que sa rapière et se tournais vers le bruit.. Elle les aperçu.. Ouf. Ce n'étais que deux enfants.
Elle tenta de panser sa plaie tant bien que mal, quand soudain, elle cru halluciner. Les deux enfants tenais chacun une carabine de calibre 22LR dans les mains.
L'un des enfants prit la parole :

-"Te repent-tu de tes péchés ?" fit l'enfant.
-"Merde ! Jerry ! On avais dit que s'étais moi qui disais la phrase !" fit le second enfant
-"C'est pareil Nathan ! Garde la en joug !"

L’envoûteuse tenta d'user de ses restes de magie pour se téléporter un minimum, mais les deux gosses des champs n'hésitèrent pas une seule seconde a lui tirer dessus. Les deux projectiles de petit calibre blésèrent l’envoûteuse qui tentais de fuir la grange. Elle se vidais de son sang en rejoignant péniblement une porte pour sortir.. Elle entendais des petits pas vif. Les deux enfants l'encerclais, se faufilant a travers la grange avec aisance. Elle ne les voyais pas..
Au détour d'un grand tas de bottes de paille, une pelle vint s’aplatir droit sur son visage sans qu'elle ne comprenne d'ou sa venais. Elle tomba au sol, voyant milles étoiles tourner.
Elle étais trop salement amochée, et la dernière chose qu'elle vit, c'est une énorme pierre au dessus de sa tête brandir par les deux enfants. La pierre tomba lourdement dans un craquement horrible.. Du sang et des bout de cervelles partout.

-" Putain.. Putain.." fit Jerry
-"Par Dwayna.. Qu'est-ce qu'on a fait.." fit Nathan

Les deux enfants paniquèrent d'abord un peu, avant de reprendre leurs calme.

-"On l'as eu !! Nathan ! On l'as eu !! "
-"J'y crois pas !! C'est notre première Sorcière Jerry !"

Les visages horrifiés des enfants s'illuminèrent alors.

-"On a sauver le village ! On est presque des vrais Répurgateurs !"
-"Tonton va être trop fier de nous !!"

Dieter aillant fini avec ses deux derniers assaillants, entra dans la grange, sur le qui vive, avant d'apercevoir les deux enfants et le cadavre de l’envoûteuse. Il grimaça avant de s'approcher d'eux, perplexe.

-"Bon.. Quand on disais avec Savarah: "Plus tot on commence le boulot, mieux c'est".. Je crois que vous nous avez mal comprit les garçon.."

Dieter se dépêcha alors de faire disparaître les pistes, laissant les deux Séraphins du village s'occuper de nettoyer les restes et faire leurs rapports falcifiés. Deux heures plus tard, a la Cabane forestière, Lilly Lesmack redescendais de sa chambre, toujours enrhumée et avisa Dieter et les enfants, qui buvaient du chocolats chaud dans le salon.

-" Ca a été la journée ?.." fit t'elle derrière son mouchoir a son père et a ses deux petits garnements.

-"Oh.. La routine.. Comme d'hab.." répondirent de concert le vieil homme et ses petits fils.
Y a Des Marqueurs
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Dim 12 Fév - 3:07

- Les Rêves de Bois sans Feuilles -

Dans une cabane perché en haut d'un sentier, d'un sentier ou seul deux brigants enfant cause tumulte, se sentier se trouve à l'endroit ou même les dieux ont oubliés d'y faire se produirent des choses. Dans cette maison de bois faite gallerie des trophées d'un mauvais pêcheur à la retraite et du bourg mestre de ce village isolé dans les bois ou seul une barque mènent, une femme s'est caché. Elle s'est caché du monde, caché de se qu'elle peut voir d'un oeil différent. Loin des tumultes, elle a appris auprès de se mauvais pêcheur qui s'avèrent ancien Répurgateur de la divine de la vie, à la retraite sans nuage, a cessé d'être une victime. Car cette femme l'a toujours été, une victime. D'une naissance au mauvais endroit, de voyage plein de larme et de cauchemard incessant. Son nom est Khalys. Aujourd'hui elle porte les armes et ne fait que commencer à apprendre à les manier la journée. Mais la nuit devint tourmentée alors que le bruissement des feuilles avaient pu lui apporter la paix. Depuis qu'il était parti en chasse, le souffle du vent dans les branches devint un rale tonant.
Les yeux clos plongé dans les bras du sommeil, elle voyait les gerbes de flamme ondulé sur des toitures, elle ne les voyait pas bien, mais elle entendait hurler. Chaque matin, Khalys se souvenait de là ou elle venait, cet endroit ou les dieux ont décidé de partir, cet endroit rogner dans sa beauté de bien des fléaux. Elle se revoyait courir, enfant dans des ruelles de pierre dorée et de masure de terre cuite peinte à la main ou la mort se languissait lentement avançante dans les ruelles. Chaque regard de vivant était traite, certains avait choisi de vivre pour n'être que serviteur d'un mort. Ainsi, Khalys voyait dans ses rêves tout les soirs, des morts, des flammes et des bruits de bombardement, dans les yeux d'un enfant perdu dans les décombres. Elle savait qu'inlassablement elle rejouait la chute d'un quotidien, le moment précis ou l'on sait que tout se qu'on croyait batit s'effondre et que le vent le souffle et l'enterre sous le sable comme s'il n'eut jamais été.
La pretresse de Lyssa eut toujours vu ses choses lorsque la nuit tombait. Mais ces derniers temps, c'était un quotidien. Mais la belle élonienne portait un  sourire splendide à chaque fois qu'elle descendait pour éloigner la guerre de se foyer qui avait appris à l'aimer et l'accepter. Elle souriait pour se rappeller qu'une famille qu'elle avait délaisser était là à l'attendre au petit déjeuner. Comme tout matin elle nattait ses cheveux drues et épais d'une tresse longue pour les dompter puis comme aucune tisane matinale n'estompait le bruit des boulets fracassant les sols durs, elle descendait au lac très tot avant les entrainements matinaux. Les paysans se réveillaient à ses heures et certains avait entraperçu quelque jours qu'elle s'y baignait brèvement sur un bord isolé, pour se laver de la crasse des souvenirs.
Khalys était belle et certains avait fini par apprendre à se réveillé en la regardant. Mais se jour là, le vieux Macluvsky qui s'était levé un peu plus tot pour pouvoir parvenir au sommet de la butte dans les bosquets pour pouvoir l'observer discrètement avant d'aller cheminer son bois de chauffage en ses temps froid, en quête de courage, ne verra pas se qu'il espérait juste deviner dans les reflets de l'eau encore sombre.

Le vieux Charles Macluvsky se réveillait au aurore avec un café si serré que le fuel du Marai de Fer en semble plus clair. Il se lézarda hors de sa masure avant que sa femme toujours grogon le matin  ne puisse lui faire comprendre qu'elle avait les jambes alourdis par l'age. Il aimait regarder la divine prêcheuse de Lyssa dans son rituel, pas malsainement, par amour de beauté.
Il n'en parlait jamais mais il adorait tout un tas de chose simple qui faisait que sa vie était accomplis. L'odeur du bois après la pluie, les rayons filtrant parmis les feuilles dans un levé de soleil, le chant de sa femme étendant le linge. Et ce rituel, fut ajouté régulièrement bien qu'avec mesure, d'aller contempler la silhouette sombre dans la nuit d'une femme jeune et belle se laissant pénétré dans les eaux gelés pour un bref instant, lui permettait d'apprécier un peu plus sa journée. Il avait gardé ça rare, unique, dans un secret qui n'appartenait qu'au eaux du lac. Charles ignorait qui il était, la femme protéger par le Salvateur Dieter Lesmack, la Femme du Lac, la pretresse à la peau d'ébène. Dans sa tête il lui eut donné tout un tas de surnom. Le village l'avait en quelque sorte adopté, malgré certaines réticence de certains du fait du mat de son épiderme. Mais sa bienveillance et ses conseils étaient si doux à l'oreille que bon nombre leur ayant adresser quelque tourment se voyait oter du poid de les avoir porter. S'il ne lui avait jamais parler, son confessionnal venait à se moment silencieux et juste suggérer, en celà il remerciait sa présence.
Mais lorsqu'il parvint au sommet de la butte ses cordages à l'épaule pour tracter les buches débités la veille il n'en fut rien.
La lune encore présente dans le ciel noir lui éclaira quelque chose qu'il fut persuadé de voir ainsi. L'eau qui devait s'étendre comme un écran noir était comme parcouru de reflet de flamme cramoisie ondulante. Il mira autour de lui pour en voir l'origine mais rien de tel. Dans le bois couru des sons diffus de cri, de voix tonitruante et sévère hélé quelque ordres indistinct, et surtout la basse lourde d'une explosion qu'il cru réelle sans qu'elle le soit. Affolé il regarda autour de lui sans rien trouvé de la sorte à nouveau.
La pretresse semblait se tenir sur le bord de la berge et le regardait des yeux d'un rouge vif fumant étrangement, sa tenue ne ressemblait en rien à se qu'il avait pu voir et sa bouche semblait pleine de pierre.
Et comme si le lac explosait, il cru, persuadé de l'apercevoir les miroitement de flamme en jaillir droite et dompter comme dans un atre laissant une stature à peine découpé déclaré comme si celà parlait dans sa tête.
" Il ment. Ils ont suivi un Mensonge. Il n'est pas Revenu. Je l'en ai Empêché. Le pire est à venir. L'imposteur a un plan. "
Puis tout se distordit un bref instant pour le plongé dans le noir total persuadé d'avoir vu le promontoire soufflé comme une dune de sable sous le vent du désert. Là se déclara dans l'ombre :
" Et l'oeil était dans la Tombe. ".
Le sursaut fut tel lors qu'il croisa une rétine immense dans l'obscurité, persuadé que s'en était une, il se redressa en nage dans sa couche, réveillé encore plus tot qu'il eut cru l'être dans se qu'il avait rêver. Il fut soulager de constaté qu'il n'avait fait que dormir. Il rit au coté de sa femme se levant pour préparer un café, quel idée de rêver de chose pareil... mais lorsqu'il descendit de sa couche il rippa sur quelque chose le posant cul par terre.

- AIE ! MERDE QUOI !

Sa femme se réveilla en maugréant.

- Tait toi charles le chant du coq n'est pas encore venu. Laisse moi dormir...

Il venait de ripper sur une flaque d'eau. Il papillonna ... comment était ce possible ? En descendant, il trouva sa porte claquante car ouverte sous le vent matinal.

Khalys en descendant se jour ci en bas dans l'après midi en nouant ses cheveux haut, vit Dieter et les enfants autour d'une tasse de chocolat chaud leur souris en entendant Lily devant elle leur demander leur journée ainsi que leur réponse. Alors qu'elle les rejoindra dans un sourire ravis d'etre là, sa nuit avait été calme, la première depuis un moment.

- Et ce que je peux apprécier cette routine !

 

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