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 [TEXTES] "The Big Chess Empire"

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Y a Des Marqueurs
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Y a Des Marqueurs

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Mar 23 Sep - 2:05

THE BIG CHESS EMPIRE
"Ecrit Anonyme"

"The Big Chess Empire est un Receuil d'Histoire et Description sur un Univers étrange ou seul la Guerre et La Stratégie demeurent "

INTRODUCTION

Chapitre 1 : Un Monde Pret pour La Guerre

[TEXTES] "The Big Chess Empire" C389ch10

L'homme exhale de demeurer comme le plus grand monstre des ères, antiquement architecte d'un monde sur le gouffre. On se cherche et rarement l'on trouve. Nous déclamons des murmures lassif au bord des falaises, tant que nous trouvons parmi les champs de seigle.

L'on ne se souvient plus réellement quand tout ceci naquit. C'était un amalgame de l'imaginaire d'un fou et de la simplicité d'un enfant. Mais la création des dieux de se monde trop réduit, n'était juste qu'un plateau à de sordide dessein. Notre monde fut conçu comme cela : Mort né et désespérément incendier. Aux premier siècle, l'herbe, le foin et les odeurs des pins des cimes emplissaient cet espace si fin. C'était la pureté des débuts, l'ode à une effroyable histoire fait de noir et de blanc... mais surtout du gris, beaucoup de gris en brume opaque et épaisse. Un monde d'immortel réduit à s’entre tuer, le Mat terrible qui signerai la fin de la guerre et la pérennité de deux Mondes fondamentalement opposé.

Les dieux jubilaient d'une création aussi narquoise que sournoise. Emergea les premiers hommes tous arrachés de l'argile des sols, des pièces construitent à la force de la simplicité de la chair. Moulé, façonné, à cette image stupide que l'on appela l'homme. Des animaux féroces dont le seul enclin naturel était à voué à l'absolu expansion. Pour quoi ? Survivre. Car il ne fut pas que les hommes, mais tout un tas d'autre espèces varié et bien mieux développée et pensé que ces drôles de bipède sans poil. Mais une arme, une seule leur fut donné, la pensé et la conscience de soit. Grand blague cosmique dans une bouteille en verre. Alors ses quelques créatures sans défense firent comme leur créateur... aussi grand que les dieux et modelèrent ses terres. Des voyages impétueux nous viment les abysses des bout du monde. Nous vivions là, sur une plateforme carré qui débouchait dans le néant.

Vous savez à quoi ressemble le néant ? Seul un homme parmi les nôtres le sait réellement. Cela n'a ni ton ni couleur, se n'est ni solide si inexistant, ni opaque ni translucide, d'aucune matière ni d'aucun son ou goût. Le néant est le Rien et croyez le ou non mais le Rien ne se conçoit pas car ce dernier est toujours plein.

Il fut bien des ères et des batisses. Ce fut l'évolution. Mais de ces hommes posés comme des pions prets aux grand jeu de la vie, certains furent bien moins heureux que d'autres, posé dans les terres les plus hostiles. Comme celles que l'on appellait le grand 1:1, des montagnes pures et blanche qui s'étendait jusqu'à la première médiane qui divisait les temps de nos terres : la ligne du 3. La seconde se nommait : La ligne du 6 et entre les deux... un no man's land sans arbre, sans eau, sans vent, juste une lande plate et morne fourni sur des cases et des cases d'herbe presque comme taillé. La bas les animaux herbivore se nourrissait de l'herbe propre et grasse de ses terres, qu'on nommait le Plateau. Les premiers d'entre nous ne comprirent pas pourquoi un tel lieu si pauvrement construit. Mais se fut avec la convoitise du Royaume "Premier", pale et gelé, qu'ils comprirent que ce terrain n'était que la simple arène d'un combat à mort.
Car au delà du 6 demeurait un pays riche au sol fertile, aux mines profonde, des bouche béantes de prospérité. Le monde du Huit était l'aude à se qu'on ne pourrait jamais avoir, nous peuples Premier. Ils furent les premiers dans leur aisance à créer la Royauté, érigeant une couronne d'Obsidienne et donnèrent les premieres révérence à un plus puissant.  Il battit des forts massifs, creusa la terre par l'Industrie, et depuis les montagnes ou nos pauvres corps tremblant regardait, l'on vit les lourdes fumées envahir le ciel.

Des tribus sauvages sans richesse qu'était le Un, la première ère se secoua de révolte pour avoir sa place au soleil. De nombreux exhilé se refusèrent aux armes pour rejoindre l'or et le charbon. Nous le savions, ils étaient puissement plus armé que nous le serions jamais. Disparate que nous étions, attaquant par groupuscule sans chez en espérant une victoire veine. Nous avions des lustres de retard sur eux, et c'est lorsque qu'il nous repoussèrent jusqu'a nos frontières d'un ras le bol légitime, que la dernière bataille de la première ère eut lieu. Un homme sans nom, comme nous tous jeta une flèche de givre au corps du Grand Cavalier en armure noire, général des armées montante du Huit. L'armure solide d'acier sombre de ce monument sombre chevauchant un cheval tout aussi noir, tomba dans l'herbe du No Man's Land. La glace se propagea doucement, et de l'acier jaillit le froid de se que sa protection était vraiment. Il fut saisit à jamais comme une statut hurlant d'agonie sur le Plateau. Lorsque nous revinrent, ayant échoué mais animé de cette maigre victoire, nous suivames, cet homme à la lance. Il gravit la montagne et tailla dans la glace une épée et sa couronne, ultime pied de nez à cette empire qui nous faisait face. Ainsi, il déclama :

"Unis dans le blanc de nos jours, nous sommes la nature de l'homme, eux détruise l'espoir en scillant les arbres, en blasphémant ! Ce n'est qu'une question de temps, ils viendront, pour nos glaces éternelles, ils viendront pour le platine de nos montagnes, mais il apprendront la toundra et que nous ne fairont pas. Suivez Moi !"

Les montagnes résonnaient de sa Victoire et on le suivit, pour des années plus tard, l'appellé Chef, Maitre, Envoyé des Dieux puis Roi.

Les terres Première secoué par les pires intempérie s'était tourné plus que tout autres peuples vers la foi. L'Eglise Blanche se monta, aux pretres illuminé et portant le Blanc. On les nomma les "fous", car dans nos montagnes la folie n'était nullement une déviance, mais une réelle manifestation de la parole divine. Ils étaient les plus violents d'entre nous, calme et tempéré mais investit du grand dessein d'éliminer tout ce qui ne se reverrerra pas à leur grande et Pure Eglise. Leur dogme était saint et éclairé, il regardait le monde d'un autres angles, ils ne se contentaient de voir... ils faisaient le tour de chaque chose. Leurs pensées depassaient tant la vision simple des chose que les "Fous" n'étaient que très peu compris par leur fidèle, il parlait comme pataugeant dans le non sens, et passait leur nuit et jour  à contempler. Ils étaient guerriers, ils étaient érudit, ils étaient le sommet de la pensée des Royaumes Premiers.
SUITE A VENIR

Chapite 2 : Le Roi Noir

[TEXTES] "The Big Chess Empire" Puma-k10

"Une couronne pour la claivoyance qui fit luir son pouvoir dans un Empire dessinné à la Craie Noire."

Absurde et abscons sont ses empires fécond qui crève les cœurs, inondant les deux cavités du palpitant d'un même sang. C'était ça la gloire et la couronne, le château d'os couleur charbon qu'un héros à la salive noire d'encre de sa légende montant des illusions pour rempart à CastelNoir.
Bien sur, il était louable, ridiculement influent et surtout une étoile pour ceux qui aime se bercer de ces chants, s'endormant plutôt que de resté éveillé et voir la sordide vérités.

Il était le Roi Noir, pourfendeur des dragons du nord. Un connard qui avait vu la violine dans sa rétine et qui s'était fait appelé Mythe. Il savait le monde, la stratégie et l'opium du peuple. Il savait que la droiture de son dos était la seule chose qui comptait, les épaules alignées et l'on t'appellera Commandant. Je le méprise car il avait la force que je n'aurai jamais, ni les terres que je lui convoitais. Sur bien des points, je le pense tout aussi menteur que j'aurai pu être. Mais il le savait, il était le colosse de suie et de cèdre. Je pourrai le haïr des heures, mais au final, ce serait bien vain car dans son infini stature, il avait sûrement saisi que je ne méritai que son dédain.
Il était empereur de son monde réglé comme les horloges, cruel et clairvoyant. Il tenait l'épée de la lumière parmi l'ombre, il avait fait des cases son trône. C'est comme cela qu'il devint Roi.
Le halo de sa lame remporta maintes victoire sur ses terres désolé, et il portait l'espoir, car malgré le sang et les écarts de chemin, les gestes de sa main était devenu le plus saint des parcours.
C'est peut être parce qu'il était plus bon que je ne pourrai le comprendre, il guida les âmes comme les faucheurs et donna un souffle dans ses armées de tôle, il donna de la lumière dans la guerre et la famine. Je ne comprendrais jamais comment un Roi aussi sombre a t-il pu donné ça... de la clarté. Il savait bien des choses que j'ignore comme à l'opposé il ignore tout de l'empire qu'il répugnait par son indifférence. Les montagnes blanche des Terres du Un de se monde plat en plateau stratégique. Des pions à son chevet, des élégie à son sujet. Les batailles fusaient, criarde d'éclair violacé, car sur les terres noires le mal du temps s'était installé. Au fond, il avait monté un empire, plus légitime, car malgré les pluies acides qui martelait son fort solide et imprenable, il était bien loin de se règne froid et plat du roi au cœur de glace.
LA SUITE A VENIR

Chapitre ? : Le Roi Blanc

" Lorsque la Toundra nous avala, seul un ne chercha pas à fuir, un fou parmis les fous, légendes d'un monde gelé, il se laissa sans broncher engloutir par la montagne, sans crainte. Tous le suivirent. "

 

[TEXTES] "The Big Chess Empire"

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