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 Les Inédites

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Y a Des Marqueurs
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Y a Des Marqueurs

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Lun 30 Mai - 3:49

~Les Inédites~
" Le Journal Pj avec plus de Caractère "

Une scène dans l'ombre, qui ne relève pas du BG ? Une scène avec vous mêmes que vous voulez partager. Parce que nos persos ont une vie en dehors des autres personnages, ici on raconte les inédites scènes de l'ombre.
Zyuzky
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Zyuzky

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Lun 30 Mai - 17:02

~Promontoire et Alentours~


Une nouvelle belle journée au village de Sheamoor. Les villageois de la ville sont heureux, apaisés. Le retour des sœurs de bataille en ville rend la région plus calme. Les séraphins n'ont plus cas gérer les litiges entre citoyens. Les recherches de bandits mort ou vif dans la région ont été diviser par deux. Mais aujourd'hui un nouveau tournant va s'ouvrir pour les sœurs et leur Matriarche.


"- Madame ? Nous rentrons en ville ?"
La Matriarche Stacey Willdreneur d'un pas décidé.
- Oui Nya. Nous allons à l'endroit le plus infâme de cette ville. Le bordel du quartier ouest.
- Le bordel ? Vous êtes sérieuse Matriarche ?
- Je le suis toujours Nya. Notre nombre est ridicule. Il est temps pour nous de trouver plus de recrue pour pouvoir agir dans la région.
- Très bien Madame mais pourquoi ne pas attendre les réponses des anciennes familles ?
- Parce qu'il n'y en a plus ma sœur. La plupart on disparu et les autres nous ont... oublié.
- D'accord mais pourquoi un bordel ? On ne peut pas simplement recruter des citoyens et des nobles ?
- Rit légèrement. Ces femmes me seront beaucoup plus fidèle si je les sors de là.
- Mais... Croyez vous qu'elles soient enclins à utiliser la magie ?
- On m'a expliqué que cette ville ne considère pas la magie comme un don et être mage n'offre pas de réels avantages ici. Au contraire même. Les familles pauvres vendent leurs progénitures emprunt de magie qui ne savent comment gérer."

Elles dépassèrent la porte de la ville et se dirigèrent vers le Quartier Ouest du promontoire. Les sœurs étaient six, la Matriarche comprit à la tête du groupe. Évidemment elles ne passèrent nullement inaperçu dans la capitale mais même les gangs du Quartier Ouest ne leur fit entrave sur le chemin. Leurs tenues de mage et leurs masques de métal aux visages de femme, leur donnaient un coté divin et sévère. Elle atteignirent le bordel. La bâtisse se trouvait dans une ruelle puante du quartier, on y croisait facilement la dépravation et la honte mais la Matriarche ne pouvait s'empêcher de sentir la peur des femmes du quartier en les voyant arriver tel des inquisitrices des dieux aux abords de l'enfer.
La Matriarche posa son regard sur le bâtiment avant d'entrer à l'intérieur. Là elle fut interpellé par le dirigeant de l'établissement.


"-Qui êtes vous et que faites vous ici ? Fit l'homme bien vêtue.
-Amenez ici toute vos filles.
- Il faudra payer pour ça. Fit il d'un ton narquois dans un rire.
A ce moment sans ordre les sœurs tournèrent leur visages masqués vers l'homme sans un mot, seulement le bruit du tissu de leurs capuches frottant leurs masques.
-Euh... Oui très bien... Il fit signe à une femme qui semblait être la matrone du lieu et il lui chuchota à l'oreille.
- Bien Monsieur. Elle se dirigea dans les différentes salles de l'établissement."


Les clients mécontents de cette interruption dans leurs ébats émirent quelques objections mais ils devinrent vite livide et silencieux en voyant le groupe de mage dans la grande salle d'entrée. Alors sans un mots de plus ils prirent les jambes à leurs cou.
Toute les prostituées du lieu se trouvèrent là devant les mages qui les fixaient. Il y eu un grand silence qui fut interrompu par le proxénète.


"-Ça fera dix milles pièces d'or pour toute ces femmes...
-Dehors. Fit la Matriarche d'un ton sévère.
-Comment osez vous ?!
La Matriarche se tourna à 90 degrès vers l'homme d'un pas presque mécanique.
-Je ne vais pas vous laissez faire votre loi dans... dans mon établissement !
Elle claqua des doigts et une chaleur apparu autour de ses mains. Chaleur qui se transforma en flammes autour de ses mains.
-Woaw, Woaw ! Ok, ok ! Il prit la fuite et gueula dans la rue. Sorcière !"

La rue devint silencieuse, les alentours c'était vidées et les rumeurs traversaient déjà le quartier ouest. Dans la salle il eu un silence de mort, les prostituées ne savaient si il fait pleurer ou sourire. Soudain la voix de la Matriarche se fit entendre plus douce.


"Bien. Vous vous demandez toute ce que nous faisons ici... Je suis la représentante d'un groupe de mage soldat. Stacey Willdreneur, Comtesse d'Ascalon sœur de la défunte Amy Willdreneur. Aujourd'hui je compte pas redorée son image et celui des sœurs de bataille que voici. Je suis ici pour recruter de nouvelles compagnes, de nouvelles sœurs. J'offre la possibilité aux femmes qui porte la force magique des dieux en elles, de me rejoindre et quitter cette vie de débauche et de honte. Vous serez nourrit et loger, vous recevrez également une éducation. Je ferais de vous des femmes fortes et honorables. Plus jamais un homme ne vous touchera sans votre consentement. Plus jamais vous serez battu ou méprisé. A ce moment je vous considérerais comme mes sœurs et vous aurez toujours une famille sur qui compter. Maintenant, il est temps si vous souhaitez nous rejoindre c'est peut être la seule chance que vous aurez."

Les femmes se regardèrent certaines semblaient déçue de ne pas avoir eu de manifestations magique. Une avança, puis une seconde. C'est ainsi que 6 nouvelles sœurs fut recrutées. Elles accompagnèrent les mages en dehors de la ville. Traversant le quartier sous les regards froid des membres du gang des quartiers ouest.
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Y a Des Marqueurs

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Mar 31 Mai - 5:27

- Comment leur Dire que Tout Nous Manque ? -
"Multiple Introspection Actuelle"



Envie de hurler dans une boite mais les murs ici résonnent bien trop et je n'ai pas d'exutoire. C'est impossible de raconté un vide un manque cette bequille de toujours que j'ai eu, assis entre deux bibliothèques en heure creuse parmis l'illustre culture, je n'ai que des prières silencieuse pour demander un retour. J'ai pleurer je crois mordu mes doigts secs, et comme une tombe j'ai laissé la rivière coulé. J'y descendrai un jour de Charon au Styx... j'ai juste perdu ma lanterne, ma force, une moitié de se que je suis. Dans l'excés je tend à retomber car là est le seul moyen d'exister comme mortel, comme vivant, comme chair palpitante. Je ne suis que la lumière de moi même, l'ombre d'un linceul mortuaire.

-

Comment leur dire qu'ils me manquent ? Je ne peux rien en prononcé, nouveau moi, réinventé, je m'efface dans une image qui me ressemblent qu'en partie. Dillue donc les Scotchs on the Rock et oublie donc ton nom, de qu'elle nuance est le blanc ? Je perd des nuits entière à me nommer, c'est effroyable comme les souvenirs s'effacent. Pourtant celà demeurent des années qui manqueront à l'appel, des ames absentes dans le noir. Dites mon nom, que le ciel me réponde, j'ai oublié qui je suis, encore... et encore.

-

Sueur froide amer sur ma colonne vertébral, j'aimerai m'effondrer en sanglot comme un nouveau né. Comme lui, comme eux mais pas comme moi. Comment laisser couler mes yeux d'océan ? Celà me ferai peut être du bien. Je n'arrive plus à douter des fondations, mais c'est fou comme l'oubli s'en va. J'ai trop de synapse pour penser, pas assez de produit pour juste arreter. Je vous racontrais que la synthèse est necessaire pour quelqu'un qui n'existe que sur les raisons d'une erreur, la science rationnalise l'illogique. Des dernières drogues de chair, il faut que je m'y accroche car Comment Dire que la Chimie Manque à mes Veines ? Les poisons remédient aux poisons, comme le négatif donne du positif. Un serpent viendra planté croc dans ma peau, dans une nuit glaciale, un délire... voilà se que c'est à nouveau.

-

La salle est vide, c'est ainsi depuis trop longtemps, les tissus fluides m'entourent, de violine et d'or. J'ai toujours prier mais rien ne vint. J'ai tout laissé pour les rêves de ceux qui m'aimaient, mais voilà la résultante, un canapé creux, un coeur à l'abandon, aucun bras dans lequel se loger. Tout s'en va tout s'envole, tout se crystalise dans le violet acerbe. Je manque de la mort des déserts, j'aurai préféré quelque part y rester à jurer aux lanciers d'un soleil effacé. Un pays loin et devasté, j'envie la guerre, plutot que le mutisme des journées. Médite enfin voyons ! Profite de la paix morte ... pour t'elevé et ne plus envier l'air dans tout les poumons. Rejoins l'ether peut être que je n'en prendrai plus conscience.

-

Suivant ses jeunots en quête de réponse, l'ombre d'une mine trop sombre faisandé par les cadavres draguerre me rappelle la grande époque. Celà fait ci longtemps qu'on enterre les illustres, qu'on veut ne plus s'en souvenir. Au nom du courage, on enterre des amis sans crier. On s'exécute et l'age vous fait ignorer comme s'était beau les cités de pierre. Bientot, je serai un des derniers à respirer sous la montagne à évoqué le Skald éternel qui finira par partir en fumée, le mémorial à ceux que l'on a sceller dans la roche. Il n'y a pas de mot sur les stèles car comme le temps passe... tout s'errode.

-

La houle remue le sable des cotes et je suis trop refaite à l'alcool pour en savourer la beauté. J'ai une nostalgie affreuse en mirant l'infini horizon. L'eternité n'a que peu de valeur quand on ne peut l'apercevoir, j'aimai l'immortel. ou est tu ? J'ai arreté d'être belle quand tout à couler, j'ai perdu mon identité quand tu ne sussura plus mon nom. Vulgaire à en faire palir plus d'un... ça ne rattrape pas un vide dans l'ame aussi éternel qu'un navire voguant à la mort derrière le Passeur. Donne moi tes coordonnés, que le vent me l'inspire. Une carte pour me perdre, un sextant pour te rejoindre. On baisera dans les vagues glacés d'une mer à l'envers...

-

Elle me nargue à la fenetre quand je tiens cette si petite main dans la mienne. Son visage un peu enfant mais si adorable, de lune d'or. Pourquoi penser pour mille fou quand je n'ai pas su comprendre sa folie à elle ? Bon sang, comment raconter que je suis malade à être interner ? Depuis que tu es partie... à la vie à la mort, je crois que je t'aime encore. Tu le sais, c'est reciproque mais trop de vanité pour se le reconnaitre. On partage un bout de sang pour ne pas tout faire faner mais combien de temps, là derrière cette vitre va tu me mirer avant que tu ne t'en lasses ? Les théories de psychologie n'ont aucun sens avec toi, le comportement humain n'existe pas dans tes mains, je veux être stupide et te sentir dans les miennes. C'est long, une vie avec le coeur en miette et un cerveau analyste qui pour la première fois ne comprend pas. Viens là que je te menotte au barreau de ma cave, j'ai besoin d'etre psychotique avec toi... encore une fois.

-

Et par tout nos noms... par toute nos différences, dans le silence ont se murent pour ne pas déranger. Par toute nos existences et nos défaillances dans l'ombre nous résidons. Donnez nous un visage, une drogue, un souvenir, une ame, un chez soit et un fragment de coeur. Ecoutez bien ? C'est l'air qui respire, nos mots nous rendent invisible. Car comment leur dire que Tout Nous Manque ?
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Dim 5 Juin - 4:30

~ Les Inédites : Quantum Of Solace N°1~
« Rapport de Travail »

Ça sentait le café cramé dans le coin, ou dans un des bureaux. Les réchauds au Gaz en tube hermétique était nouveau dans les locaux et la majorité oubliait leur cafetière de Zync sur les plateaux brûlant. De ce fait, voilà trois semaines que l'on ingérait un café infect et  que ça sentait le brûler dans les couloirs, sans compté le mar cuit dans les tasses lorsqu'on déversait le liquide.
D'ailleurs, j'en buvais un, dans l’alcôve de bois patiné de l'encadrement de la porte de mon bureau mono-personnel, ou chaque étagère laissait dépasser un dossier venant me taper un coin du nez.  
D'un hochement de tête cordial, je saluai toute ombre de collègues armuré ou délester de ces dernières pour rester dans d'affreux chemisier orange de rigueur dans les bureaux. Comme si personne ne savait qu'ici était le quartier général séraphin et que des séraphins y exécutait leur long horaire. J'en portais d'ailleurs une, légèrement déboutonner...Pellini me répétait à maintes reprise que le raccord entre mes cheveux et cette immonde chemise devrait être inscrit dans les Codex de loi comme illégal. Naître roux n'est pas une bénédiction pour tout le monde, surtout pas en ces locaux.  
Je touchai un salaire ses derniers temps à ne pas faire grand chose, je errai dans les couloirs, les affaires en cours soit toute attitré. J'avais fini par brasser tout les dossiers froid des stériles armoires des archives, au point ou j'avais accumulé un nombre incommensurable de nom de victime, particulièrement ceux du Cabaliste qui avait été mon jouet le plus intéressant et le plus frais encore. J'en avais fais une chanson stupide pour retenir les 31 officiels et confirmer. Au final, j'étais aujourd'hui là à boire mon café dégueulasse et n'avoir plus rien à trouver pour tordre l'ennui sauf tourner dans les bureaux et anticiper mon passage annuel de contrôle psychologique des équipes bureaux et terrain. Même la tâche de mes collègues qui aurait du l'opéré dans quelques mois étaient fait. Un de mes égals en rang dans le département criminel s’arrêta me voyant allègrement rien faire, buvant mon café et chantonnant «  Le Mémorial aux 31 ».

- Hubert ? Qu'est ce que tu fous ?
- Là comme tu le vois je passe un temps considérable à me faire chier.
- Tu n'as pas des équipes de Psychologue à gérer ou supervisé ?
- Si... c'est fait, ils roulent impeccablement, j'ai été si attentif à leur besoin en quantité de travail que je n'ai plus d'affaire ou me greffer sans opéré à de l'overdose de Profiling. J'ai fini mes sessions prisons, il y a une semaine environ. Mes comptes rendus pour les anti mafia pareil... même l'évaluation interne alors que ce n'était pas à moi de les faire. Pas assez de crime psychotique en ce moment, en ce moment on fait dans l'enchère de crime « Passionnel » ou même le stagiaire peut s'en occuper en faisant un allé retour pivot express. Même mon bureau est rangé et archivé tu verrais ça ! moi qui suit bordélique.
- Arrete on dirait que tu vas pleurer qu'il y est pas de psychopathe en cavale... Plus simple d'arreter les jaloux quand même.
- Pas même un petit rapt d'enfant... aaah les périodes creuses !
- Bon allez au lieu de jouer le psychotique insensible, viens par là moi je manque de monde justement en ce moment.

J'haussai intrigué vers le Commissaire Nicolas Helix, cet homme avait le même emploi que moi soit délégué au maximum de personne des affectations quand au profiling, mais son département était spécialisé aux aides sur terrain autre que la Kryte ou la garde avait un contact. Tout comme lui, on espérait à longueur de temps qu'il n'y est pas assez d'analysateur du subconscient en route pour pouvoir se réserver la place sur une affaire qui nous faisais le plus vibrer. Il n'était pas rare que je le croisais car précisément comme moi actuellement, malgré le fait que son métier le demande nombre déplacement, il n'avait guère de place ou poser sa tête sur une affaire.Alors l'on attendait sagement de longue réunion ennuyeuse pour énumérer exactement la même chose que se qu'il y avait dans les rapports que je me farcissais chaque soir sur mon divan bière à la main. Je le suivais jusqu'à son bureau aussi restreint que le miens, pas de budget pour les docteurs du cerveau diraient ils. En fait, ce n'est pas exactement que l'administration dirait cela... ils le disent tout simplement. Car on préfère largement investir dans les bonbonnes de gaz extrêmement chère et toute neuve en marché pour que tout le monde puisse faire brûler son café. Une révolution qu'ils disent en attendant l'on s'en sortait très bien avec nos foyer à la chaux. Je prenais place en escaladant presque les accoudoirs du fauteuil tant son assise visiteur était encastré sous son bureau pour avoir un peu de place de recul lorsque l'on fermait la porte.

- Je peux quoi pour toi mon bon Coco ?, fis je en l'avisant un instant alors qu'il farfouillait dans sa paperasse en colonne branlante sur son bureau.
- Bon je sais que t'es pas chez les externes mais j'aime pas te voir rien foutre comme ça... et puis moi j'ai pas assez d'homme sous le coude contrairement à ton armée de chasseur de crime adultérin.
- Armée ? Ils sont quinze sous ma direction... mais en se moment on me file que les dossiers les plus ridicule et les plus vite fait qu'il soit... les planning en fonction des codes de dossier leur a été distribuer, mes gars sont juste bon et roder, on ressemble à une industrie de rapport psycho. Je pense même qu'il y en a qui arrive à se faire chier autant que moi dans le tas...
- T'a combien de temps avant tes réunions et ta refonte des plannings ?
- J'en sais rien moi ça peut surprendre parfois tu sais... quelques jours je dirais.
- Je pense qu'on va te faire une dérogation j'ai besoin de ton crane à mi chauve sur le terrain beau-gosse. J'ai mon équipe pour le front et les suivis psychologique et archivage des membres humains hors ordre ou en partenariat avec la garde qui comme de par hasard s'est retrouvé avec cinq arrêt maladie ou congé sortit des Brumes.
- Le front ? Tu veux m'envoyer dans la jungle quand je ne suis pas sortit plus loin que les Collines de Kessex ?
- Ca va... questionnaire à certains membres vous serez normalement dix-huit sur place ça vous prendra peut etre 4-5 jours grand maximum... la garde est peut représenter sur place.
- Oui enfin... les volontaires dépendant de la couronne... il doit y en avoir.
- Normalement avec les rapports de présence que j'ai reçu... et la répartition que j'ai fais des binômes normalement une semaine grand maximum.
- Tu sais que tu viens de passer de 5 jours à 7 ? Et j'imagine qu'il y a des illégaux sur place... qu'on a pas dans les rapports de présence.  On compte les jours de trajet ?
- Ah non les jours en brut... tiens voici la liste que j'ai on a quelque chose comme 953 personnes à interroger sur cette session là. Rapport à la maison... et surtout validation ou non de leur présence sur terrain si inaptitude psychologique. On fait des tcheck up tout les 6 mois environs.
- Ca fait environ … 50 gars à questionner par tête...
- J'ai dresser un questionnaire rapide à la réponse... avec question orale et vous vous cochez les réponses et avez des encarts de note de précision. On est juste là pour vérifier voir en visuel tout comportement étrange, pas leur faire un suivi psychiatrique en détail. C'est la guerre on a pas le temps et ils peuvent être traumatisé le lendemain même. Donc là sur la session, on a de la Détermination à Serpentepierre seulement...  Bon je vais te placer au plus prêt de ta maison je pense ?
- Vas y fais voir les listes des 953..., en tendant une main un peu désabusé vers mon collègue. Je ne sais pas si je vais pouvoir...
-Je ne te donne pas vraiment le choix Solace si on doit analysé chaque feuillet il me faut des types aguerri pour discerner directement les problèmes et si j'en ai pas 18 de sur en fin de semaine prochaine je suis dans la merde... tu sais se que ça représente 953 questionnaire à analyser ?

Un moment il fouilla à mesure qu'il me parlait et finit par me sortir un fin dossier mis en chemise avec le planning des équipes et localisation que je me mis à consulter. Je ne l'avais bien sur pas demander aux hasard et fit semblant de fouiller un instant avant d'aller aux lettres alphabétiques m'interressant le plus pour chaque équipe «  A ». Je m’arrêtai sur un instant lisant à plusieurs reprise la même ligne pour m'assurer que c'était bien le nom que je recherchai. D'un geste non chalant je refermai le dossier.

- Est ce que je peux te faire ma confirmation plus tard ? Tu sais que j'ai un fils et une ex femme effroyable... je ne peux pas partir comme un voleur et les prévenir aux derniers moment, il faut que je vois ça avec Pétra... Coco.
- Ta femme est une conne elle mériterait bien que tu ne joues pas franc jeu avec elle sérieusement...
- Oui mais ça concerne mon fils, je te confirme ça très vite... okay ? Si jamais ne me met pas à la détermination, je veux l'équipe qui est au point Relai Orée de je sais pas quoi et camps 'aka quelque chose , alors que je tapais son bureau de l'index en me relevant comme si j'avais quelque chose de pressé à faire.
- Le Relai et Jaka Itzel vraiment ? C'est la zone de front mon copain... t'es sur de toi ça te fait un trajet plus long quand même...
- Oui mais Korben, Jules et Filou qui sont à la détermination, ils me saoulent... je veux pas bosser avec eux. J'ai vu qu'il y avait Pio pour binôme là bas, quitte à me déplacer aussi loin je veux être bien accompagné.  
- Donc si tu valides je te met avec Pio ? C'est ça ? Confirme moi ça vite Hub' hein ? C'est urgent tout ça...
- Ouai ouai tu feras ça allez moi je vais voir l'administration pour ma mutation temporaire... voir si c'est déjà possible.

Mon collègue hocha la tête me regardant partir, il fut vrai après tout … que je partis à une drole de vitesse, plutôt excité vers les guichets d'administration. Si j'avais cette mutation temporaire et le job, ça me laissait une semaine pour remplir un travail monstre avant mon départ et y pallier ; mais j'allais enfin pouvoir mettre mon avis réel sur le soupçon d'un autre.
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Mar 28 Juin - 6:09

Jet de Dé Indicatif : Réussite 96%, Blessure 32% ( Localisation principale 4 Bras Gauche )

 Ils ne voulaient pas me voler... 
« Alors monsieur Herkassel commencé par le début. »

Un rendez vous en centre, l'on m'avait convoqué au cul de sac pour en rendez vous préalable, depuis que je suis passé Docteur Arcaniste, les premiers dépassant ma réputation sont les riches gothique du Promontoire, j'avais rendez vous avec Mister Goldwin, un homme qui souhaitait me tester dans la plus grande discrétion. Voir si j'étais digne d'approfondir ses connaissance. Aucun nécromant n'aime se faire connaître de trop, surtout dans se monde de paillette et d'or, c'est toujours inquiétant de voir des hommes que l'on nomme maître de la mort... même si nous sommes bien loin de cette définition.
J'ai pris la route de rodrick et j'avoue que le quartier Est m'est inconnu, les routes sont indiqué de manière anarchique et l'ombre était pesante, la nuit bien avancé. Les pavage se sont ôtes au fil de mes pas et je me suis retrouvé dans un dédale de masure sur de la terre battue à moitié en construction, comme si la partie de ville était en chantier. Mais, cela faisait un moment que je me sentais suivis, je marchais vite prenais garde à qui m'approchait... mais lorsque je me suis perdu dans les ruelles de terre battues j'ai arrêter de penser à tout cela... j'étais préoccupé à retrouver l'artère centrale. Pas un lampadaire... juste les faibles lanternes dans les maisonnées et encore qui filtrait à peine à travers les volets. Je ne devais pas etre loin d'un bordel au vu des sons... une journée exténuante de travail... j'étais lessivé, je ne crois même pas avoir réellement chercher à réaliser ou j'étais. Comme un moment de flottement... et là j'ai entendu la terre sèche se remuer bon nombre de pas c'était juste des silhouettes dans l'obscurité. Je possède une dague... toujours à ma ceinture, j'ai compris que c'était... grave. Je l'ai dégainé mais j'ai reçu un puissant coup au poignet ou une main qui me saisissait puis une clef de bras je me retrouvais par terre sans mon arme qui s'est perdu je ne sais ou... ils ne l'ont sûrement pas trouver eux même. D'ailleurs... là je crois que lorsque j'ai mordu la poussière, j'ai pu dénombré combien ils était quatre ou trois je ne sais plus trop. Ils n'ont pas parler... ils n'ont rien prononcé du tout. L'un m'a sûrement fouillé rapidement arraché ma chaine... je n'avais rien d'exceptionnel... on m'a arraché  mes bagues... j'ai même sentis un de mes doigts se déboiter par la violence du geste mais... je suis assez persuadé qu'ils en ont abandonné sur le sol... car ça été vite mais ils sont resté bien plus de temps à battre ma personne... à terre... dans la pénombre la plus totale, ils ne devaient pas même savoir se qu'ils frappaient d'ailleurs avec leur pied... j'ai juste entendu un os craquer dans mon avant bras et en réalité... je crois que la seule chose que je me suis dis c'est attend que cela passe. On a pas vraiment peur... mais je crois que je n'ai pas voulu attendre que cela passe néanmoins... mais tout le reste est une vague d'ombre bleu et noire dans la nuit, une sorte de rugissement... non un vrombissement là dans ma tête... hm... je l'ai juste inventé. Tout s'est arrêté... le noir s'est emplit dans ma vue... et je crois que j'ai ris l'espace d'un instant. Je me suis relevé j'ai marché dans l'ombre, et j'ai rejoins les lampadaire de la grande artère, là quelqu'un s'est arrêté je devais être en miette mais je me sentais bien... puissant, fort... même dans l'ombre et le néant. Ça doit vous sonnez si étrange. Mais je n'avais aucun mal. Je sais juste que j'ai vu de la peur dans les yeux de cette femme puis elle vit surement le sang... et m'a ammené ici... voilà tout se dont je me rappelle.
«  Dans tout se que vous me racontez a quel moment auriez vous pu réussir à mettre à terre ses hommes ? Car c'est ainsi que nous les avons retrouver au nombre de quatre... armé et l'un venait sûrement de dégainé son arme... l'un d'eux avec de quoi ligoter... effectivement ils ne comptaient pas que vous volez... à quel moment vous êtes vous battus ? »

Au moment, ou j'ai cru voir la mort. Mais pas comme vous vous battez tous... avec mes moyens à moi...

«  Lequel ? »

J'ai besoin de me reposer. Peut être que je m'en souviendrai plus tard.

La Séraphine hocha la tête se levant le regard plein d'intrigue. Je tournai mon visage vers le plateau d'argent et voyait mon visage tuméfié, j'avais enfin l'air de tout... sauf d'un humain.
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Mer 12 Oct - 23:54

-Les Inédites "Quantum Of Solace" N°2-

Un tambourinement à la porte et je me levai d'une de ses conversations trop importante au chevet de mon propre lit. Elle regardait la porte de ma chambre avec un air las son carré court et ondulé masquant l'arrondis de ses joues... cette manière de penché légèrement la tête empreinte de deception. Je posais une main sur son genoux me redressant.

- Il faut que j'aille ouvrir...
- Hubert s'il te plait... c'est important, tu fais peur à voir... je m'inquiète il faut vraiment qu'on parle.
- Si c'est pour le travail...

Elle me  coupa la parole en levant une main refusant d'en entendre plus et me fit d'un signe désolé, l'ordre d'y allé sans plus argumenté. S'était toujours comme ça. J'enfilai une chemise et un pantalon et allait au petit trot rejoindre ma porte d'entrée pour donner face à la dernière personne que je pouvais attendre. Des yeux d'un vert surnaturel, cheveux blanc tombant en mèche sur un front sans age et une capuche sombre posé pour plonger se visage intemporel dans l'ombre.

- Bonsoir Commissaire, j'espère ne pas déranger, je sais que l'heure est tardive.
- Monsieur Herkassel ? Mais qu'est ce que vous faites ici ... ce n'est pas un endroit pour vous promenez ses temps ci...

Azael désigna d'un geste de présentation élegant le garde du corps plus loin.

- Le monde m'appartient depuis que vous m'avez donné l'égide de la protection. Puis je entrer ? J'ai des choses relativement importante à vous dire.

Je papillonnais un instant secoua la tête, les idées fusant à trop grand régime dans mon crane puis le laissait rentrer. Je voyais Petra dans la Kitchinette qui se préparait une de nos fameuse infusions d'ortie dans un soupir désabusé en voyant que je n'avais clos la porte. Alors, dans un silence meurtri elle sortit une troisième tasse. Le dandy dévoila son visage impeccable de toute fracture d'un geste étudié pour se dévoilé et venir s'incliner profondément face à elle.

- Madame enchanté, je me prénomme Azael Herkassel, je tiens à m'excuser de ma visite innoportune, il me fallait m'entretenir avec monsieur Solace.

Elle portait un de mes débardeurs, sa raison ici était évidente. Elle l'avisa et lui sourit avec chaleur, comme l'excusant lui, pour bien me montrer ma marque d'irrespect à moi.

- Ne vous en faites pas je ne suis pas chez moi, Hubert acceuille qui il veut. Je suis Petrushka Valensky ( outch ça me faisait toujours mal à entendre ), l'ex femme de Hubert.

Azael sembla d'un coup contrarié à l'idée d'etre venu à un si mauvais timing, j'avoue lui en vouloir un peu moi aussi. Il s'inclinait avec toute révérence.

- Je puis repartir et consulter monsieur plus tard... j'ai bien l'impression de déranger.
- Non... non il a ouvert la porte, il doit avoir de bonne raison, je bois cette tisane et après je m'esquive...
- Pétra..., fis je comme un pauvre chien abattu.
- Non. Hubert n'insiste pas.

Elle versa le liquide chaud dans les tasses yeux mi clos, tant de peine transparaissait sur son visage. J'invitai avec honte le noble à prendre place... j'avais beau hair la situation ma curiosité dépassait le bon sens. Je pris ma place sur mon large fauteuil et le sondait dans un moment de mutisme.

- Que puis je pour vous Ser ?
- Je crois que j'ai quelque informations à vous fournir concernant certaines choses que vous avez laissez clairement insinuer à ma femme. Je suis loin d'être stupide j'ai bien compris se que vous vouliez. Alors, je suis venu vous donnez des informations.
- Sur quel fait ?
- L'attaque de mon Manoir. Ecoutez, je sais que ma femme aura tenter à tout prix de me protéger, de tout faire pour m'exempter un malaise ou une situation des plus inconfortable voir dangereuse. Mais, je vais être honnete je n'ai rien à cacher envers quelqu'un qui protège notre patrie. Espérant que vous puissiez pardonner à ma femme tant de précaution... après tout que ferions nous par amour ?

Petra marqua une pause alors qu'elle ammenait les boissons puis me regardait ne pouvant s'empecher de dire:

- Et tout se qu'on ne ferait pas... par habitude à cet amour... surtout.

Azael se tut sentant bien avoir toucher un point sensible. Il se leva après l'avoir chaudement remercier pour l'infusion.

- Je sens bien que je tombe mal je ne veux pas insister...
- Non, répéta Petra avec vigueur. Vous avez l'air d'avoir des choses importantes à raconter, peut etre même une sagesse que Hubert à oublier... je vais m'eclipser dans la chambre.

Se qu'elle fit sans attendre que je puisse répliquer. Le ser me regardait avec compassion avant de déclarer :

- je suis sincèrement désolé j'ignorai vraiment que la situation était si houleuse avec votre ex femme, d'un ton plus bas.
- Vous ne le saviez pas... disons que je n'ai pas été un mari très attentif durant notre mariage... ni même aujourd'hui que nous ne le sommes plus...
- Très bien... alors je vais faire au plus vite pour vous rendre le plus vite à elle et à vos urgences. Mais, j'ai compris que vous voulez savoir se qui s'était passé lors de l'accident se qu'avait pu absorber le Chevalier Noir. Car il a absorber de la magie... j'ignore exactement se qu'il s'est produit car tout ressemble à une anomalie nécrotique d'envergure et tout mon savoir n'en résolve pas l'exacte developpement. Mais vous devez savoir une chose, car je ne veux qu'il y est aucun problème.

J'écoutai sans oser l'interrompre.

- Ma femme me protége d'une horrible vérité que je ne peux plus cacher qui m'est insupportable et dont la honte m'accable mais si cette chose vous interresse alors je dois vous le dire car vous l'apprendrez et je prefère que se soit de ma bouche. J'ai été victime d'un accident... dont je n'avais pas conscience jusqu'a il y a peu.

- Un accident ?

- D'ordre magique. Je viens d'une famille d'héritage nécromant... de magie sombre et de son univers aussi lugubre soit il. Mais, leur allégeance dépassait l'entendement... mes parents pour des raisons qui leur appartiennent, on fait de moi dés ma naissance même l'instrument d'une créature de l'outremonde... violente et puissante. J'en était son hote, son ancre inconsciente. Ca doit ne rien vous évoquez mais j'ai fais des choses sous sa coupe dans l'innocence de sa possession... des choses que je ne pourrai décrire. Lorsque je l'ai appris... j'ai tout fais pour qu'on puisse m'exorcisé j'avais tant à perdre... ma femme... ma vie... tout. J'ai demandé de l'aide, auprès de l'Eglise de Grenth... mais le chevalier noir je pense qu'il n'a rien voulu savoir de ma potencielle innocence d'ou sa présence chez moi. J'ignore la totalité de se qu'il pouvait y avoir dans mon propre bureau, mais la créature avait pu ensorceler l'endroit pour... une sorte de lien avec moi... du moins c'est se que j'ai supposé. Désormais, je suis totalement dépossédé et je souhaitais tout avouer au grand public... mais j'avoue avoir peur de le faire, mais je ne peux pas le feindre pour une autorité tel que les séraphins.

Ca m'en coupa la chique, aussi bien que même si il mentait je ne pouvais rien en deceler, il avait une telle assurance à tout dire, une telle conviction, ses yeux fuyant son horrible vérité, je ne pouvais en définir l'honneteté.


- Tout ça est bien fini... mais si ça peut vous aidez... c'est peut etre un acte démoniaque qui a créer cette anomalie... un sortilège très puissant combiné à un second... ils sont rentré en conflit et il y a eu un paradoxe surement créeant un paramètre inconnu. Voilà. Mais comprenez moi... et comprennez ma femme... j'aurai tout fait pour la protéger et elle ferait tout pour moi... après tout que sommes nous pret à sacrifier pour la personne que l'on aime ? Quitte à mentir...

Je me retrouvai un peu secouer, inspirant profondément passant ma main sur mon visage.

- C'est grave monsieur Herkassel... très grave...
- La garde n'aurait pas compris... on s'en est référé au seul ordre religieux qui pouvait me laver... voilà tout, je suis désolé ... comprennez le bien... je n'ai jamais voulu ça...
-Je comprend mieux pourquoi Lilly m'a menti aussi mal... c'est vrai qu'on est capable de beaucoup de chose pour la personne qu'on aime... mais... j'ai... là tout de suite je ne sais absolument pas quoi vous dire...
- Alors ne dites rien et comprennez que parfois pour le bonheur on donnerait son ame... si vous jugez que je mérite les fers je vous laisse en décider, mon sort est entre vos mains. Mais je n'ai pas le pouvoir de changer le passé ni même l'horreur, je sais se que j'ai fais, j'ai risquer la mort pour être celui que je voulais être.

Un instant je regardais la porte de la chambre livide. C'était trop d'un coup. J'avais une puissante envie de vomir ou juste le plomber arbitrairement car là actuellement il me faisait simplement peur. Pourtant, se qu'il me disait me giflait purement et simplement, cet homme là avait il vraiment tout risquer pour sa femme... était pret à mourir pour juste avoir une chance de vivre à ses cotés ? C'était trop grand... trop beau... j'aimais Petra plus que tout, mais j'étais si égoiste pour ne pas avoir pu lacher mon travail pour elle ?

- Vous n'allez pas vous enfuir ? Si je vous laisse partir ? Ou si je venais vous ceuillir car j'ai décidé que vous étiez trop dangereux pour la société ?

Azael désigna la porte d'entrée.

- Est ce que j'aurai bien le choix ? Les séraphins ont l'oeil sur moi. A vous de voir. Mais j'ignore pourquoi vous aviez besoin d'etre renseigné sur l'accident... mais c'est tout se que je sais.

Il se leva me regardant m'ayant clairement pris au dépourvu, puis inclinait la tête.

- A vous de voir, ponctua t-il en partant vers la porte d'entrée. Bonne soirée Commissaire vous savez ou me trouvez.

Je me redressai sur mon fauteuil pour le regarder ouvrir lui même la porte de sortie.

- Vous n'avez pas peur de mourir ? Vraiment pas ?
- J'ai toute les raisons de vivre mais si elle vient c'est que c'est mon heure n'est ce pas ? Retrouvez votre "amie", elle a besoin de vous je crois.
- C'est moi qui est besoin d'elle.

Il opina avec compassion puis sortit sans plus un mot. Je me renfonçai dans mon fauteuil exhalant brutalement... c'était comme un coup de faux derrière la nuque... je n'avais pas tout rassembler de se qu'il m'avait dis que je m'en sentais lessivé... entre une reflexion " oh putain " et " il faut que j'en informe mes contacts ", une autre idée me vint. Il avait foutrement bien organisé son entrée pour que je n'ai rien à dire, ni à agir. Théorie du Complot quand tu nous tiens. Au final, j'ai ponctué tout celà d'un long : Oh putain...
Zyuzky
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Zyuzky

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Ven 14 Oct - 6:20

--Souvenirs n°1--


-Que m'arrive t-il ? Pourquoi celà ne marche plus ?
Ni bleue, Ni Noire... aucun d'eux n'arrive à me faire oublier...
Il y a des échardes sur mes mains Qu'est ce que j'ai bien pu faire ? Alors cela fonctionne... ?
Pourquoi es tu encore là livre ? Qui peut bien te mettre ici ? C'est toi bleue ? Tu aimes trop cette histoire ?

Il s'assit, sur sa vieille chaise usée, observant sa librairie plongée dans le noir et regarda par les vitres qui décoraient sa porte. Prit sa boite à musique de couleurs bleu et dorée puis l'ouvrit.


Il se détendit et reporta son regard sur le livre violet ornée de magnifiques broderies dorées perché sur une étagère à sa gauche.

-Je sais parfaitement ce qu'il y a dans ce livre. Je le sens. Mais c'est la première fois depuis si longtemps...

Il frappa sa malle avec son pieds

-Tu veux ressurgir monstre ? Que... ? Non, non, non...

Il ouvrit la malle et sortie une troisième boite à musique cette fois si blanche magnifiquement blanche.

-Je dois essayer? Si tu ne fonctionne pas !... Je n'ose savoir ce qu'il adviendra...




...



-Qui es tu ?

Lilly Doll
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Lilly Doll

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Ven 28 Oct - 16:36

Les inédites ~ Les états d'âmes de Lilly Doll ~ scène n°1


(Ce passage de l'histoire personnelle de Lilly a eu lieu au lendemain d'une discussion avec Azaël et un peu avant l'intervention de Norbert Falto, puis Savarah Lesmarck dans la soirée. Un passage du rp sera mis en spoiler et déconseillé pour les âmes sensibles: il a une connotation trop dure pour être montrée ainsi. La scène a donc eu lieu mercredi)



« Il était  dix-huit heures lorsque  je rentrai dans le cabinet du Docteur Strange. Contre toute attente, j’avais retrouvé son adresse dans mes papiers médicaux avant-hier. Un petit papier rose, écrit de la main du Docteur Quinn. Une brave gynécologue quand j’y pense. Heureusement qu’elle a été présente pour Alrune. Mais bon sang, quelle diablesse d’avoir osé penser à moi…
- « Tu sais qu’elle a eu raison », résonna cette voix dans ma tête.
Je haussai des épaules, n’osant rien écouter.

C’était un petit cabinet simple, légèrement fleurit et joliment décoré. Il n’y avait pas d’extravagance : les murs étaient tapissés d’un brun rosé avec quelques fauteuils confortables disposés tout autour d’une table. Je remarquai alors que j’étais seule.
- « Peut-être la dernière consultation de la journée ? »
Intérieurement, je remerciai le Dr Strange pour cette délicatesse. L’idée d’être interrogée du regard par des inconnus me rendait complètement malade. Sans compter les larmes qui me montaient déjà à l’œil ; j’étais complètement terrifiée à l’idée de le rencontrer. Et surtout seule…
Je profitai alors du silence pour m’asseoir. Etacle se leva de mon épaule pour se poser sur mes genoux. Il semblait encore tout tremblant des derniers événements. Et je tentais, vainement bien sûre, de me rassurer. Mais comment oublier une telle crise. Même toi, je t’ai vu brisée par ce qu’il s’est passé.
- « J’ai été surprise. C’est tout. »
J’esquissai un sourire ironique. Toi ? Surprise ? Au fond tu t’en doutais tellement… Tu le savais au final que tu n’avais pas le droit à un tel bonheur ; cela te brûle trop les ailes. Et celles des autres.
- « Mais tu y crois toujours. »
Je secouai la tête, tout en passant une main dans ma précieuse pour reformer ses boucles. En y repensant, j’aurais voulu tout annuler, tout oublier du pourquoi je faisais ça. Avant de me rendre compte que je l’aurais fait pour de mauvaises raisons. Après tout, j’étais en droit de savoir et qu’importe que je sois seule ou en couple désormais. La douleur de n’avoir jamais su serait un poids en moins à porter, une autre déchirure à cicatriser. Et elle me permettrait de ne pas penser à cette crevasse immonde qui entaillait mon cœur depuis deux jours. Tout comme la brûlure de mon œil. Je le reconnais, j’avais trop abusé de mon éther la nuit dernière : je m’étais jetée sur mes commandes mais ça n’avait rien changé à la douleur. Je me sentais juste vidée… juste…


- « Comtesse Honory ? »
Je sursautai, rouvrant l’œil vers mon appelant. C’était un homme au ventre bedonnant et au visage rond ; ses lunettes en demi-lune cachait un regard très éclairé et perspicace. Il avait une démarche calme, qui me faisait penser à celle d’André. Il aurait été presque rassurant s’il n’était pas… médecin.
Je me levai pour le saluer en inclinant la tête. Il esquissa alors à mon encontre un sourire rassurant.
- « Je suis désolé de vous prendre aussi tard mais j’ai eu une affaire urgente à régler. »
- « Je vous en prie, Docteur. C’est tout naturel. »
Il montra alors la porte de son cabinet.
- « Je vous en prie, entrez et installez-vous. »

Je passais le pas pour rentrer dans la salle de toutes mes angoisses. Cette dernière était assez claire, dans tes tons roses pâles. Mais elle dégageait un parfum aseptisé que l’on sentait généralement dans les hôpitaux. J’aurais voulu en vomir. J’avais tellement envie de partir !
- « Il faut que tu restes. C’est pour ton bien et tu le sais. »
Pour mon bien ? Me faire triturer l’origine du monde pour une réponse que je connais ?!
- « Justement, tu ne connais pas la réponse. On te la juste imposé. »
J’avais du mal à respirer, à penser, à répliquer. Je voulais juste m’enfuir mais mon corps marchait dignement vers cette chaise diabolique qui se tenait devant moi. D’un pas lent, je m’avançais pour m’y asseoir, tout en fixant le Docteur Strange qui s’installa à son tour dans un soupire satisfait. Il ouvrit dès lors un dossier – volumineux – devant moi et l’inspecta.

Par pitié, pourvu que ce ne soit pas…
- « Alors j’ai parcouru votre dossier attentivement… »
Je tiquais malgré moi à cette première phrase. Parfait ! Il savait tout de ma vie privée ! Qu’on me donne un couteau et qu’on me coupe les veines, qu’on en finisse !
- « Pardonnez-moi mais, comment l’avez-vous eu ? » Demandai-je, en toussotant un peu.
Si c’était Grégère…
- « le Docteur Quinn m’a confié votre consultation et votre généraliste et cardiologue, le docteur Grégère, m’a confié l’essentiel à savoir sur votre état de santé, ce qui est déjà conséquent au vue du dossier, comptant déjà toutes les analyses de bases et poussées à votre égard. Vous avez eu un lourd passif Comtesse, et je suis désolée de l’apprendre. »
Il me regarda alors au-dessus de ses lunettes. Un regard trop inquisiteur : j’avais l’impression qu’il allait me dévorer ! Allez Lilly, reste calme.
J’inspirai doucement et répliquai :
- « Je suppose que le Docteur Grégère était trop occupé pour venir m’accompagner à la consultation… »
Et subir mon regard courroucé. Et au moins trois malédictions à la suite.
Le Docteur Strange sourit gentiment à cette phrase.
- «  Ne lui en veuillez pas, Comtesse. C’est un médecin qui s’implique au bien-être de ses patients et il a été très clair sur certains points vous concernant. »
- « Lesquels ? »
- « Ça, nous allons vite le savoir. Alors, expliquez-moi votre situation depuis le début. J’ai eu un bref descriptif de mes collègues, mais j’aime entendre les histoires de mes patients. »
Je sentais qu’au plus profond de moi j’allais détester cet homme. Non, calme-toi. Il ne faut pas que ton œil change de couleur, sinon il va s’inquiéter. Reste tranquille et exprime seulement les faits.
- « Il n’y a pas grand-chose à dire. Quand j’étais adolescente, j’ai dû faire des analyses poussées sur mon état de santé, peu après l’apparition de mes premières règles. A partir de là, je n’ai que peu de souvenirs de mes analyses. Voire aucuns… on m’avait endormi la plupart du temps pour m’éviter  de … « m’inquiéter ». Suite à mon réveil, on m’a informé que j’étais stérile. Sans m’avoir précisé la conséquence de cette stérilité. »
Le Docteur Strange hocha la tête, croisant ses mains boudinées tout en m’écoutant. Il semblait circonspect.
- « Là où je suis curieux, Comtesse Honory, c’est pourquoi vous ne vous en êtes pas inquiété plus tôt ? »
Je haussai les épaules.
- « J’en étais persuadée. Et surtout que je n’avais eu aucune relation jusqu’à ces trois dernières années. Ensuite… »

J’avais du mal à respirer. Non non non ! Non, ne pense pas à lui, ni à son sourire, ni son étreinte, ni sa tendresse, reste calme ! Reste…
Trop de souvenirs affluaient dans ma tête. Il me fallut un peu de temps pour faire le vide, réprimer un sanglot et garder une voix claire.
- « Ensuite », répétai-je, « j’ai eu le désir d’avoir un enfant avec mon… mari. Et le doute est alors revenu. »
Mon mari, mon mari… il va falloir que tu arrêtes avec ce terme… il ne l’est plus pour le moment…
Le Docteur Strange hocha la tête, semblant compréhensif.
- « Je comprends. Après tout, quand on veut se stabiliser et fonder une famille, les problèmes passés auxquels on ne s’occupait plus, reviennent peu à peu à la surface. Vous avez du beaucoup souffrir de cette supposée vérité. »
Je n’osais même pas répondre, juste hocher la tête. Il tourna alors quelques pages du dossier, réfléchissant.
- « Donc, si je résume, vos menstruations viennent tous les deux mois pour une périodes de cinq jours.  Selon vos analyses, vos hormones sont on ne peut plus stables avec les pics correspondants au cycle habituel. Pas de modification, pas de changement flagrant. Vos règles sont légères ou abondantes ? Et Régulières ?»
- « Cela dépend. Mais habituellement légères. Et oui, régulières.»
- « Vos prochaines menstruations auront lieu quand ? »
- « La semaine prochaine. Le Docteur Quinn m’avait conseillé une opération juste après. »
- « Elle a eu raison. L’opération sera plus facile et agréable pour tout le monde. Vous avez eu des relations avec votre mari dernièrement ? »
- « Non… plus depuis… quelques temps. »
- « Une semaine ? Deux semaines ? »
- « … Une semaine environs.»
- « Bien, on peut donc envisager une opération dans… onze jours ? » Demanda-t-il tout en regardant son agenda. « Cela tomberait un dimanche. Cela vous convient-il ? »
- « Oui. »
- « Bien sûre, plus de relations jusqu’à l’opération, et quelques jours après. La vérification n’est pas dangereuse, mais le temps de repos nécessite un peu de temps. »
Comment lui dire qu’il n’y en aura plus ? Les larmes me montaient à l’œil, mais j’arrivais à les retenir encore. Une respiration régulière et maîtrisée me permettait encore de calmer mes émotions.
- « Vous pouvez vous en assurer. » Répondis-je d’un sourire rassurant.
- « Parfait. Maintenant je vais devoir vous expliquer la procédure opératoire. Ne vous inquiétez pas, il n’y aura aucune conséquence sur votre intégrité. »
Je hochai la tête, prête à attendre le pire.
- « Alors », commença-t-il en éclaircissant sa gorge. « L’intervention chirurgical est ce que l’on appelle une hystéroscopie opératoire.  Avec un outil spécifique – l’hystéroscope, nous dilatons votre col et l’y insérons pour en vérifier son état. La technologie asura actuelle permet maintenant de faire des opérations plus précises et sécurisée grâce à cela. A partir de cet outil, nous pourrons observer votre utérus et vérifier la moindre anomalie. Il y a très peu de risques opératoires ou d’infections, mais concernant vos problèmes cardiaques, je devrais m’assurer que l’anesthésie ne sera pas trop forte pour vous. »
- « Peut-elle être local ? »
- « Je ne préfère pas personnellement. Le Docteur Grégère m’a posé cette même question et je préfère vous dire non à tous les deux. Il m’a effectivement expliqué vos craintes. Mais si je peux vous rassurer, il observera l’opération et ne vous quittera pas des yeux. Je vous en fais la promesse. »
Je devais être livide, car il sembla tout à coup très soucieux de mon état. Comment ne pas se décomposer en entendant autant de mots barbares ? On allait encore m’endormir, d’une autre manière certes, mais on allait m’endormir. Et si… Non… Ils ne sont pas comme ça. Ils ont changé. Surement changé…
Je déglutis sévèrement.
- « Combien de temps durera l’opération ? »
- « Entre une à deux heures. Vous arriverez le matin et aurez le droit à une douche personnalisée une heure avant l’opération. Vous pourrez rentrer chez vous le soir même. »
- « Et où aura lieu l’opération ? A l’hôpital de Salma ? »
- « Hélas, non. Cela se fera aux Criques de Sud Soleil. Ils ont tout le matériel médical qu’il faut pour une telle opération. Je ne doute pas de l’efficacité de votre hôpital, mais ils ont moins de moyens et de ressources. De plus j’y ai mes habitudes. Donc tout se passera bien. D’accord ? »


Spoiler:

Je sentais la fatigue venir, la fragilité devenir une douleur béante. Comment vivre après tout ça ? Comment ?
Non… ne te laisse pas avoir… il faut que tu restes calme… il faut…
- « Je suis désolé, Comtesse. Sincèrement… »
Tais-toi ! Ta gueule ! Tu ne connais pas cette souffrance ! Tu ne connais pas sa souffrance ! Tu… Non… je t’en prie… non…
Je me sentais étouffée et mon cœur semblait si lourd. J’avais besoin d’air, tellement !
- « Il faut que je sorte… », dis-je d’une voix brisée. Mais je sentais déjà la mécanique s’engranger dans mes cordes vocales.
- « Je comprends…, cette consultation n’a pas été facile, et je redoutais cela. Voulez-vous que nous la remettions à plus tard ? »
Oui… va-t’en, pars d’ici… Non… y revenir serait encore plus douloureux. Je devais finir cette consultation.
- « Non… est-ce qu’il y a autre chose à savoir ? »
- « Nous avons tout dit. Sauf les modalités de règlements, mais je pense que ce ne sera pas un problème. »
- « Effectivement… »
Il s’approcha, posant une main sur mon épaule. Il osait la toucher… Non Calme-toi…
- « Nous pourrons nous donnez rendez-vous, le dimanche six à 7h, dans le hall de l’hôpital de Sud Soleil. Je vous y accueillerai personnellement. Je… vais essayer de voir si une anesthésie locale est possible. Mais je ne vous promets rien, au vu de votre état de santé. D’accord ? »
- « Oui… Merci pour votre bienveillance. Docteur. »
Il eut un sourire plein de compassion à mon encontre, mais qui me donnait seulement envie de l’étrangler sur place. Je retins pourtant mon envie, souriant malgré moi.
- « Bien », dit-il. « Je vous raccompagne à la porte. Je pense que vous devriez vous reposer. Ne pensez pas à ce que je vous ai dit et occupez-vous seulement de l’opération. Vous avez mes coordonnées si quelque chose ne va pas. »
Je hochai la tête comme un mécanisme, souriant sans rien dire. J’inclinai la tête puis me levai, ne demandant pas mon reste. Je sentis dès lors son regard peiné fixé sur moi, jusqu’à ce qu’il me perde au détour d’une rue. Gardez-là votre pitié ! Et laissez-moi en paix…

En traversant les longues ruelles du quartier de Rukinton, j’aurais voulu mourir, ou détruire tout le monde. Je marchais sans vraiment regarder devant moi, souhaitant juste rentrer chez moi et oublier. Mais oublier quoi ? Ma mémoire est infaillible. Et elle est mon fléau depuis mon enfance.
C’est en errant un long moment dans le quartier, que je repris mon calme et m’en retournais vers Salma. En descendant le petit pont qui m’amenait à la place, j’aperçus dès lors le baron de Falto à ma porte.
J’inspirai : le pire était derrière moi désormais. Et de toute manière, il ne pourrait pas y avoir plus pire que cette journée. Allons ma grande, prend soin de ce garçon : on vient te demander conseil. Respire tout doucement, change la couleur de ton œil.

Allez. Souris, et tais-toi. »


Zyuzky
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Zyuzky

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Sam 3 Déc - 15:18

Dans une loge perdu au sud d'Hoelbrack

"- Il va s'en sortir... ?
- Je ne sais pas...
- Tu crois qu'il nous entend... ?
- Siger... ?"


...


"Le monde autour de moi s'assombrit, il devient lourd... Je sens la terre se déchirer jusqu'à ses entrailles... Qui suis-je désormais ? Champions d'un Esprit aussi puissant qu'ancien. Il m'a parlé. Il m'a offert sa force et je lui ai offert ma vie. Où me suis-je égaré ? Pourquoi ai-je autant eu ce besoin de lier mon esprit au siens ? Est-ce de la vengeance ? L'ambition ? La dévotion ?"

"Le tout mon ami. Le Tout."

"Je pensais pouvoir m'échappé dans mon esprit ne plus être juger mais à présent tu es là. Écoutant, Jugeant... Omniscient... Suis-je devenu la simple marionnette de cette esprit antique ? Ma vie doit elle t'être dévoué Minos ?"

"Pour qui me prend tu Norn ? Je ne suis pas cet imposteur de Jormag qui tue mes fils et les transforme en abomination. Je suis venu à toi car ton esprit était mon seul salue. Un portail entre les mondes."

"Que me veux-tu ? Dans ce cas ?"

"Je veux t'as force Siger. Je la veux pour libérer mes enfants. Je la veux pour protéger ce monde berceau de la matière."

"Je comprends mais j'ai moi aussi mes dessins, Ancien."

"Ne t'en fait pas. Ma patience est aussi grande que ma colère. Fais ce que tu as faire jeune Norn. Je reviendrai vers toi en temps voulu. Siger Lindstorm. Mon Champion."


...

- Il ouvre les yeux !
- Travelen va prévenir Morour il est en vie !

...


"Renais mon ami puisse les courants de la terre te guider."
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Y a Des Marqueurs

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Mar 6 Déc - 18:53

-Les Inédites "Quantum Of Solace" N°3-

Il était de sa haute et longue stature penché sur un livre d'un stand libraire, d'un geste trop étudier. Cet homme avait passé combien de siècle d'une vie à faire semblant, à mentir. Il me faisait cette impression en permance, son doigt long réagençant sa mèche pour que des yeux iréels puissent continuer à lire. On pourrait croire que toute cette tonne de faux semblant, me débectait au plus haut point, que je le haissais pour avoir les plus de toute ses vestes pas assez virile, trop bien agencé. Que j'étais rongé d'une jalousie dévorante face à son succés. Après tout, tout semble lui réussir, le pouvoir, la notoriété bien qu'entaché, les femmes à ses pieds. Pourtant, au delà de tout se qu'on imagine, je ne l'avais jamais vu comme tout se qu'il parait. J'avais de la peine pour cet homme. Réellement. Lorsque je le percevai je le voyais seulement comme un esclave avec des boulets de diamant au cheville, des chaines si lourde qu'il cachait si bien d'un sourire élaboré. J'entendai à chacune de ses intonations nobles, le coup de pioche qui l'enterrait à mesure dans une condition inhumaine. J'approchai rabattant ma crète rouquine en arrière. Si j'ai pensé vouloir le sauver... bien sur. Mais rien ne pouvait changer quarante années de servitude, et il sera et demeurera toujours le chien ésothérique d'un autre monde.

- Ser Herkassel... Je peux vous parlez un instant.

Il tourna son regard vert luisant vers moi, levant un long index pour venir finir une ligne manuscrite à la main et dans un geste de piège à loup faire claquer le livre.

- Que puis je pour vous commissaire ? En espérant que se ne soit une diatribe sur le fait que je sois le mal incarné... encore une fois.

- Non, secouant les mains dans l'air. Si je vous ai engagé c'est que je connais votre utilité. Votre role dans cette affaire. Mais, je me dois de gerer l'équipe au mieux, avec les choix que ça impose. Et en celà j'ai besoin de vous oui... mais ailleurs.

- Ailleurs ? Pouvez vous explicitez commisaire je vous pris..., répondit il ses sourcils d'argent fronçé.

- Au Prieuré de Durmand pour être exact... j'ai des lacunes monstrueuses concernant le sujet de l'ascenscion des héros. Peu de détail. Sans ça... je ne peux pas planifier les actions d'Annasunaxar. Je ne suis pas une bête d'érudisme non plus, la magie ça m'échappe même si je me soigne. J'ai besoin de vous pour allez vous renseignez à l'endroit ou vous auriez le plus de réponse. Ainsi que sur la culture Khalébienne mentionnée par l'engeance du nécromant.

Une inspiration qui ponctua ma fin de phrase, puis il secouait la tête avec calme me toisant de sa vingtaine de centimètre de plus.

- Je comprend. Mais j'ai néanmoins une question qui me semble importante.

- Je vous écoute Ser.

- Pourquoi chercher autant à m'éloigner ? De se Jaren plus particulièrement et de Netoh.

- Je pourrai tout vous expliquez... je pourrai parler des heures durant que vous pourriez trouver ça absurde. Mais le fait est, que mon job est d'imaginer toute les possibilités logique à une action. Se qu'elle produira peut etre des mois après et l'empecher si elle s'avère néfaste. Je vais vous demander une chose audacieuse... si je vous fais confiance pour ne pas être le mal que j'ai osé estimer fut un temps, car malgré tout se que vous pourrez penser c'est se que je fais. Je vous demanderai de juste me faire confiance. Car si je l'expliquai j'aurai l'air d'un simple parano et que pour l'heure vous seriez mieux à l'étude précise des points abordés. Le temps de voir comme les choses se décantent sur Kessex. Vous pourriez devenir un moyen pour Netoh sans vouloir blesser votre égo. Et cette éventualité là est terrifiante.

- Je ne vois pas pourquoi je vous ferai confiance Monsieur Solace, vous avez assez qualifié votre haine à mon égard... vous vous moquez de ma vie privé, de qui je suis.

- Je vous demande pas de me porter dans votre coeur. Mais si je vous rebutte autant, si vous êtes si réactif, c'est parce que je vous vois réellement. Et que je sais combien vous êtes seul bien que bien entouré. Que vous n'êtes jamais à votre place nulle part, alors vous avez inventé un Docteur Arcaniste intelligent, surement efficace. Mais vous... le mal être qui vous ronge n'a pas de nom... et vous savez que je le sais. Vous savez qu'au final... je ne vous déteste pas. Mais qu'en réalité j'ai pitié de votre place.

- Je vous demande pardon ?!

- Ca non plus vous n'avez pas à le prendre bien. Je ne suis pas un exemple de bonheur. Mais ne le nier pas dans un sens je vous fais aussi peur que j'ai peur de vous. Alors juste... acceptez d'allé vous renseignez. Faites se que vous faites de mieux... être malin et intelligent. Vous aurez votre place ici plus tard. J'ai besoin de ses informations et vous savez que c'est raisonnable.

- Vous pensez me connaitre... mais vous vous leurrez Commisaire.

- C'est pas le psychologue qui vous a compris, je vis le manque... d'être hanté et je sais reconnaitre quelqu'un qui partage se mal. C'est drole comme on s'échine à faire semblant hm ?

Le mage fit un rictus en reculant malgré lui d'un pas, reposant le livre sur l'étal et passa à mes cotés se penchant à mon oreille pour murmurer acide.

- Vous ne savez rien. Je respecterai simplement mon contrat.

Il partit, me laissant avec un frisson terrifiant... se que ce type pouvait me hanter de terreur.
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Y a Des Marqueurs

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Dim 11 Déc - 4:32

- L'Ombre des Grands Espoirs -

Il est une histoire tragique, que beaucoup ont oublié dans les tulles et l'excés de confiance. On a peint le monde en blanc pour le voir se tacher, surement, constament. On a mit des pointes d'or sur le toit des chapelles et fait sonner les carillons de beau évenement. Il est la lumière éclaboussante sur chacune de nos silhouettes. D'un regard plein d'eau, peut importe sa couleur ont a levé les yeux vers un ciel si clair, sous les applaudissements, dans le silence d'un soleil levant. On s'est rappellé un bref instant que tant que chante les rayons, alors tout ira bien, on a écrit cette poésie simple comme souvenir mémorable. Certains héros auront marché avec le coeur si plein de fois sous les rayons de l'astre solaire. C'est comme ça que l'on a créer les Grand Espoirs... on leur a fait oublier cette ombre cousu à leur pied. Mais comme tout grand idéos, les choses ont fait en sorte d'y greffer les grandes deceptions.
Qui sommes nous lui ? Toi ? moi... elle et tant d'autre inconnu qui ont écrit en lettre d'or des rêves par centaine à s'en étouffer de tant les désirer. Alors, parlons donc de la tragédie dans la lumière, parlons simplement pour toute ses pierres, qui allourdissent les ames et donnent de la folie aux ailes les plus dorées.

Il y a un homme qui regarde l'air ravis un souris sur des lèvres typées, une femme belle à en crevé. Il se tient au bas de l'estrade et la regarde marché, monter si haut rejoindre cloches résonnantes. Chaque instant, il se dit comme il est beau d'être à sa place d'avoir l'occasion de voir ses jambes effilés gravir chacune de ses marches lui projettant son ombre sur le visage alors que le soleil la ravit. Mais, en vérité, cet Homme chaque jour, derrière se sourire naif, se ment. Il a de grand espoir, qu'il maquille avec la gloire d'un bonheur de façade. Il se dit chaque matin à contempler le torrent d'ébène de ses cheveux sur des draps blancs, que se n'est pas une femme que l'on cotoit, que c'est une femme qu'on épouse. Que sa vie se raccourcis chaque jour et que le miroir ne lui ment plus assez. A mesure que les traits de son visage se creuse, une évidence trop nette pour ne plus la voir est que le temps passe et qu'il souffle sur toute ses choses qu'il espérait. Alors, il ferme les yeux pour regarder la lumière et cette ombre qui demeurera trop longtemps pour l'effacé et il pliera ses commissures pour enterrer l'espoir, dans l'optique que peut être un jour , se boomerang qu'il a lançé lui reviendra en plein coeur et lui fera poussé des ailes.
Il y a cette femme montant les marches si fière et si sure. Elle est belle à en crevé mais parfois d'un regard jeté en arrière elle voit cet homme au pied des marches, si fier de sa couronne de soleil. Elle le perçoit de plus en plus mal du fait de faire front à la lumière. Et chaque jour ou elle se réveille en voyant son sommeil calme, loin de ses mécaniques viriles habituelle, elle se dit qu'il est beau à s'en damner. Que se n'est pas un homme que l'on cotoit mais que l'on épouse. Mais le ciel l'appelle de trompette raisonnante, la hèle. Elle sait que son destin n'est pas dans les draps blanc mais là haut dans un trone de pierre et de peau de bête. Que trop d'effort on déjà été fait pour s'y refusé. La maison aux cartes l'attend avec une forte volonté de la faire chuter de se haut colimaçon, mais elle fait front, car elle sait que ça la comble quelque part. Mais voilà, elle a le tort de parfois jeter un oeil en arrière, charger de tout ses grands espoirs dont il est un partiel moteur et se rappelle que plus elle se fait pousser des ailes, plus elle sciera les siennes partant trop loin pour l'apercevoir. Elle sait au fond que la houle un jour deviendra trop forte et que sa main vieillissant au temps qui passe finira par devenir froide alors qu'elle fut si chaude. Qu'elle n'embrassera que du vide. Son coeur se fend un instant, les yeux bleu tourner vers la voute celeste si clair et ravale sa salive. Car elle ne veut le decevoir, tout en sachant qu'elle le laisse là dans son ombre, montant pour finir aveugle mais couronner. Comme lui, elle se ment.

Il y a cet femme aussi, qui n'est pas assez humaine pour elle même. Au fond, dans toute l'ombre de sa désillusion qu'elle surcharge de travail, il a un grand espoir. Elle a les yeux tourné vers un homme trop humain et trop fier de l'être. Il lui donne parfois se souffle qui fait que ses désirs les plus fous s'avivent comme des braises sous la cendre. Un jour, peut être à son réveil sera t-elle différente ? Un jour son reflet lui renverra t-il se qu'elle est au fond d'elle réellement ? A force d'y croire peut être que les choses changeront. Elle avait envie d'herbe plus verte, mais ce n'est que désert. Car sa peau n'est pas de la peau, car elle a du talent mais que personne ni même lui, ne la regardera comme elle se voit. Arraché à coup de griffe d'une seule main cette enveloppe trop lourde à porter, elle rêve dans un sanglot étranglé, qu'on l'a regarde enfin réellement. Alors, sans un mot, elle accepte un regard océan loin du reflet sur ses lunettes, à nourrir une passion qui n'a lieu d'exister, une abhération. Elle sait... oh oui elle sait, que s'est vain, alors elle se bat à ne pas y paraitre, elle se bat pour qu'il ne la prenne pas pour acquise, elle se bat dans l'ombre de Grand Espoirs évicéré sous le soleil de plomb d'une jungle, à se demander combien de temps encore... sera t-elle la victime de se non sang dans ses veines. Que rien n'y changera quelque chose.

Parlons de cette femme là qui pleure dans une taverne. Elle hurle dans sa tête pour ne pas le faire devant ceux qui s'en soucis. Ca serait blesser leur bienveillance. C'est si dur, car un jour elle s'est mise à avoir de grand Espoirs elle aussi. Son regard gris s'est porté sur un homme incroyable, un sage malade, tenant à peine dans sa chair, une boule de souffrance qu'elle a voulu guérir. De tout son coeur, elle mit ceci à l'ouvrage, soignant d'un baume invisible chacune de ses blessures. Elle a nourrit tant de chose digne de lui, pour lui quand il n'en était pas capable. Mais comme un oiseau recouvre ses ailes, elle l'a laissé s'envoler pour le voir trouver un arbre, un grand chêne ancestral sur lequel sa voix mérite d'être chanté. Cet espoir qu'elle avait ne filtra pas rayonnant au travers des feuilles, alors à genoux aux pieds des racines, elle se met à tisser un nouveau mensonge, pour confronter l'horreur d'avoir voulu y croire. Celui de se dire que tout reviendra et que tout s'arrangera, que la ballade ne fait que commencer. Alors, elle partira pour ne pas entendre la chanson, car ayant offert tout son courage, le siens, à un qui l'avait perdu. Mais dans un regard, elle jetera un oeil en arrière pour constater comme il était beau se moment ou elle était nimbé de cette lumière là, celle avec laquelle elle l'a auréolé.
Mais parlons en de cet homme ! Il a tout eu il est si honoré de cette grace qu'elle lui a faite. Cette femme a de ses cheveux lavés ses pieds et son ame. Elle a ranimé un feu et une passion avec sa couronne d'épine, fait de lui un messie du quotidien. Il n'avait rien rêver sauf d'être un vieillard à coté d'un comptoir limé et qu'elle soit tout aussi vieille à rire pipe au bec. Il avait de grand Espoirs lui aussi, celui qu'on l'oubli, qu'il oubli. Chanter trop pret du soleil lui donne chaud à en mourir, il rêve de tomber et de lui dire de ne pas partir, mais les rayons occultent cette silhouette fuyante. Désormais dans ses mains rougis par le sang d'une guerre qui n'est pas la sienne, il tient les grands Espoirs d'autre personne qui espère, prie et lui conjure d'apporter tout les astres sur terre. Dans le silence, d'un regard vers se qu'il ne peut plus percevoir, malade d'être celui qu'il ne voulait, il chante à s'en briser la voix... qu'elle l'entende qu'elle soit fière... à la perdre qu'elle puisse sourire et ne puisse voir ses larmes difficile dans des yeux calcinés qui lui roule sur les joues.

TO BE CONTINUED
Narsis
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Dim 11 Déc - 18:43

- Loué soit toi même -


Les balles glissent, dans un son cristallin et métallique, dans le barillet. Aussi contradictoire que cela puisse paraître, les glyphes enchantées posée dessus signifie "Paix". Au final, je suis sans doute plus a l’instar des Dieux que je pensais, avec un sens de l'humour qui m'échappe.

La pierre a aiguisée danse contre le fil de ma Lame. Avec le temps, je trouve ce son apaisant et rassurant. Mes yeux se posent quelques instants, sur les deux Ailes, gravée dans l'acier. Je les regardent avec une sensation étrange, je m'aperçois que j'ignore ce qu'elles signifient réellement. Protecteur du peuple ? Gardien immuable et vaillant ? Non..
Lorsque je les regarde, je ne vois que le prix du sacrifice.

Les sacs sont grand ouvert, chargés du strict minimum pour moi même, chargés d'énormément pour autrui. Pour moi même ? Du linge et des affaires de toilette de base. Pour autrui ? Des armes aiguisés, des pièges mortels et tout un arsenal très divers.
Ces sacs sont poétiquement a mon image. Qu'importe, mon choix est fait..

J'attrape le collier de prière.. Il est fait d'une cordelette, et de perles de bois. Il a l'air si simple, si basique. Je le regarde quelques instants, sachant que ce que je m’apprête a faire, et très sévèrement puni..
De toutes façon, c'est trop tard, j'ai besoin de cet artefact pour veiller sur quelqu'un. Je le met avec soin dans la poche intérieur de mon épais manteau, espérant qu’ici, comme ailleurs, on me pardonne.

Elle sais que nous allons partir, pas besoin de don de clairvoyance pour cela. Je ne peut qu’espérer, qu'elle en comprenne le but. Faire briller la lumière en plein soleil, c'est pour ceux qui se leurrent.. Moi, j'ai choisi de faire briller ma lumière dans les ténèbres. Et je l'emporte avec moi.
Pardonnez moi mes fautes, mais je les faits en mon âme et conscience.
Y a Des Marqueurs
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Lun 12 Déc - 3:58

- Les Ailes Fragiles du Champion -

Les Inédites Rurikc10

Mon coach me talonne de pret m'attrapant le bras. Je suis en pleine partance pour le portail, mes pas ferme résonne sur l'humidité nappant les pavets de Rurikton. Il semble vouloir me dire des centaines de chose, alors que je regarde les marches sous les ailes de pierre des status nimbé la voute de l'escaliers montant au portail, un sac de cuir souple à la main. Dans mon regard d'ambre rien ne semble flanché, pourtant j'ai une petite conscience de cette décision.

- Icarus ! Qu'est ce qui te prend ?! tu n'es pas un soldat... tu es un type qui se bat dans des arènes ! C'est cette fille qui te met dans un tel état ? Tu crois que je sais pas pour ton rendez vous bizarre au murmure de la jeune fille... Tu m'expliques ?!

Je me retourne et lui fait front le toisant, avec se que je possède encore quand lui la perdu avec l'age. D'un mouvement nerveux rabats mes cheveux noir de jaie mi long en arrière qui frisotait à l'humidité.

- Shaun. Je sais tout ça. Mais tu crois que ça dura encore combien de temps ? Je glane de moins en moins de contrat, et puis je vais être honnète ça ne me convient plus vraiment... je sais désormais à quoi celà peut servir d'être dans le vrai monde. Je veux dire mes dernières grandes actions datent depuis ma révolte engagé contre les combats clandestins à Noirfaucon avec la traite des Eloniens. Mais maintenent... je dois faire plus, j'ai l'expérience de mon coté. Et s'il vous plait est ce que tout le monde peut laisser Lady Nordraco en dehors de ça ? Je le comprend à mesure... elle ne doit pas être mon monde.

- Tu te rend pas compte Icarus, tu es de la graine de champion comme on en fait plus. Tu auras des contrats pour encore quelque temps et après c'est une écurie pour former des gamins qu'on t'offrira sur un plateau. S'il te plait ne me lache pas maintenent, j'ai besoin de ta belle gueule de vétéran du ring encore un peu plus longtemps.

- Je ne laisse rien en plan, je ne vais pas attendre que ça me tombe dessus. Prend moi les contrats si tu le veux... mais je veux les plus prestigieux dans le tas. Pour ceux de campagne met Nayed dessus. Moi je me charge de me maintenir, ne t'en fait pas j'ai jamais transigé à tes régimes ni à tes minimats entrainements. Je suis assidu et tu le sais.

- Arrete se gamin est pas foutu de tenir l'endurance d'un combat complet tant il est persuadé de son talent, tu sais qu'il a aucun avenir.

- Parce qu'on l'entraine comme une poule en cage pour faire hurler les femmes. Je l'emmène.

- Que... quoi ?! mais non ! Attend tu vas pas trainer un junior en pleine pacification de campagne t'es pas bien !

- T'a raison on me filera une écurie, si je continus à briller dans mon domaine voir même ailleurs. Car il sera trop honorifique de travailler avec moi, n'est ce pas Shaun ?, avec ironie. c'est se que tout les jeunes un peu marginaux rêvant de guerre attendent ?  mais je vais pas en faire des champions d'arène... mais des Champions tout court. Quitte à se qu'on me serve quelque chose comme un plateau comme tu le dis... je préfèrerai y nourrir un projet digne avant.

- Icarus mais de quoi tu parles ?!

- C'est pas dans les arènes qu'il faut des symboles Shaun ! Tu es allé voir un peu au delà des gradins ? J'ai vu des villages dans une misère incroyable, des bucherons prendrent les armes pour se défendre eux-même, sans savoir qui suivre, qu'elle image les galvaniserai à la victoire, les structurerai. Ils faut de réel Champions, de ville, village, que se soit un métier. Parce qu'a un moment ni la couronne, ni la prétention d'aucun homme pourra sécurisé l'entièreté du territoire des hommes. Les villages et villes de bordure n'ont pas les financements pour une armée ou même des armes, mais pour un seul homme ça oui. Ca pourra les faire prétendre à l'application de la loi de crise, de pouvoir régler les litiges sans désigner un mome à peine mieux fait qu'un autre, ça foutra la trouille à ceux qui pense pouvoir disposer de se qu'a son prochain  de se dire qu'il y a un type dont le métier c'est casser des cranes, former pour ça. Ce n'est pas une police dont je parle, mais d'une image. J'ai vu l'effet que j'avais sur la Milice des Peuples Libres, je ne pensais pas qu'un seul homme dans une belle armure puisse autant impressionné. On m'a nommé héro alors que je n'ai pas fait plus qu'un autre soldat. Parce que... j'avais la stature, le titre... l'armure... tout ça c'est que de l'intox... c'est se que tu m'as appris. Alors au lieu de les mettre dans une arène, ses mecs iconiques je veux les mettre sur le terrain. J'emmene Nayed et je veux voir, la reception du peuple, des vrais gens et des puissants, voir comme ils réagissent... se qu'il se produit, si ce n'était pas fortuit. Si c'est effectivement se que j'ai sentis, alors là je tiens ma reconvertion et ceci en étant pour une fois dans ma vie vraiment utile. En étant non plus une petite silhouette dans du sable mais avec les gens dans les gradins, que tout ceci soit bien plus réel. C'est en étant avec eux qu'on comprend les choses. Ce n'est pas ma première prise de risque Shaun, tu te souviens quand j'ai juste envoyé foutre tout le monde en vendant mes titres ? Parce que ça... ça c'était une bonne chose. Je suis pas un type... élaboré ou que sais je. Je suis un gars simple, et pour la plupart du temps à contre courant je sais.

- j'en sais rien de ton projet... je vais être honnete j'ai peur que tu gaches ton temps pour un sauce qui prendra pas... avec l'impression que tu fais ça aussi pour changer un peu ton image mais. Oui le contre courant c'est ta marque de fabrique, t'es un des premiers élonien de métissage en championnat Officiel... donc oui t'es un atypique mais... s'il te plait fou pas en l'air Nayed parce que tu as un rêve. Et ta donzelle... parce que ouai on suit pas une politicienne, en étant champion, avec invitation privée et j'en passe sans qu'il y est un petit truc non ? Comment ça va se passer ?

J'haussai les épaules un peu désemparé, regardant le ciel chargé.

- Je vais pas te mentir, bien sur. Mais, si je suis pas ma route... je vais l'attendre et non, on ne le veut pas, ni elle, ni moi. Sa place est ici, moi elle est ailleurs. J'espère encore comme les derniers mois avant qu'on se recroise que un jour peut etre nos chemins se croiseront. Ca se produira à coup sur. Je repasserai régulièrement, car si mon impression est la bonne je compte lui en parler après vérification... car c'est presque politique comme projet si on voit plus loin la chose. Mais, elle est politique, je suis champion. Tout est dit. Je la soutiendrais du mieux que je peux, serait la dans ses moments sombres... mais j'ai plus envie de me leurrer. Elle rentre dans un jeu ou je ne pourrai pas la suivre, ou elle devra pour l'apparat choisir d'autre stature à coté d'elle... et moi plus loin j'en serai mieux ça sera pour elle.  

J'hochai la tête regardant le sol longuement et la pluie commençant à le frapper.

- Tu as passé ta vie à juste penser aux autres Icarus... cette fille te mérite surement pas.

- Peut être... ou alors je ne l'a mérite pas moi même. Mais peut importe, tu sais comme je suis quand j'ai trouvé ma cause j'y suis fidèle. Ca sera toujours vrai... même si je crève avant que ça est pu ressembler à quoi que se soit. Tant pis je joue le jeu, et j'ai pas d'autre femme à allé chercher dans se monde, c'est elle que je veux.

- Promet moi de faire Gaffe à toi Icarus... s'il te plait. T'es un type en or, je sais que tu pourras prendre soin de Nayed et peut etre même que tu lui apprendras quelque chose en le confrontant à la réalité... mais toi... qui veille sur toi ? N'oubli pas qu'aussi loin je te connais... tes ailes ont toujours été fragile Champion.

- Le soleil brille pas encore assez fort Shaun, je prend alors le risque.

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Zyuzky
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Zyuzky

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Mar 20 Déc - 16:30

--Un besoin irrésistible de bon paraitre--




Une nuit fraiche et humide comme un calme sombre après une journée pluvieuse. Les pavées de la capitale ont été noirci par la pluie. Les charrettes faisaient se bruit doux de cliquetis boueux sur les pavés. Les travailleurs avaient rejoins leur maison. Certains s'entrainent à leur chant d'hivernal près du feu. D'autres n'ont toujours pas accepté la fin de la belle saison et la font durée dans les tavernes avec pour seul différence un feu orange-âtre réconfortant en guise de fond lumineux. Mais il n'y a pas que les petites gens qui profitent des nuits en cette saison. Une fête modeste et presque de l'ordre du privée avait lieu dans une belle demeure du quartier de Rurikton.

Je ne sais pas si c'était une bonne idée de prendre cette cape. Je n'ai pas pu résisté à fouiller dans les placards J'imagine qu'elle lui appartenait. Une telle cape d'hiver ne pouvait que lui appartenir... D'un vert sombre un tissu lourd mais extrêmement doux et raffiné ornée d'une fourrure noir sur les épaules. Cette femme devait être plus que magnifique...

-On est arrivé Madame.

fit mon coché. Il était simple de paraitre très riche. Une cape empruntée, un coché payé deux fois moins chère car aucun charme ne reste impayé... Il aurait presque pu me payer pour que j'entre dans sa carriole trainé par ses bœufs de qualité supérieur chiant sur les pavés du promontoire. Enfin... J'entends ses bottes crasseuses tomber sur les pavés humides avant de m'ouvrir la petite porte de sa carriole. Il me fait rire ce vieux fou à se prendre pour le coché de la reine.

-Puis-je ? *Fit il en me tendant sa main pour m'aider*

-Non merci.

Je sortis sans son aide posant mon talon haut sur les pavés humide avait de mettre la capuche de cette magnifique cape pour me protéger du froid. Je lui jeta un œil presque inquisiteur de mes yeux d'ambres. Il tressaillit, j'imagine qu'il avait craqué se sac qu'il portait en guise de pantalon. Puis sans rien demander de plus j’avance vers cette demeure où l'on pouvait déjà entendre de la musique classique et calme qui jaillissais des fenêtres.
Je m'approcha de la porte gardée par un vigile pas très costaux probablement un servant qui avait été promu par faute de budget, si on peut appeler cela une promotion. Je lui adressa mon sourire le plus aimable, étonnement il me hocha simplement la tête m'invitant à entrer. Est ce que j'étais attendu ?
Je posa le pieds sur la petite marche qui me permit d'accéder à la salle principal où discuter une flopée de noble de manière plus ou moins discrète. Allez. Pour une fois pas de Savarah, pas de Hubert ni de Demet. Je vais pouvoir profiter de cette pause que je m'offre volontiers.

...


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Mer 21 Déc - 4:20

Les horloges sonnèrent dans l'immense bibliothèque et mon regard vert s'y mena. Aujourd'hui était un jour silencieux, comme beaucoup que j'eu connu à l'abri de toute vue. J'ai travaillé jusqu'a changer de journée, à me perdre dans les lectures, se qui m'entoure n'est que page morte. Pourtant Minuit de cette nouvelle course d'astre, une nouvelle année venait de filer pour moi. Je savais que par rapport à la vielle, je n'avais pas changer, que j'avais arreter de le faire à mes 25 années. C'était une jeunesse longue propre à mon essence, mais aujourd'hui j'avais quarante et un ans à cette seconde ou toute les horloges mécaniques sonnèrent, comme à l'époque ou je n'étais jamais seul. Mais se soir, les allées étaient vide, les initiés couchés et j'étais bel et bien seul. C'était un résumé au final de comme je me sentais si souvent. Vouloir trouver un miroir pour y voir le temps filer était inutile, je mourrai avec le visage d'un ange déchu, sans temporalité, figé dans un espace d'ether absorbé qui retardait mes secondes à chaque fois. Pourtant, moi je le sentais partir, le cadran, il vascillait sur le mur. Je m'étais toujours satisfait de cet avantage que j'avais, jusqu'a se que cet homme que je ne pouvais pas encadrer m'eut parler honnètement de celà lors d'une de nos escales. Il était calme, lui ses yeux se strillaient à mesure, le coin de ses lèvres aussi, un jour ses cheveux seraient grisonnant et pas aussi clair que les miens. Il me donna un regret que se jour ne me fasse réellement vieillir. Comment est ce possible ? Car je n'avais jamais entendu de telle poésie à se propos que dans la bouche de cet homme, ce detective pour qui le temps comptait toujours à pouvoir empecher la mort injuste. Il parla les larmes aux bords des yeux, le coeur au bord des lèvres.
" Je n'aimerai pas avoir ma bouille d'antan comme vous. Pas que se soit une critique mais... avez vous déjà pu sentir le bonheur que s'était de réellement vieillir. Je ne crois pas. On en comprend le sens quand on vit avec une personne longtemps, qu'on se réveille chaque matin à ses cotés, que chaque jour pourrait nous faire dire que notre jeunesse se fanne, ce moment ou le temps compte. Et pourtant... on regarde chaque jour les traits s'approfondir sur un visage, nuance par nuance. Et si vous voulez tout savoir, c'est beau à en crever. Car l'on arrive à un moment, ou nos paroles se confondent, ou chaque traits expriment un moment irremplaçable et qui se joue encore et encore au fil des éclats de rire, des larmes et des joies simple. On voit se visage changer, se corps se modifier, mais pas pour devenir laid... mais pour se chargé d'histoire comme les odeurs des parchemins. Alors, nous ne voyons pas d'age mais juste une vie à deux, une vie ou chaque instant n'est pas à regretter, qu'on a pas à rejouer car sont là, écrit de cette calligraphie simple sur la peau, c'est juste le beau braille de se qu'on a pas manqué, et même si on l'a raté... l'on peut le lire encore et encore, sans jamais sans lassé. Nos cheveux ne se blanchissent pas vraiment, c'est tout les soucis qui nous ont tourmenté, nos joues ne se creusent pas c'est toute ses blagues qu'on a pu raconté. Vous savez ce que s'est le pire, c'est vieillir oui... mais sans pouvoir le vivre dans le regard de quelqu'un. Qui vous trouves magnifique à chaque instant, et qui ne cessera de trouver ça de plus en plus beau chaque jour, car l'histoire et le temps c'est étrangement une belle invention. C'est incroyable d'avoir résumé tant de chose dans un tout petit intervalle de vie. Le pire... c'est de l'avoir laissé filer, alors qu'on sait qu'on veut se voir pour toujours dans ses yeux là, qu'on sait qu'on ne sera jamais fade, ni abimé, dans ses prunelles là... c'est ça la putain d'éternité. L'éternité ça vaut le coup que le temps ou on en profite. Après qu'est ce qu'on peut bien se moquer de tout ça, le vent aura poussé les cendres lacher de notre urne et tout se sera dispersé. Mais le temps ou la lumière brille, j'aurai voulu continuer à écrire l'histoire. Vous savez monsieur Herkassel, je ne suis pas un type très intelligent, car j'ai rien fait pour continuer à éclater de rire avec la femme que j'aime. Je donnerai tant... tant... pour continuer à vieillir en m'émerveillant de la voir veillir à mes cotés. Ca... c'est une belle histoire, de belle ligne à tracé dans une vie. Gachez pas ça... "
Je me rendis compte quelque part que j'avais le coeur fendu en me remémorant son regard dans le vague, piégé dans un souvenir. Au final, le manque on le partageai tout deux, la solitude aussi. Quelque part, je le savais, qu'il m'aurait souhaité ma nouvelle année sur terre même avec toute sa crainte et sa méfiance à son égard. Parce que j'avais beau nié... il avait raison, cet homme me voyait. Mes yeux coulèrent un bref instant lorsque le silence se fit après les carillons, se glas neuf d'une nouvelle année. Pour la première fois, je me le souhaita à parole haute me resaississant mettant de la distance avec se froid à l'ame qui me prenait parfois.

- Bon Anniversaire Azael.
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Dim 25 Déc - 0:04

- Joyeux Hivernel à Tous -


* HRP ce texte est aussi une Rumeur, il est sur long... mais il vaut la peine d'etre lu je pense. Toutes les d'actions ont été tiré aux dés. Warning... Contenu Violent et Explicite. PS : J'AI TUER L'ESPRIT DE NOEL sorry les fautes je ferai une correct bientot c'est 13 pages de contenus écrit d'une traite suite à un critique que j'ai lancé pour moi même et le fait qu'Icare soit en event solo *



C'était le réveillon, les cloches d'alertes du Refuge Noir sonnait pour rien pour ammener ce beau jour. La foule était dense au dehors devant un jeune sapin pas si grand qu'on avait décoré avec du papiers et des poissons empaillés récupéré aux objets trouvés. Cette année, je ne pourrai pas partager ce moment avec mes enfants resté à l'arche. Je suis de garde à la porte et l'affluence est nombreuse pour faire cette escale dans la traversée houleuse de Kessex, une pause heureuse, dans l'horreur de la région. Commerçant, milices, touristes, tous s'accordent cette pause dans un trajet trop long. Je suis le garde Koskov de la Garde du Lion. De nouveau, les portes s'ouvrent, la bouteille de rhum tourne depuis un moment parmis nous, j'ai le rire facile avec les collègues. Celà fait tellement de temps que l'on brasse du noir, nous entendirent à peine à le cor d'ouverture des portes au dessus de nous... les cloches résonnaient dans un vacarme jusqu'à surement quelque kilomètres. Nous entendions celles du fort voisin, et les sonneurs ne semblaient pas motivé à laissé la victoire à l'autre redoublant d'effort pour laissé teinté le carillon. Après tout, des urgences il n'y en avait jamais eu aux Refuges même, et rien il n'arrive jamais rien lors d'un jour heureux d'Hivernel. Les chants de saison s'additionnait à la cacophonie de rire. Pour une nouvelle fois, nous ouvrions les lourds battant après de longue minute avant de réalisé que l'on nous hélait d'ouvrir. Une dilligence de moyenne facture et longue chargé d'homme vétut d'habit paysan était à son bord d'énorme buffle la tractait. La dilligence était renforcé d'un habitacle long et clos, fenétré, qui protégeait surement leur soute à provision et armes de faible facture vu celle qu'ils portaient pour les soldats les plus visible. L'étendart effiloché du contingent numéro V de la Milice du Peuple Libre flottait non chalement par une perche un peu tordue. Un homme sauta de la place de passager au coté du cocher encapuchonné, son visage était enroulé dans des pansements sanglants, seul un de ses yeux marrons  ressortait lorsqu'il me tendit ses papiers d'identification. Sa voix néanmoins malgré ses stigmates de guerre était jouasse au derrière.

- Monsieur Cole Connington, je mène la Cinquième de la Milice du Peuple Libre ! Voici mes hommes et notre chargement ci présent.

Tout les soldats improvisé avait sortit leur papier d'identité... il était bien une vingtaine entassé dans cette dilligence à rallonge à mi dessus, dépassant des fenètres de ses façades de bois. Tous semblaient très conscillient. Je voyais trouble et ne me sentais pas de tous les faires, aussi avec un autre collègue ont fit mine de vérifier chacun de leur papier.

- On nous a dit effectivement que vous arriviez en journée..., fis je d'un ton mausade.
- Parfait, nos armes sont à l'intérieur si vous voulez vérifier.

Mon collègue fit signe de s'en charger montant sur une marche de flanc et avisant une fenetre à l'intérieur. Il leva une main comme pour signaler qu'effectivement, il y avait bien des armes. D'ordinaire on aurait scrupuleusement saisi et inventorier toute les armes à l'entrée, mais c'était Hivernel que diable ! On s'en fou ! Et puis se n'était pas la première fois que la dilligence tagguée V de la Milice passait par là. C'était la même et le nom de Cole Connington m'était clairement familier. Je fis un geste large en prenant responsabilité de les faire entrer.

- Allez aux écuries ont placera votre dilligence sous clef un de mes collègues le fera pour empecher les vols et surtout Joyeux Hivernel !
- Joyeux Hivernel l'ami ! Allez les gars jusqu'au écurie !

La dilligence pénétra la place se frayant difficilement un accés jusqu'à ses dernières. Cole en descendit avant son entrée, un homme plus loin sur la place se frayant un chemin dans la foule, lui faisait signe. C'était un homme plutot costaud et basané, d'un dernier regard vers la dilligence peinant je vis le chef de la cinquième répondre du même geste au Champion de Synn que nous avions l'honneur de recevoir.

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Lorsque la dilligence m'exigea moi la sergente Finesse, pour boucler ses affaires sous clefs, je reconnais avoir été un peu plus que déranger. Je passais mon année complète, ici, j'avais appris à m'accommodé des charmes du Refuge Noir. Ce soir pour Hivernel, je m'occupais de la surveillance farouche de l'écurie. Mais comme l'ensemble de tout le Refuge j'étais déjà ivre morte avant même que le milieu de la nuit ne soit arrivé. Il devait être 22 heures à tout cassé, de toute façon je tanguai trop et voyait bien trop mal pour réussir à déchiffré mon astrolab. J'étais en charmante discution avec un bel étalon élonien battit comme une armoire à glace, d'une jeunesse fraiche et au pectoraux aussi impressionnant que les cuisses d'un bœuf. J'avouais avoir été ravis de passé ma soirée à lui conversé et finir entre deux bottes de foins, jambe écartée tandis qu'il me chevaucherait avec toute la fougue immaginable. Mais, notre conversation fut interrompu par le devoir, se qui lui fit largement perdre patience et s'en alla quérir d'autre tentation sur la place. Merde...

- Joyeux Hivernel les gars ! , fis je en titubant à leur rencontre. Quoi que je puis je pour vous ?

Si je pensais être déçu d'avoir perdu le jeune éphèbe exotique, ça vallait la peine pour parler à se milicien charmant, à la mine qui m'évoquait étrangement quelque chose. Il avait les cheveux long noir de jaie, un visage long et presque narquois, des yeux sombres et ténébreux. L'ensemble lui donnait un charisme insolent qui s'additionnait à une barbe de quelque jours et un veste de cuir noué à la taille dévoilant une partie de son buste pas plus vétit que de cette dernière. Nombre tatouage le paraît... il s'avança vers moi, il n'était pas très grand mais son charme n'avait d'égal que mon hébriété.

- Joyeux Hivernel mademoiselle... nous venons d'arriver avec l'ensemble de la Milice, et nous souhaitons - que notre dilligence soit mise en sécurité.
- Oh c'est marrant... vous me rappellez quelque chose beau gosse.
- L'on me dit souvent que j'ai un visage très commun... mais je peux vous assurez mademoiselle que j'ai bien d'autre atout moins commun que celui-là.

Je ris volontiers à ses avances claire tandis qu'une femme habillé d'un haut lache de toile marron, d'un pantalon haut de cuir assortit à d'énorme bottes, tatoué sur une partie du cou de teinte noire, d'un serpent stylisé, me dévisageait clairement.

- j'vais te rentrer ta dilligence mon beau... t'a un prénom ?
- J'en ai un... mais je suis sur que je vais avoir tout le temps de vous le dire..., m'intima t-il à l'oreille en allant signaler à son cochet de partir pour me laissé faire entrer sa dilligence dans un box.

Tout les miliciens s'esquivaient tour à tour sauf cette fille à la mine de suceuse de bordel bon marché à l'arche à mon humble avis qui regardait le beau brun ténébreux au cheveux plaqué. Ce dernier ne lui accorda pas un regard et fit sortir deux limiers de la soute qui avait dormi sagement durant le trajet, il tint leur laisses franchement pour venir les tendres à la dernière des miliciennes restante.

- Occupe toi bien d'eux... je vais discuté avec le sergent pour être bien sur que le chargement soit en sécurité.
- Ouai c'est ça... Jax et Fill sont entre de bonne main, t'en fait pas.
- Evite qu'on les piétine avec la foule s'il te plait. Je n'aimerai pas qu'ils deviennent nerveux.

Puis il lui sourit franchement, alors qu'elle partait en me défiant d'un regard plus sombre que la mort avant de sortir du box, ainsi que des écuries. Le bel homme qui était peu vétut à mon grand plaisir arriva une main à la ceinture en machant un peu l'air ambiant, alors que je manoeuvrai les bêtes pour ranger la cariole. Avant que je puisse même descendre pour allé détaché les buffles, il monta sur le poste passager à mes cotés alors que je tirai le frein à main activant les mécanismes de bois, d'arret.

- C'est sécurisé comme box ? Mon boss me fait confiance … je n'aimerai pas lui faire la surprise pour hivernel d'avoir absolument perdu tout le chargement.
- Vous inquiétez pas... Monsieur... euhm... c'est dans nos tarifs, nous assurons la sécurité totale, ainsi que l'entretiens des bêtes. J'vous assure se lieu est un sanctuaire, qu'il en serait presque insonorisé. Il y a prêt de quatre verroux à cette porte derrière... vous pouvez me croire !
- Vous... me montreriez ça ?, d'un ton un peu tentateur ses yeux noir posé sur moi, de manière délectable.

Pensez bien... qu'on ne dit pas non à un coup d'un soir bien à l'abri dans un box loin des regards. Comme moi il souhaitait plus que tout, passer une bonne nuit de réveillon, après un si long voyage... s'était le minimum que je pouvais offrir à un homme. De l'intérieur, sans même désateller la dilligence, je ferma la porte à double battant pour me retourner et m'offrir à se sombre inconnu avec se visage si familier. Il avait déjà du passé par ici... c'était certains, peut être aura t-il l'envie que je lui cri son nom, un peu plus tard.

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Les chiens tiraient les laisses alors que j'attendais au milieu du foin addosé à un mur de l'écurie, j'avisai la porte close. Mon nom est Kalla, mais aujourd'hui ça sera celui que vous voulez. Dehors les chants emportés m'agaçaient, je haissais les fêtes, surtout quand mon amant s'en envoyait une autre à mon nez et à ma barbe. J'avais l'oeil noir, sombre, et tout les gens rentrant par maudit hasard dans ce lieu puant la bouse levait les bras pour me souhaiter la joyeuse fête. Je n'avais clairement pas la tête à ça. Il m'avait dit que ça serait un bon réveillon cet enfoiré. A voir... franchement à voir. Jax grognait à tout les têtes approchantes les faisant partir de sitot, leur gueule inquiétante de chien de chasse les faisait tous fuir. Ca tombait bien j'aurai surement défait la machoire du premier qui m'aurait accosté d'un peu trop prêt ou prit dans ses bras dans un rire gras. Les limiers savaient gardé les endroits au calme. Encore aurait il fallu que ce box ne laisse pas filtrer autant de son... j'laurai butter cette pute. J'entendais ces gémissements et ses rales plus qu'audible à l'intérieur, ainsi que les chocs de coup de rein violent qu'il devait lui assenner. En même temps je l'avais chercher... à l'entendre. M'étant approché de la porte j'y avais coller mon oreille, pendant que Fill en renifflait le dessous dans un grognement. Régulièrement, je l'ennuyais du pied qu'il se taise pour que je puisse parfaitement me figurer chaque orgasme qu'elle pourrait en récolter. Joyeuse Fête mon cul... Joyeux Hivernel … mais que tu ailles te faire foutre... mon vieux, tu mérites que je te décolle les dents... même si je sais que je ne suis pas la seule. Il aimait toujours en jouer dans ses périodes de trouble, c'était comme ça qu'il s'était fait sa place, en se faisant respecter malgré tout ses travers. Un seul sifflement de ses lèvres et Jax comme Fill m'aurait sauté à la gorge. La loyauté, il en parlait souvent lorsqu'il bandait son arc avec flegme, la foutu loyauté de ses chiens à son maitre. J'en étais là. Une de ses chiennes, qu'il prenait en levrette parfois lorsqu'il en avait marre de s'occuper à d'autre chose plus cruelle. Je l'entendis d'ici. Lui demandant de lui dire son nom. La bile me remonta dans la gorge... mais putain qu'est ce que je foutais ici à écouter ça. Mais je devais... attendre... et entendre. Il le faisait exprès... tout pour me foutre en vrac. Je ne l'aimais pas ce mec, mais je pense que je le craignais assez, d'une obsession morbide pour jalouser cette pauvre fille... car oui s'était une pauvre fille, mais elle ne le savait pas encore. Il se dirait bien généreux de lui avoir accorder l'extase avant, qu'elle ne le réalise. Je l'imagina sans problème lui sussurer son nom, son vrai nom, au point qu'elle en écarquillera les yeux alors qu'elle serait à quatre pattes dans le foin. Au final, l'hilarité que ça me cause intérieurement, vallait bien que je me fasse autant de mal. Le bruit mouillé d'une gorge pleine suffoquante... puis quelque instant après le bruit des verroux retentissaient, le laissant apparaître la ceinture pas même remise avec un sourire narquois aux lèvres. Il me tendit les clefs, mais laissant dans cette réplique presque suave.

- Que les festivités commencent.

Je les pris et récolta les pièces d'armures laissée un peu partout pour les enfiler, je la vis étendu la joue contre un mur, yeux grand ouvert, dans une posture minable et grotesque, l'arrière train rebiqué de manière indescente. Le foin était de carmin sous elle. Armuré de ce qui fut celle de cette catin je sortis l'air de rien refermant toute les entrées de l'écurie sans les scellés, derrière moi je l'entendis hélé à ses chiens avant de siffler en lachant leur laisse.

- Repas d'hivernel mes bébés ! Festoyons !

Le bruit qui en suivit fut immonde. Il savait si bien se fondre dans les ombres qu'une nouvelle fois le Refuge avait un invité qu'il n'estimait pas... et qui n'était même pas là pour l'or... mais pour son propre plaisir.

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Je riai au éclat en beuglant le carols of the bells avec les autres sonneurs, on se relayait comme des baltringues pour faire sonner les cloches. Je suis Nathanael, j'ai 15 ans et je goutte ma première bière se soir ! J'ai été embauché quand tout à commencé, les révoltes. Ma maison avait été emportée par la menace de Varre le Sournois, ainsi que ma famille. Ici, on m'avait filer un boulot et je m'esclaffai comme un inconscient pour la première fois depuis que mon monde s'était écroulé. Les gars de l'arche m'ont dit qu'il me paierait même une catin se soir, pour faire de moi un homme ! Sacré cadeau d'hivernel, même si j'y crois pas trop. Actuellement, je me retrouve à gueuler par la meurtrière du clocher d'alarme cette chanson idiote, comme si je n'avais plus que ça à revendre. Je crois même avoir cracher sur des nobliotes de passage en bas... je sais pas si ça les a toucher, c'est que je suis quand même haut. Mais se soir, rien n'a d'importance, c'est la fête, la misère n'existe pas. Surtout la mienne. Pourtant je m'arrete un instant, en contrebas, je perçois des allées et venu au compte goutte aux écuries, les gardes ne doivent en voir grand chose vu cette foule. J'ai les oreilles fourmillante du son des cloches qui tapent encore. Toutes les personnes y allant sont des membre de la milice... la couleur de leur vetement pauvre est notable dans la foule, de se vert marronnasse. Ils semblent en sortir plus chargé....
Ce n'est surement rien, ils doivent prendre de quoi se nourrir sans payer Momo le marchand l'excés de prix qu'il avait fait pour les fêtes. La moindre brochette coutait un bras et quelques yeux. Mais la joie est telle en bas que les gens donneraient leur enfant pour avoir le plat complet avec le verre de vin accompagnant. Un des gardes dans un «  Bah ! » vint faire semblant de me pousser dans le vite. J'en sursaute puis rit, quel idiot ! Mon regard se retourne à nouveau sur le chemin de ronde et se sourire bête que j'aborde se dissolu progressivement. Une scène étrange se joua devant mes yeux par ses fourmis si loin. Un type de la garde encore sur le chemin de ronde malgré l'effervescence vint rejoindre un autre de la milice qui est monté sans autorisation. Ils discutèrent un peu, à peine surement, avant que lorsque tout les gardes encore en poste tournèrent le dos, le milicien s'approche de lui un peu trop et comme une poupée de chiffon molle laissa tomber l'homme en tissus jaune et chapeau à plume tombé du haut de la muraille du refuge... si il y avait eu du bruit, il avait été tut par les chants effrenées et les sons des cloches. Mon visage perdit surement toute ses couleurs, un vaste froid m'envahit, pas certains de se que j'avais vu. Avant qu'un milicien puis encore un autre reproduisent le schéma plus rapidement avec d'autre garde en ronde. Je me retournais vers les autres riant au éclat les tympans explosé pour la plupart et haletant je venais beugler pour avoir leur attention.

- HEY ! HEY ! IL Y A DES MECS A LA VIGIE ?!!!
- QUOI ?!!!
- IL Y A DES MECS A LA VIGIE ?!!!
- DES STEACKS SUR VIRGINIE ?! MAIS DE QUOI TU PARLE NATH ?!!!
- NAN DES GARS A LA VIGIE ?!!!!
- QUOI ?!!!

Je voulais hurler de sonner les cloches d'alertes... mais elle sonnait déjà. Je poussai le sonneur qui se balançait à la corde, le faisant tomber dans un rale colérique. Pour tirer à mon tour de tout mon poid de jeune homme le cordage au rythme d'alerte, mais je ne pus pas même finir ma séquence, que le garde ayant chuter m'en délogea aisément me rejettant sur le coté me menaçant de son index avant d'éclater de rire et revenir à son manège.

- ATTENDEZ IL SE PASSE QUELQUE CHOSE DE GRAVE !
- TA GUEULE PTIT CON ! J'MEN BAS LES COUILLES !
- REGARDEZ LE GAMIN EST BOURRER !

La respiration saccadante, les sueurs froides me montaient, a quatres pattes j'allais à vive allure sous leur rire moqueur vers la porte pour descendre, redresser, sur la coursive qui menait à la vigie sur une section du chemin de ronde. Je couru à en perdre haleine espérant qu'aucun milicien sur le chemin ne m'intercepte. A la vigie, il y avait un porte voix asura reçu il y a un mois de cela, ainsi qu'un brasier de secour si la cloche ne faisait pas son travail... il fallait que je les prévienne.

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- Full au roi ! Prend ça dans tes ratiches Jasper.

Le technicien asura gromella en face de moi, alors que les autres rièrent de bon cœur autour de la table de la vigie en tapant sur le bord, le rythme de la chanson entonné en bas.

- Bookah cessez donc ses martellements ! Vous faites tomber nos mises ! Je soupçonne Covald de tricher par ailleurs !

Covald, c'était moi. Et oui, je trichais. La carte dans ma manche quand je faisais le service des cartes étaient l'assurance de pouvoir fermer le caquet de cet asura et ses probabilités de victoire. Dans un sens, je pensais que s'était donnant donnant, il comptait les cartes. Fausser le compte faisait partit du jeu. Je rammassa ma mise, des pièces d'or  débordante.

- Ca les gars c'est se que j'appelle un bon Hivernel !
- Va te faire foutre...

On était cinq à la table et on avait laissé nos fusils et arc long prêt des fentes de vision de la tour de vigie pour faire mine qu'on était prêt en cas d'attaque. Par excés de responsabilité, je me levai après m'être concédé que 6 parties d'affilés, ne nous avait pas rendu très assidus au travail, je fis le tour pour constater les chemins de ronde vide.

- hey... c'est normal qu'on est personne en poste ?
- C'est hivernel ! Ils doivent se murger quelque part, déclara le seul norn du Refuge affecté à la surveillance du nom d'Oswald.
- Ouai fin c'est irresponsable quand même... c'est pas comme si on était à Kessex... quand même.
- Tu vois une menace quelque part aux alentours Frère Ald ?
- Non... non... c'est sur... mais...
- On bosse pas non plus pour tout dire, fit Egemon le sylvari dans un soupir. C'est vrai qu'on se prend au jeu quand même.
- C'est quand qu'on surveille franchement ? C'est le boulot le plus chiant du monde !, ajouta Erika cette belle blonde pulpeuse à mi vautré sur sa chaise à se gratter un bref instant l'entre cuisse, elle m'excitait sauf dans ses moments là. On est là toute l'année !
- Ouai mais... je sais pas on ferait mieux de vérifier par précaution.

Jasper le technicien sauta de son fauteuil trainant sa veste trop longue jaune derrière lui pour allé consulter le Pad de son Vox Amplificator, fichant son casque sur ses oreilles. Ca lui permettait d'avoir une écoute amplifier et localisé des sons sur le refuge. Il était insupportable mais son équipement royal. Mais la musique, les sons de grattes improvisé, les bruits gueulard, les coucheries contre les murs, les ventes criées des marchands étaient telles que il y aurait pu avoir une bombe Jasper aurait entendu la même chose, de la saturation et des grésillements.

- Par Snaff avec les cloches ça ne me permet pas d'avoir une bonne écoute.

Erika se leva réajustant son bustier de cuir de vachette dont sa poitrine débordait presque. Elle vint me prendre le bras du siens et me trainer moi et ma lame d'appoint dans les escaliers.

- Il faut que tu te détendes James..., me confia t-elle d'un air moins assuré.
- Non mais tu peux comprendre que je veux quand même vérifier, si il se passe un truc ça serait bien qu'on soit au courant tu crois pas ?
- On s'est pas fait attaqué … malgré toute cette merde depuis un moment... c'est pas aujourd'hui que ça arrivera et c'est pas la première fois qu'on est irresponsable à la vigie, fit elle d'un ton distant et peiné brutalement.
- J'ai comme l'impression que tu ne parles pas vraiment du fait qu'on remplit pas notre job hein ?
- Ecoute je sais que tu t'inquiètes, parce qu'on a pas mal d'unité en dehors, pour la protection des caravanes de la Compagnie, mais ça va on a plein de garde en bas si il ya du débordement on saura réagir... il y a pire situation james...
- Non mais arrete … tu me fous l'angoisse là... qu'est ce qu'il y a ? Si c'est par rapport à se qu'il s'est passé le mois dernier, fin je sais tu m'as fait comprendre que j'étais pas ton genre que s'était que comme ça...

Brutalement dans un pincement de lèvre en plein dans les escaliers, ne pouvant soutenir mon regard penaud elle fondit en larme. Je vins la prendre dans mes bras sans comprendre. Aussitot elle se détacha puis releva sa manche de veste assez haut pour que j'y constate des multitudes de stygmate rouge en cercle comme des boutons de fièvres qui s'était propagé sur une bonne partie de son bras.

- C'est... il fallait que je t'en parle... tu as remarqué que ces derniers temps je prenais de drole de fiole hein... je... je sais que c'est pas le moment d'annoncer une chose pareille mais... il y a dix ans une crise comme ça m'a prise mais elle a pas duré... et là... là elle repointe son nez... attend avant de parler je voulais te dire que ma fatigue ses derniers temps … c'était... je prend du mercure... tu comprend... ce que je tente de te dire ?

Alors que je regardai ses stygmates avec l'air le plus abruti et le haut le cœur le plus terrible qui soit, la sergente Finesse ou du moins son armure particulière monta les marches la tête basse. Erika eut un sursaut rabattant sa manche, et moi je manqua de vascillé d'avoir été surpris comme ça papillonnant en enfonçant mon chapeau sur ma tête qu'on disait trop petite pour que ne voit pas le trouble dans mes yeux.

- Sergente... hm... nous... nous venions voir si... il y avait un problème en bas, il n'y a personne sur le chemin de ronde et...
- JAMES ! ATTENTION, attendis je hurler de la voix d'Erika avant que j'entende le coup sec
retentir et le bruit mou qui macula les murs, d'un geste reflexe je dégaina mon arme en relevant les yeux pour constater trop tard qu'une fine lame longue était planté dans le courant de ma gorge, ma main ayant extirper ma propre arme qu'a moitié, sentant ma glotte tressauté... une carte tomba de ma manche... un as de pique. Jasper aurait été fier de pouvoir prouver que j'avais effectivement... tricher.

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Je me faisais balloter dans tout les sens, comme une marrionnette, j'étais seulement de passage et me voilà coincé à devoir applaudir en synchronisation avec les autres. Ca sentait fort la sueur. Mon trajet devait me mener à Garrenhoff mais avec la perte de sécurité des routes faute à Hivernel, je ne pourrais pas vendre mes superbe mécanique de bois directement à la ville des mages. Je suis un artisant honnète, du nom de Giovanni Prosco, je fabrique à Shaemoor des petites marionnettes de bois articulé et animé de petit bouton les faisant se démembré. Les enfants adorent cela ! Et ça reste moins cher que les expansives illusion fadasse de la Comtesse Honory de la capitale. Ca c'est authentique ! L'on sent le toucher du bois ! Mais ça fait un moment que j'ai du m'écarter de la vente en grande ville, avec les spectacles grandeurs nature et impressionnant de «LA » marrionnettiste de Salma, l'on ne jure plus que par la qualité de son art. Puis, l'on a plu le temps pour les jouets et ceux qui l'ont, ont aussi de l'argent. De ce fait, je voulais arrivé à temps à Garrenhoff pour vendre un peu de rêve à tout les touristes venu s'extasier sur le château volant. J'avoue que je l'aurai fais aussi. Mais s'était trop tard, et je doute que demain soit une bonne journée comparé à celle ci. J'angoisse, mon commerce est en faillite et je viens de raté ma chance. Alors que je suivais mal les danses effrennées et bousculante autour de moi les yeux dans le vague, pensant à la multitude de problème que je pouvais bien avoir. Une chose m'interpella, une femme, une voyageuse, revetant une jolie capeline se mit à chanter O Holy Night d'un voix digne de Dwayna. La foule hystérique se tut face à se chant divin venu d'Ascalon. Mes yeux se perdirent dans la beauté de sa présence simple. Elle n'était pas belle, mais le rossignol dans sa gorge l'était, et comme on souffle sur les braises pour qu'elle se ravive, mes tourments me semblèrent si loin. C'était ça la magie d'hivernel... toute la magie que l'on trouve dans un miracle simple de la vie. Je n'avais pas de famille ni même de quoi m'estimer heureux, pourtant je me mis à sourire. Je tournai mon regard vers le Champion de Noirfaucon que l'on m'eut dit être là, aimant le sport malgré moi, je le reconnu immédiatement monté sur une caisse apparaissant au dessus de la foule assis humblement, la main sur le cœur, les yeux aussi émerveillé que moi vers cet ange. De ma distance, je voyais presque les larmes émues d'un vrai croyant se complaire dans se chant. C'est drole les célébrités quand on les voit pour de vrai, jamais l'on s'attend à ne voir que des hommes... mais les nuits enchantées comme celle ci rendait cela bien plus appréciable encore. Je revins à elle un sourire aux lèvres, ferma les yeux, laissant mon ame s'envolé, suivant les paroles comme la foule, c'était un bel Hivernel... vrai beau... Si seulement j'avais continuer de fermer les yeux, le rossignol s'envola, la magie s'éteint... la réalité intervint avec froideur. Le feu de la vigie s'embrasa avec violence et résonna les coups de feu... en pluie de perle d'acier.

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Je serrai la main de l'homme dans un froncement de sourcils perplexe.

- Enchanté Icare de Synn, on a du vous mettre au courant que je vous attendais ici.
Oh oui Cole Connington de la division V de la milice.

Mes yeux d'ambres le sondèrent, ramenant mes souvenirs, dans un moment ou je ne crus rien à se qu'il me disait.

- Cole ? Vraiment... je ne crois pas vous avoir vu lorsque nous avions croisé la Division V avec Herbert il y a de cela quelques semaines.
- Oh j'ai été changer il y a peu. Donc effectivement l'on m'a dit que vous nous attendiez. Alors de quoi souhaiter vous nous parler ?

Dans une inspiration, je l'avisai lui et son bandage sanglant, lui désignant pour qu'il aille le changer avant que nous poursuivions la conversation. Il hocha la tête se désistant volontiers de ma présence, dans une voix enjouée sur un «  Joyeux Hivernel si nous ne nous retrouvons pas avant minuit ! ». Je lui rendit la politesse mais en le voyant se frayer un chemin, une chose étrange me saisi le cœur. Perçant la foule en quête d'une armure doré ou de la tête à claque qu'était mon Junior, je me pris à paniqué étrangement, Cole Connington. Je l'avais rencontré... il me semblait connaître se nom, mais … ses bandages... entre temps il aurait bien pu être grièvement blessé, mais qu'il ne me reconnaisse pas me semblait étrange. Il avait même sembler décontenancé lorsque je lui évoquai mon attente. J'avais partagé plusieurs courriers avec la division V... quelque chose clochait. J'arreta un garde lui saisissant le bras.

- Caporal Peinsworth... je peux vous parlez un instant ?
- Champion de Synn, un problème ?
- Je ne suis pas sur... mais une mauvaise impression, je devais parler excessivement fort dans le tumulte de la foule.

Dans un plissement d'yeux bleu et un hochement de tête il me mena dans une hall de la tour bondé, mais dont le bruit était plus gérable.

- Qui a t-il Monsieur de Synn ?
- La millice sa division V est arrivé...
- Effectivement oui... j'ai oublié de vous prévenir.
- Ne vous inquiétez pas cela à été fait... mais ce Cole Connington... je suis persuadé de l'avoir déjà croisé et celui que j'ai vu... j'ai le sentiment que se n'est pas lui.
- Pas lui comment ça pas lui ?
- Pas lui... quelqu'un d'autre se faisant appellé pareil.
- Vous n'auriez pas un peu bu champion, dans un léger rire.
- Un peu je le reconnais mais l'impression n'est pas du à l'ivresse je suis à peine éméché... s'il vous plait... juste par précaution mettez vos gardes sur le qui vive... qu'ils soient prêt si... je ne sais pas, mon impression étaient fondée... ça ne coute rien.
- Oui bien sur... il faut que je les prévienne au cas par cas ils sont tous dispersé dans la foule et allez savoir lesquels ont quitté leur poste se soir... mais ne vous en faites pas. Je pense que c'est une impression comme un « déjà vu ». Ca va être une belle nuit, profitez en.

Il me flatta l'épaule, me gratifiant d'un sourire plein. Mais il ne me convaint pas, autant que je n'avais la certitude qu'il ferait la moitié de se qu'il venait de me dire. Le premier instinct que j'eu fu de rejoindre les dortoirs pour me saisir de ma lance longue qui allait avec mon armure légère et souple que je parais ce soir... j'attrapais l'arc de Nayed puis parti en sa quête. Je filai dans la foule à vitesse réduite, le cherchant du regard. S'il avait trouvé des jeunes filles à séduire... je n'étais pas prêt de le trouvé. Ma première spéculation alla pour l'écurie, dans laquelle je pénétrai les armes au poing. Un homme était agenouillé dans la coursive centrale du batiment semi clos. Il leva ses yeux noir vers moi, alors qu'il caressait le tête de chien se léchant les babines gouluement. Son sourire se fit un peu vaniteux et étrange à mon goût mais les bizarreries n'étaient pas nouvelle se soir. Son visage m'était familier, il portait un arc long de très bonne facture dans le dos. Il ne semblait pas milicien, portant une longue veste de cuir et de fourrure cernant un buste en bonne condition et tatoué.

- Excusez moi..., fis je perplexe, une nouvelle drole d'impression au galop. Je cherche un jeune métisse battit comme une armoire, peau cuivrée... cheveux noir et yeux sombre comme vous, plus grand. Ca vous dit quelque chose ?
- Vous êtes Icare de Synn vous non ?, dans un large sourire me désignant de l'index.
- Effectivement, l'on se connait ?
- Pas besoin, tout le monde parle de vous. Vous avez battu le Roi Siri II, le mort vivant à se qu'on raconte. Vous êtes un sacré héro... j'adore les types comme vous !
- Je n'en ai pas tout les lauriers... c'est un effort commun... à qui l'on doit le succés contre la Forterresse d'Os.
- Modeste en plus... c'est juste incroyable... ça existe encore !
- Quoi donc ?
- Les types bien. Vous savez, dans un soupir en signalant du doigt assis à ses chiens. On vit dans un monde cruel, mais vous... vous êtes comme de la lumière dans se monde ! Ca sera d'autant plus amusant..., ses yeux dans les miens alors que je fronçais les sourcils.
- Amusant ?
- Oui... de voir votre tête quand je vous dirai que le garçon dont vous me parlez est parti dans les stocks avec deux jeunes femmes... je l'ai vu passé, il eut un léger rire en me frappant fraternellement l'épaule alors que je le regardais avec méfiance. On dirait que vous êtes sur le pied de guerre bon sang c'est hivernel !
- Excusez moi... hm... j'ai l'impression de vous avoir déjà croisé.
- J'ai une tête très commune on me le dit souvent.
- Hm..., septique entre mes dents. Merci de l'information... vous ne devriez pas laisser vos chiens prêt des boxes les bêtes pourraient paniqué.
- Oh ! Je vous rassure, ils n'ont aucun interet pour les animaux ! Ils sont adorables n'est ce pas Jaxou … meuh oui t'es une patte, en lui flattant son épais buste.
- Ce sont pourtant des chiens de chasses... ça doit être leur truc pourtant.

Il me répondit d'un simple sourire puis il leva le nez en entendant « Merry Christmas » se scandé au dehors puis frappa en rythme dans ses mains.

- J'adore cette chanson d'hivernel pas vous ?!
- Euh si... je ne suis pas très chant d'hivernel... sauf peut être « Silent  Night » ou «  O Holy Night ». Ces chansons me font sentir... plus proche des dieux.
- Moi c'est Jingle Bells... sonnez les cloches ça me fait marrer !
- Hm... excusez moi je vais..., désignant la sortie d'un air distrait.
- Oui bien sur allez y. J'aurai l'occasion de vous souhaitez le Joyeux Hivernel plus tard.

J'hochai tout même la tête poliement face à cet étrange personnage. Ou l'avais je vu ? Sans m'en rendre compte, perclus de question je me retrouvais à descendre dans les stocks guidé par les sons de rire multiple et féminin. Inconsiement, je déboula sur cette scène orgiaque de mon Junior au milieu des caisses flattés par deux charmantes compagnies, sans y porter attention, alors que j'aurai pu, les sourcils profondément enfoncé sur mes arcades, je fis un geste autoritaire dans beuglant son nom « NAYED ! ». Il se redressa dans un sursaut en attrapant son pantalon comme un gamin surpris par son père.

- Habille toi... il y a un truc qui ne va pas avec la milice...
- Ils sont arrivé ? Vous pourriez regarder ailleurs s'il vous plait Icarus ?!
- J'en ai une aussi et surement plus impressionnante alors arrete tes conneries et prend ton arc et ton carquois, que je lui tendais.
- Sérieusement ? Plus impressionnante ?, en prenant ses armes. Il se passe quoi... t'a l'air vraiment tendu pour un hivernel c'est le moment ou on est supposé un peu lacher la bride vous savez.
- T'es là pour mesurer qui a la plus grosse... ah oui ! J'avais oublié c'est toute ta vie. Suis moi... Mesdames, m'inclinant devant leur hate à se rhabillé. Suis moi.
L'on sortit lui encore sautillant son carquoi lui pendant à l'épaule et sa seule main libre remontant une de ses bottes souple. Il me regardait penaud et inquiet à la fois.

- Mentor dites moi il se passe quoi ?

Je me retournais prestement sur le dernier escalier menant au dehors du stock.

- La milice... c'est pas eux... j'en ai le sentiment... rien de sur mais, je veux qu'on soit prêt à riposter si jamais. Tu tires mieux à l'arc que moi, trouve un poste ou personne te verra prépare toi à n'importe quoi... si je me plante alors je me serai juste planter et je te paye assez de boisson pour que tu me pardonnes d'avoir arreter ta petite partie de jambe en l'air. Mais s'il te plait obeis moi.
- Oui bien sur chef... pas de soucis, il semblait ressentir mon inquiétude avec assez de sérieux pour ne pas se foutre de moi pour une fois. Et vous ?
- Je vais surveillé les mouvements dans la foule... c'est la seule chose que je peux faire... avec une arme de corps à corps et vu le monde... je ne peux pas me permettre grand chose d'autre.
- Ca marche … je me poste... disons que je sors si il s'est rien passé après une heure du matin environ...
- Ca me va. Merci... Nayed.
- De quoi ?
- De me faire confiance sur se coup.
- Oh vous savez s'était même pas une bonne affaire les deux... c'est pas bien grave, j'ai toute la nuit pour rattraper ça !

Je lui souris et ressortait dans la foule, lui me devança pour disparaître dans les houles. Je pris poste sur une caisse surelevé, assis, pour ne pas attirer l'attention les yeux à l'affut, tout contre le mur des primes. Une bonne heure fila sans problème, le vacarme était tel... les pétards, les cris les chants puissants, je ne pouvais rien percevoir d'un son anormal. Je fini par me dire... en voyant le minuit poindre, que je m'étais peut être trop inquiété... à tort. Je finis même par me penser paranoiaque, la milice allait dans la foule chantant aussi, très difficilement perceptible néanmoins par les remous. Puis, lorsque je soupirai lassé de tant d'inquiétude de ma part, comme toujours résonna le chant sublime qui fit taire la foule de « O Holy Night », je relevai les yeux, comme si en l'instant précis, la voix parla directement à mon ame. L'impression était étrange, de beauté pure, tout se tut pour laissé la voix s'élevé juste avant le Joyeux Hivernel collectif. Je porta la main à mon cœur resté en suspens. Quelque chose laissa plané le calme avant la tempête, mes yeux se lèvèrent au ciel noir étoilé en cette nuit de fête laissant grimper au dessus de moi les visages des primes comme sur une tour de Babel... gloire à la vanité et la cruauté des hommes.



Un visage me percuta alors que je contemplai les astres sur l'éclat de voix, je vis se visage... ça y était je savais ou je l'avais vu. Je savais... cet homme son visage m'était familier car cela faisait quelque jour que je le croisais parmis une floppée d'autre sans y prété plus attention que ça à tort... il était là afficher de cette mine narquoise parmis les autres... le visage de …


Varre. Je suis Varre, surnommé on ne sait pourquoi le sournois. Peut être parce que je suis du genre à fomenté des plans comme celui ci. Je montais laissant mon manteau long glisser sur les marches menant au chemin de ronde, je souriais avec amusement mon arc en main, alors que tout yeux était rivé sur cette chanteuse magnifique par l'élan du cœur, que j'avais payé pour chanter cette chanson en particulier, pour la beauté du geste, je banda calmement mon arc d'une flèche et lacha la corde tendu en sa direction. La flèche lui traversa la tête d'un trait mettant fin à la chanson, si belle... OH FOUTRE QUE C'ETAIT BEAU PUTAIN !
Son crane vola en éclat la pointe lui passant en plein milieu du visage la faisant tombé à genoux. A ce moment même le signal d'alerte de la vigie s'embrasa, je savais que Kalla y avait laissé sa tête. Peut importe. Cette nuit serait foutrement magnifique. La nuit se nimba d'un silence froid alors, que la divine chanteuse pria les cieux un œil unique révulsé vers l'absence des dieux. Je laissa quelque secondes à cette chanson dans un sourire avant que ne retentisse les armes à feu de mes hommes, faux miliciens fauché plutot en pleine route. Nombre de corps tombèrent tour à tour et deux de mes sbires à mes cotés firent craché le feu d'une sulfateuse de pointe signé Falto. Les hurlements la panique, les gens se mettant à terre, mes chiens sagement assis à mes cotés langue ballante. J'écarta les bras dans le tumulte pour m'imprennier de la folie qui le prenait, inspirant profondément avant de faire éclater ma voix entrainée à l'occasion chantant « Jingle Bells Jingle Bells », avec nombre fausse note et un peu trop de rire dedans. Ma voix pris totalement place dans le silence. Les renforts seraient là pour bientôt, mais assez de temps pour laisser ma chanson et ma leçon.

- JOYEUX HIVERNEL !!!, fis je en applaudissant d'une main sur ma cuisse. ALLEZ ! C'EST UNE MERVEILLEUSE SOIREE ! ON APPLAUDIT !

Menacer par les canons plusieurs à genoux en larmes se mirent à applaudir plusieurs Garde avait la mains sur leur armes prêt à faire feu, avant que je ne tende un doigt vers eux.

- On se calme les enfants ! Un seul coup de feu et des gentilles personnes ici vont mourir plein... moi j'men fou très honnetement hein ! On s'en fou tous depuis que ce monde à décidé d'aduler des MENTEURS ! DES USURPATEURS ! ET OUI LES ENFANTS LE PERE HIVERNEL VOUS MENT ! Et oui... mais c'est beau les sapins ! Hein on adore ! J'adoooooore ! Mais nous pensons tous en se jour incroyable aux pauvres innocents ici. Je suis pas là pour … tuer des gens. Bon des gens sont mort c'est vrai. Dégat Collatéral. Mais je suis surtout là pour vous apportez un cadeau ! Et oui... la vérité. Vous la méritez bien ! Et aussi une petite leçon ! ON APPLAUDIT LES ENFANTS ALLEZ ON APPLAUDIT !

A nouveau des sanglots et des cris alors que tout venait de se renverser en si peut de temps, se muèrent dans des applaudissements faiblards.

- Bon... on vous fait croire qu'il y a de l'espoir en se monde. A vous tous, d'ailleurs on invente des fêtes à la con pour vous faire oublier, que les gens souffrent. Qu'elle honte non ? On vous leurre, en permanence, on vous fait miroiter des Héros... oh tient d'ailleurs on en a un là ici non ? Champion de Synn ! Il a tué le Roi Siri II de la Forteresse d'Os ça c'est un sacré bougre ! Mais mais mais... je veux vous montrez que tout ça... tout ces faux semblant ou on porte une bannière fièrement n'est qu'un mensonge. Monsieur de Synn je vous propose quelque chose que vous allez adorer. Donc comme vous le voyez... plein de gens ici mourrons si on décide de faire feu. J'ai peut de chance de m'en sortir... mais ! Je suis le roi pour m'en sortir. Donc partant de se postulat, vous ne voulez pas expliquer au famille que ses pauvres gens sont mort à cause de votre zèle et de ceux de la garde hm ? Parfait. Donc ! Je vous propose une chose monsieur de Synn... Votre mome avec l'arc que vous avez postez là bas !, en désignant le lieu ou Nayed était poster. Vous le fassiez descendre. J'aime pas trop qu'il pointe se truc là sur moi... vraiment.

Je regardais en direction comme tout les gardes la main crisper sur mon arme, ne réagissant pas. Varre rit un peu en levant la main et dans un ton hilare.

- Attention je compte jusqu'à trois ! ATTENTION ET DE UN ! ET DE DEUX...

Nayed sortit de sa planque traversant la foule de lui même pour se placer sur la zone de vide qui s'était faite de cadavre devant le mur de ronde ou se perchait Varre et la sulfateuse.

- Bon gamin. Vraiment j'veux un fils pareil que toi... jtadore. Joyeux Hivernel d'ailleurs. Monsieur de Synn qu'est ce que vous attendez pour le rejoindre ?

Je ne voulus pas jouer son jeu mais Nayed me regarda d'un air de dire qu'il tirerait sur des innocents  si ils ne faisaient rien. Puis à contre cœur la machoire serrée je le rejoins d'un pas lent marchant entre les corps étendus qui me paraissait si flou.

- Voiiiiilà. Parfait. Alors, ces deux personnes là d'après se que j'ai compris sont des champions d'arène. Des gens payé pour tué et on les applaudit pour ça... c'est incroyable non ? On paye et on applaudit des types pour butter son prochain ! Incroyable ! J'étais comme eux ! Mais on ne m'a jamais applaudit. Sauf que maintenent je le fais pour pas un rond... parce que des gens bien plus puissant que vous tous minable scarabée ont arreté de me payer pour tuer, et pour me faire detester par tout un tas de gens. Mais eux là en bas regarder les comme ils sont beau. C'est des héros, parce qu'ils ont une arène pour leur crime. Mon cadeau pour vous ce soir ! Gens de tout bord ! C'est de vous offrir un spectacle... ou eux, les héros. Vont se battre sans être payé. Oui oui vous avez très bien compris. Il vont se battre à la mort tout les deux, sinon on tirera... et ils auront la mort de tout les innocents en plus à terre sur la conscience. Mais ce sont des héros ils vont se battre pour vous sauvez. Car comme moi... ils ont été contraint, contraint de faire une chose pour survivre et pour sauver mes proches et mes amis... Alors maintenent. Messieurs. Faites nous rêver en cette magnifique nuit !

Il banda son arc et visa des gens aux hasards. Mes prunelles d'ambre tremblaient regardant Nayed, les lèvres tremblantes... il m'avisa à son tour dans une respiration saccadée. Il porta la main à son épée dans son fourreau jetant son arc.

- Nayed fais pas ça...
- C'est nous ou eux...
- Il y a une solution... je suis sur qu'il y a une solution.
- Laquelle ? … laquelle Icarus ?
- Tu... non je peux pas te laisser faire... si on se bat vraiment... tu vas perdre... tu le sais...
- Alors... laissez moi gagner... votre temps est derrière vous... je veux dire...
- Tu n'es pas sérieux ? Nayed...
- Vous avez toujours parler de valeur et de courage... des valeurs que je n'ai jamais porter... mais vous - oui... ça... peut... se régler …
- Non... non ne fait pas ça. Je sais que c'est une situ...
- J'ATTEND ! M'OBLIGER PAS A COMPTER LES AMIS !
- On peut pas se laisser prendre en otage dans notre morale par un monstre... si on fait se qu'il veut... il continuera... il continuera... d'autre gens mourront.
- T'es prêt à les sacrifier ?
- Non bien sur que non...
- Alors... bat toi Icarus ! Ta vie ne vaut celle de personne ici ! Montre que tu peux tenir ton enseignement et là alors peut etre que j'aurai de quoi te respecter !
- ET DE UN !
- Non Nayed...

Brutalement il se rua sur moi son arme était trop courte je la parai avec aisance mes pieds fusant entre les morts qui jonchait le sol, il ne fut pas complexe en quelque moulinet dextre du bras de lui faire lacher le pommeau, tant la pression le tenaillait et lui rompait son jeu. Mais il ne cessa, se jettant sur moi les mains en avant pour venir m'étrangler ou me broyer le crane d'un tour de lance je lui envoya la partie contondante sous le menton le menant à la renverse et le laissant ainsi à crachotter son sang sur le sol. Comme un empereur, Varre l'arc débandé fit le signe de mise à mort. Mes yeux hagards regardait en tout sens... tout ses gens qui comptaient sur moi pour vivre encore... éviter la grande fusillade généralisé... je regardais Nayed au sol, un jeune homme de 16 ans. Je me tournai vers Varre.

- Tuez moi à sa place !
- Ca vous flingue hein ? L'impuissance... se sentir comme un rat misérable au proie de plus grand et plus puissant ? D'etre un chien ? ET DE DEUX !
- NON JE VOUS EN PRIS !
- ET DE DEUX ET TROIS QUART !

Je croisa le regard sombre de mon junior qui me murmura un « Vas y », dans un suffoquement, je fis reculer ma lance pour l'ammener à plonger dans le dessous de sa clavicule, ça pouvait ne pas le tuer, j'avais visé suffisement bien pour que la blessure soit impressionnante mais non mortel. Mon buste lacha rale alors que je tombai à genoux lui laissant l'arme dans l'épaule alors qu'il tomba au sol dans un rale d'agonie, la perforation bouillonnante de sang...

- je suis désolé nayed... je suis désolé... je...
- Il est mort ? Hin... je ne crois pas..., Varre siffla et ses deux molosses partir en trombe dans l'escalier. Au cas ou...

J'écarquillai les yeux les voyant arriver à pleine vitesse et sauter sur nayed au sol si vite... je vins en attraper un pour le rejetter plus loin avant qu'il vienne pour s'acharner sur mon bras que j'interrompis d'un coup dans sa gueule le faisant glapir péniblement et me relevant pour lui broyer la cage thoracique d'un violent coup de talon. Varre pencha la tête un peu déconcerté. Mais le second chien... Jax avait donné plusieurs coups de croc, à répétition... je saisis la lance dépassante pour embroché le canin et de plusieurs coups, mais les tireurs de Varre ne bougeait pas me laissant seul dans mon horreur incapacitant les gardes du lion qui ne savaient plus s'ils devaient tirer. La bête se laissa tomber de coté dans un cri pitoyable pour me laisser apparaître le visage de Nayed... se... qu'il … restait... de... Je tombais à genoux les yeux grand ouvert par l'horreur et la violence de se monstre psychopathe, les larmes bloqué dans mes lacrymas, la bouche ouverte tremblante, serrant ma lance.

-Le spectacle est fini ! C'était bien ! JOYEUX HIVERNEL A TOUS !

Alors que chacun de ses hommes disparaissaient un à un dans les ombres propageants les tirs de la garde de lion...en touchant surement certains qui semblèrent retombé dans une flaque de sang, sous les cris. Je lança à pleine force la lance qui disparu vers et avec Varre dans les ombres le temps d'un tour sur lui même faisant volé les pants de manteau. Parmis les balles sifflantes, les cris, les pleurs, je pris ses lambeaux de visage qu'était celui de Nayed auparavant... mes doigts se maculant de tout se qui n'aurait jamais du sortir de se visage si jeune... c'est ma faute... ma faute... ma faute... Les décorations sur le sapin teintait sous un léger vent...
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Y a Des Marqueurs
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Y a Des Marqueurs

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Jeu 12 Jan - 6:42

- Une Conversation qui N'existera qu'Ici Sans Nom et sans Description -

- ... ça fait quelque minutes que l'on se regarde dans le blanc des yeux. C'est bien dommage de s'être déplacé jusque là pour juste n'avoir rien à me dire, vous ne pensez pas ?

- Je ne sais mêmes pas par quoi commencer... Ni même se que vous imaginez que je puisses bien dire.

- En toute honnèteté, vous n'avez pas la mine du franc ami là pour vous accordez une accolade soulagée...

- Vous avez désobéis à vos ordres. Ca résume pas mal mon air.

- Sauf que ça ne vous... concerne pas semblerait il. Je ne vous obeis pas.

- Ne me prenez pas de haut. Vous avez désobei à vos ordres d'Affectations, vous envez entrainer "MON" agent à en faire de même, et comme si ça ne suffisait vous avez réussi à foutre un bordel monstre par votre prétention absurde !

- Mon affectation engageait ceci : Proteger et assuré la sécurité des camps nord-est par tout procédé, d'étude et d'actions pouvant être positif dans vos engagements de rangs. Et en quoi ça serai l'apocalypse ? Hm ? Que je sache j'ai, pardon, nous avons agis en notre ame et conscience de danger pour prouvé une menace supplémentaire et il me semble que nous y sommes parvenus !

- Vous n'auriez jamais du y aller... vous n'auriez jamais du vous faire repéré... vous n'auriez même jamais du en revenir ! Vous n'avez rien signaler de votre action... vous avez pris une choix en dehors des REGLES ! IL Y A DES REGLES !

- ... oh... j'ai peur de comprendre... vraiment... Vous saviez ? VOUS SAVIEZ ?! Oh bon sang, je ne devrai pas être surpris ! Ca vous ressemble bien à vous et votre compagnie de cachottier ? Depuis quand ?!

- Vous n'avez pas à disposé de cette information. Vous avez agis inconsidérement... possiblement entrainer l'apparition d'un nouveau front que nous ne pouvons et devions pas gérer pour l'heure ! Car nous evoquions que peut d'interet tant qu'ils se sentaient en sécurité et nous faisions se qu'il fallait lorsque nos moyens à disposition aurait été suffisant nous aurions fait quelque chose. Vous pensez etre la seule personne maligne ici ? Croyez moi, vous êtes un maigre esprit comparé à une légion complète. Vous n'avez pas fait ça pour aider le Pacte. Vous avez fait ça pour votre petit interet personnel, votre vanité personnelle !

- Vu que vous évitez à tout prix de répondre j'imagine, que ça faisait un moment. Donc c'est ça la régle, vous avez le monopole du fermage de gueule et toute initiative volontaire à faire la même chose que vous ?! Devrait, elle être énoncé haut et fort ?! Vous savez comme on procède au Prieuré ?! On trouve une ruine naine, on attend pas qu'elle s'effondre pour commencer à tenter de savoir de quel peuple elle vient. Mais PUTAIN ! Vous êtes vraiment là pour me faire porter le chapeau de votre manque effroyable de communication ? Parce que vous avez pas été foutu d'arreter deux pigeons en slip en train de grimper une falaise ?! Que Obsidiane a pas su prévenir les autres assez vite ? Non... ça se passera pas comme ça je vous assure...

- Fermez votre putain de gueule. Vous êtes un emmerdeur et vous le savez, vous bossez pour votre seul compte, et vous êtes un chacal. Vous pensiez qu'on vous applaudirai ? Mais Durmand est juste une bande d'inconscient, obsédé par l'idée d'avoir un musée assez grand pour se faire passer pour les plus grands érudits des Peuples Libres. Sauf qu'écoutez moi bien, vous êtes juste des vautours qui n'ont aucune conscience du monde. Vous avez agis par zèle en vous foutant bien de comment ça se passe pour de vrai dans une guerre et lorsqu'on est soldat, VOUS ETES SOLDAT ! Vous chiez là ou on vous le dit, les esprits libre ? J'en ai rien à battre. Vous avez mis en danger de véritable expert et spécialiste... vous avez possiblement créer une guerre ouverte, en pensant que tuer à tour de bras était un moyen de vous rendre Charismatique et vous comptez en plus de ça ?! Surement diffusé ça dans un joli papier à l'Intendantn histoire que tout le front panique... que vous foutiez la main sur des découvertes d'une dangerosité sans nom?! Je peux vous dire que ça n'arrivera pas... et d'ailleurs je ne sais pas se qui me retient de simplement vous accusez de désertion pour vous pendre Haut et Court en gage d'exemple, vous arreterez de me pomper l'air et pour le cafard insignifiant que vous êtes dans mon UNIVERS, je peux vous assurez que c'est énorme d'avoir réussi à me faire chier.

- Vous saurez que Gixx ne me croira pas capable de Désertion, il saura qu'il y a eu une entourloupe, et vous savez comme il est ? Ca n'aidera personne. Il serait capable de vendre la Bibliothèque si on touche à ses membres injustement. Et vous ne savez rien de se que j'ai fais là bas.

- Vous croyez sincèrement que je n'en sais rien ? Je connais se regard, des types comme vous j'en ai vu passé à la pelle. Mon Ordre s'est fait sur des Trou du Cul dans votre genre, des chiens enragés qui se prétendent plus malin que se qu'ils sont vraiment, des esclaves de haine, sauf que moi, c'est ma spécialisation de les faire s'asseoir lorsque je dis "Assis". Et désormais, c'est se que vous allez être un pur race qui s'asseoit lorsque je l'exigerai. J'ai autre chose à foutre que m'emmerder avec se rat de Gixx et son inconscience digne d'un fond de latrine. Vous mordrez quand je vous le direz. Car là... je vais un peu replacé la vérité, vous vous pensez fort ? Vous vous pensez unique ? Mais vous êtes seul, nous sommes légions comme vous. Je lèverai mon auriculaire que dans la minute, malgré toute votre méfiance, tout sera fait pour vous détruire, je pourrai vous écrasez comme un nuisible sous mon talon dans un simple regard. Vous êtes insignifiant, vous et votre présomption. Et croyez moi pour des connards dans votre genre, on a bien deux minutes à perdre. Ca c'est la réalité. Votre réalité. Vous êtes un petit enculé qui a fait du zèle, mais ! vous n'avez qu'un seul crédit pour vous. C'est qu'effectivement.
Le fond était bon, même honorable, lamentablement exécuté, c'est la seule chose pour laquelle je vous allume pas purement et simplement, avec en prime que par le passé vous étiez plutot coopérant.
Croyez moi, Gixx n'attend que ça de doutez de vous. Si c'est pas la désertion, nous trouverons autre chose pour avoir carte blanche pour vous liquidez publiquement. Vous avez apporter des choses qui "Nous" servirons... Non fermez votre bouche j'ai rien envie de savoir. Sauf qu'une autre insubordination de se genre avec autant de possibilité à son issue tragique... pensez bien que s'était votre dernière. Mais voilà la régle de notre maigre indulgence, est que le Prieuré n'a rien à en savoir. Absolument rien, d'ailleurs personne ! Juste fermez votre boite à fiente. Que cette conversation n'a pas à être non plus communiquer à qui que se soit. J'espère qu'on se comprend. Et que désormais, vous allez faire exactement se qu'on vous dit, vous allez faire mais alors tout se qu'on vous dit. On vous envoit mourir ? Mourrez. Je ne veux plus me déplacer, je ne veux plus entendre rien du tout à votre sujet, de pres ou de loin.
Vous arretez et vous obeissez et vous inquiétez pas on vous enverra faire se que vous savez faire le mieux : Tuer. Malgré tout se que prétendra votre ordre, vous êtes un bourreau avec un manuscrit ancien pour couverture. Surtout... surtout ! oh oui... très important, soyez convainquant à se que tout le monde rentre en rang hm ? Je suis bien clair ?
Vous savez si vous le faites pas pour elle, vous le ferez pour vous. Vous accepterez la sodomie à sec que je vous octroie car vous savez que sur se coup là... vous avez absolument tout à perdre.

- Vous êtes content de pouvoir me tenir par les couilles que je n'ai pas. Bravo.
Au fond, vous aimeriez que je renverse cette table pour vous éclatez la gueule et que vos larbins n'est pas à trouver d'excuse pour me sécher. Vous savez quoi ? Vous avez raison mon job c'est le meurtre et survivre à la pire race de connard possible. Vous allez vous faire plaisir. Mais vos missions de merde, je les accomplirai, je serai dans les rangs pour tuer Mordremoth et ça aussi vous reverrez ma gueule à la fin. Alors essayez. Tout se que j'aurai fais, comme là, comme toute ses fois c'est lutté dans votre putain de sens, et non contre vous. Car il semblerait que vous avez oublié une chose. On a le même objectif, et mentir, cacher une information pareille... si elle avait changer de nature sans que vous ayez eu pu avoir le temps de réagir, ça aurait été dramatique. Désormais, malgré le fait que maintenent je suis sur votre Liste Noire, vous allez devoir déclamer un même speech à des gens qui sauront comment réagir. Alors, faites moi croire que j'ai perdu sur tout les tableaux. J'ai réussi cette mission. J'ai rapporté des informations au prix de ma vie, j'ai survécu à l'impossible et je peux vous assurez quelque chose. Qui que vous ayez envoyé... si ils y sont encore... Achetez leur une stèle. Dés maintenent. Pas qu'ils n'auraient pas pu s'enfuir, surement mieux que nous. Mais là, ils se sont perdu dans la démence. Quand est ce que vous allez nous envoyez en première ligne ?

- Sortez avant que je change d'avis ! Un jour votre présomption vous tuera...

- J'ai personne a assassiné dans mes rangs car je suis confiant en se que j'ai fais et que s'était mon role de le faire. Et vous ? J'ai pas trop le choix de vous obeir pour continuer se que je fais aussi bien que tuer : mon job. Si vos exigeances sont le prix à payer, alors je le paierai, car aussi étrange que se soit, je suis Loyal envers Durmand et l'Intendant. Vous ne changerez jamais ça. Oh et une dernière chose. Elle est capable de prendre des décisions par elle même. Bonne journée.  
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Lilly Doll
La Diplaymate
Lilly Doll

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Localisation : Quartier de Salma, Promontoire

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Mar 17 Jan - 22:24

Les inédites ~ Les états d'âmes de Lilly Doll ~ scène n°2

Une histoire qui s'est passé il y a quelques jours. Ou plutôt il y a quelques nuits


« Il faisait nuit noire. Le ciel était couvert de sombres nuages qui poudraient les pavés du Promontoire de leur neige fine. Il demeurait néanmoins quelques traces de passage de citoyens, dont celles laissées par la traîne d’un long manteau de cachemire noir glissant sur le voile blanc ; c’était une grande capeline assez fluide qui couvrait le corps jusqu’aux pieds, avec notamment deux manches en laine, bordées de fourrure bleue-grise ; tout comme le col, qui pouvait se nouer par un ruban de soie bleu clair. La tenue était singulière et pourtant, particulièrement chaude. Il avait fallu au moins ça, pour convaincre Moneta de laisser sortir Lilly-Rose, par un temps aussi sombre et froid qu’en cet nuit d'hiver.  

Alerté par le raffut du Docteur Grégère à sa porte, il lui avait expressément demandé de la suivre sans poser de questions. Avisant la gravité, elle fut rapidement convaincue de le suivre. Mais le silence d’Alfred, dans leur marche, la rendait impatiente :
- Vas-tu enfin m’expliquer ce qui se passe à la fin ?!
Alfred bifurqua à la sortie du quartier de Salma pour s’engager dans la ronde du Promontoire.
- Pour faire court, Gonzague Magrès est un patient que je surveille depuis plus de huit ans. C’est un dur ce type : il a survécu à bons nombres de choses… mais l’hiver est rude cette année et la pandémie de grippe l’a marqué bien plus qu’escompté. Et son âge n’a rien arrangé à cela : il ne tiendra pas la nuit.
Lilly afficha une mine affligée pour ce pauvre homme. Tout en tenant son col contre elle, elle dut faire face à une bourrasque gelée avant de reprendre:
- Je suis … désolée pour ce pauvre homme, mais en quoi suis-je concernée ?
- Il m’a fait une demande particulière : au vue de son état actuel, la moindre injection pour calmer ses douleurs fera lâcher son cœur automatiquement. Or, il tient à rester éveillé le temps que sa famille arrive.
- D’où vient sa famille ?
- De Pommeville. Ils ont été prévenus il y a trois jours et doivent arriver par le portail dans le courant de la nuit, ou à l’aube.
- Et qu’elle était sa demande ?
- Tu sais manipuler les esprits n’est-ce pas ?
Lilly se renfrogna.
- Ce n’est pas vraiment une qualité que je mets en avant…
- Eh bien ici, ce sera bénéfique. Car tu vas devoir lui calmer ses douleurs.
- Pardon ? ! Déclara Lilly, en s’arrêtant sur le coup, puis reprenant sa marche.
- L’idée vient de lui. Il ne veut pas mourir avant d’avoir vu sa famille. Il n’a pas confiance en la médecine, mais en la magie. Il m’a demandé si je ne connaissais pas un mage ou un hypnotiseur pour calmer son mal.
Alfred esquissa alors un grand sourire.
- Je savais que tu ne refuserais pas de m’aider.
- Je te trouve quand même bien présomptueux d’y avoir pensé ! gronda Lilly-Rose.
- Mais ai-je eu tort ?
La jeune femme eut un long silence puis :
- Non.

Arrivant au pied de la porte d’une maison bourgeoise, Alfred entra sans même frapper. L’intérieur était simplement décoré mais rempli de mille et un souvenirs : de peintures, d’esquisses, de poteries ; c’était littéralement une boite à souvenirs de tous les pays que son propriétaire avait visité. Lilly perdit son regard l’espace d’un instant, impressionnée et admirative à la fois pour tant de souvenirs conservés.
Alfred la devança, prenant un escalier en bois qui craquelait sous son poids. Lilly le suivit, dénouant son manteau dans le même mouvement. Ils arrivèrent alors dans une chambre faiblement éclairée, avec un homme souffrant et fiévreux dans son lit : il avait un front dégarni, au visage avenant et sympathique malgré les rides et la douleur creusant ses joues. A son chevet se tenait une infirmière, changeant la compresse de son front. Elle sursauta à la voix d’Alfred :
- Je suis là Rosetta. Comment va-t-il ?
- Son état est stationnaire pour le moment. Mais les calmants commencent à une plus faire d’effet.
Elle avisa alors Lilly. Cette dernière se tenait au pied du lit du vieil homme, qui à bien des égards, avait la tendresse d'un visage connu d'elle seule. Aux murmures de la conversation, Gonzague entrouvrit un œil sur le médecin puis la marionnettiste, et décocha un sourire plein de soulagement.
- Vous êtes venu...
Lilly écarquilla son œil ambré, mais sourit. Posant son manteau sur une chaise, elle s’assit au bord du lit pour le regarder et le saluer. Aussitôt, Alfred s’avança vers lui :  
- Gonzague, je vous présente Lilly Doll. Elle est venue spécialement pour vous.
- Lilly Doll… Oui. Je crois me souvenir. Vous êtes "La Marionnettiste" ? Oh, ma petite fille m'a longuement parlé de votre spectacle en début de saison... il devait être très beau.
- Je suis heureuse qu'il ait pu lui plaire, Monsieur Magrès, répondit Lilly de sa voix douce.
- Vous allez pouvoir m’aider ?
- Oui… je pense que j’en suis capable, répondit-elle avec hésitation.
- C’est formidable… formidable… Comment allez-vous procéder pour calmer la douleur ?
Lilly avisa Alfred, gênée, puis se tourna vers le malade.
- Je ne peux pas la calmer. Le mal que vous avez n’est pas soignable sans remèdes. Néanmoins… je peux empêcher que la douleur vienne à votre esprit.
- Comment ça ?
- La douleur… est un signal d’alarme. Quand on souffre de maux à un endroit ciblé du corps, ce dernier transmet un signal par les nerfs puis la moelle épinière, pour remonter au cerveau et indiquer la position en mal. Le seul moyen de ne pas sentir la douleur est de « bloquer » ce signal avant qu’il n’atteigne le cerveau, ou du moins, de l'atténuer. Ainsi, cela pourra agir comme une sorte d’anesthésie. Cela ne guérira pas votre mal, mais vous le ne sentirez plus ; ça vous soulagera, le temps que votre famille arrive.
- Bien…, déclarait Gonzague en hochant fébrilement la tête. Je suis prêt.

Lilly écarquilla son œil ambré.
- Vous n’avez pas peur Monsieur Magrès ? Demanda Lilly, fébrile.
Ce dernier la regarda, déterminé malgré sa fatigue.
- Le plus beau cadeau que vous puissiez me faire, c’est de me donner du temps pour revoir ma famille une dernière fois. Je vous en prie… vous êtes mon seul espoir.
Lilly dès lors inspira et déganta ses mains.
- Bien. Il faut que je vous demande une chose : êtes-vous prêt à ce que j’entre dans votre tête pour répondre à votre demande ?
- Oui, bien sûr que oui Marionnettiste !
Lilly expira doucement et se fit plus calme.
- Tu as besoin de quelque chose ? Demanda Alfred, tendu.
La jeune femme aux boucles blondes se leva pour se tenir contre la tête en bois du lit. Elle glissa une main tiède sous la nuque de Gonzague, tandis que l’autre alla se poser sur son front. Son œil s’emplit d’ambre et sa pupille disparut.
- Je n’ai besoin que d’un peu de temps, répondit-elle de sa voix éthérée. Monsieur Magrès, vous allez sentir des chatouillements le long de votre nuque et de votre front. Ceci est tout à fait normal. Il va me falloir quelques minutes, le temps que je cible vos douleurs.

Le pauvre homme n’osait même pas hocher la tête pour montrer son approbation. Le temps s’écoula doucement, jusqu’à ce qu’il ressente comme une sorte de poids qui se retirait de lui-même. Il semblait même mieux respirer. Alfred se tenait à son chevet, mesurant son pouls pendant la manipulation de la Marionnettiste, qui semblait œuvrer avec réussite. Malgré lui, il esquissa un sourire.
- Son rythme cardiaque ralentit…
- C’est vrai que… je me sens mieux, murmura Gonzague avec une voix apaisée. Je peux même sentir mes vieilles guibolles sans ses satanées courbatures ! Vous êtes douée, Marionnettiste…
Lilly, concentrée, ne bougeait pas d’un pouce :
- Appelez-moi Lilly.
- Alors appelez-moi Gonzague.
- D’accord, répondit-elle dans un léger sourire.

Deux heures semblaient s’être écoulées depuis que Lilly se consacrait à la santé de Magrès. Ce dernier restait souvent mitigé entre la laisser tranquille et faire la conversation à elle et au médecin. Alors il rythmait en deux temps la nuit, parlant parfois de sa famille, puis de ses longs voyages :
- J’étais archéologue au Prieuré autrefois. J’aimais beaucoup explorer les ruines d’Ascalons et d’Harathis, tenter de retracer un peu la guerre des guildes ou le déplacement des foules pour éviter les conflits. Si vous saviez mes enfants, toutes les rencontres merveilleuses que j’ai faites ! D’abord ma femme… oh elle avait tellement de caractère. Elle est partie l’année dernière, alors qu’elle tricotait un nouveau bavoir pour la naissance de notre dernier petit-fils.
- Elle tricotait aussi bien qu’elle maniait les armes ? Demanda Alfred.
- Oh, oh, elle était même bien plus affûtée qu’elle ne l’affirmait ! Rit Gonzague avant de tousser légèrement. Oh… elle n’aimait pas combattre mais elle se défendait bien ; elle assurait la sécurité du camp et quand elle était en repos, elle faisait de la bonne bouillasse d’ortie. Je ne sais toujours pas comment elle faisait pour nous cuisiner de bons plats avec si peu de choses. Mais c’était sa magie à elle. Et j’en étais admiratif.
- Vos enfants vous ont suivis ? Demanda Lilly de sa voix lointaine.
- Oh non, chacun a choisi sa voix. Marchande, Veilleur, Agriculteur. Mon aînée a épousé un gendre formidable qui a offert une merveilleuse maison à mes petits-enfants. De sacrés fripons mais tellement pleins d’avenir.
- En somme, vous avez tout réussi dans votre vie, conclut Alfred avec un sourire. Vous pouvez être fier de vous.
- Oh, non docteur. Il me manque encore une chose.
- Et quoi donc ?
- Cent ans de plus pour continuer !
Lilly esquissa un léger rire et regarda Gonzague.
- Vous avez de la chance.
- Oh vous, savez, la chance n’a rien à voir Marionnettiste. C’est l’expérience, le changement et le temps qui font que l’on devient heureux, je pense. J’ai toujours œuvré pour ce qui me rendait heureux. Et ma famille était ce que je voulais rendre heureux. Par défaut, quand ils souriaient je souriais aussi.
Il leva la tête vers elle.
- Je suppose que vos parents auraient pensé la même chose que moi !

Elle alla répliquer, souriante, jusqu'à ce qu'ils entendirent des bruits de pas monter en cascade dans les escaliers. Aussi nombreux qu’ils étaient, une famille regroupée et en larme allait débarquer dans le couloir en criant:
- Papa ! Grand-Père ! Gonzague !
Lilly et Alfred sursautèrent, et ce dernier se leva rapidement pour sortir et fermer la porte derrière lui. Lilly pouvait encore entendre un pan de la conversation :
- Du calme ! S’insurgea le médecin. Monsieur Magrès est très souffrant…
- Comment va-t-il ? Demanda une femme.
Puis les voix se turent. Lilly inspira doucement et regarda Gonzague, de son œil entièrement ambré :
- Votre famille vous aime…
- Et je le leur rend bien, dit-il après un rire rauque avant de devenir pensif. Vous savez, Je n’avais plus qu’eux dans ce monde. Pour chaque événement important, je traversais ciel et terre pour les retrouver et partager ça avec eux. Me dire que… c’est la dernière fois que je les voie… je vous avoue que j’ai très peur. Qui s’occupera d’eux maintenant ?
- Je crois Monsieur Magrès, que ce sont à eux de s’occuper des autres maintenant. Ils ont grandi, quoique vous pensiez.
Il rit.
- C’est vrai. Mais ça restera mes bouts de choux. Même si Grenth m’emporte dans les brumes. J’espère juste… qu’ils ne m’oublieront pas…
Une larme tomba sur sa joue ridée. Lilly alors ne démordit pas son sourire et le regarda avec tendresse.
- Vous savez, il existe deux types de souvenirs. Les souvenirs du temps : tellement importants et nombreux en quantité que parfois ils nous échappent ; et les souvenirs du cœur. Et croyez-moi, ils ne sont jamais faciles à oublier.
- Qu’est-ce donc ?
- Toutes les personnes que vous avez aimées du plus profond de votre être, tous les souvenirs des moments les plus importants, ou du pourquoi vous avez aimé, sont scellés à jamais dans votre cœur. C’est ce qui l’a construit, et ce qui vous a permis de devenir ce que vous êtes aujourd’hui : fort, généreux et résistant à tout. Ces souvenirs, ces sentiments, sont inoubliables. C’est un peu comme si, une part de leur être était venue s’ancrer dans votre cœur. Et bien sûr, vous avez donné le vôtre à toute cette famille. A chaque fois qu’ils riront, pleureront ou réaliserons quelque chose, vous sourirez avec eux. Car ils penseront à vous, se demandant si vous serez fier d’eux.
Il eut un sanglot.
- Mais j’ai toujours été fier d’eux !
- Alors… il faudra le leur dire en face, répondit doucement Lilly. Vous êtes un homme courageux Gonzague. Vous avez encore de l’amour à leur donner.
Aussitôt la porte toqua. Gonzague sembla apeuré.
- Vous restez avec moi n’est-ce pas ? Demanda-t-il, fébrile.
- Jusqu’à la fin, répondit Lilly de sa voix éthérée.

La famille entra alors, retenant les larmes, se forçant à sourire. Mais, en voyant les pleurs de Gonzague, tous vinrent se blottirent contre lui. L’émotion, aussi vive qu’elle était, restait pleine d’amour et de regret de ce départ. Les derniers instants, la famille la partagea ensemble dans les anecdotes, les rires, l’avenir, tandis que Lilly s’effaçait le plus possible tout en le soulageant lui. Puis fatigué, Gonzague commença à s’assoupir de plus en plus, comme soulagée d’un grand devoir accomplit. Tout le monde l’embrassa, certains préférant sortir, d’autres restant jusqu’au bout. Et c’est dans un sourire ravi que Gonzague Maugrès s’endormie profondément et pour l’éternité dans les bras de Lilly, non sans avoir laissé une dernière pensée pour elle.
Lilly, cachant son trouble, posa une main sur ses yeux fermés, laissant l’autre à sa nuque pour voir l’esprit s’éteindre comme les braises d’un feu chaleureux. Une fois qu’elle ne sentit plus rien, elle leva la tête.
- Il est parti serein.
- Merci… Mademoiselle…, répondit un fils.

Qu’il est étrange de voir une maison si vivante l’espace d’un jour, devenir aussi froide le jour suivant. Comme si son âme partait avec celle son propriétaire. C’est dans cette pensée que Lilly voulu partir discrètement, après avoir salué les membres de la famille. Alfred sortit en même temps qu’elle, allumant une cigarette devant la porte.
- Ça va ? Demanda-t-il.
- Fatiguée, admit-elle en voyant l’aube se dessiner sous leurs yeux. Je pense que je vais être heureuse de retrouver Moneta et son thé revigorant.
- Oui…
Il mordit ses lèvres et la regarda.
- Merci. Pour ce que tu as fait.
- J’ai fait simplement ce qu’on m’avait demandé…, répondit Lilly en le regardant de son œil gris.
- Je… je voulais te demander… Il y a d’autres cas comme cela, qui peuvent se reproduire. Je veux dire, des gens qui se fient bien plus à la magie qu’aux soins médicaux. Je sais que tu es aussi de cette trempe. Si… si nous avions besoin d’une anesthésie magique ou de soins plus… particuliers… est-ce que…
- Oui. Dit-elle simplement en le coupant.
- Oui ?! Heu… d’accord. J’en parlerai au directeur de l’hôpital. Je pense qu’il sera d’accord avec moi ! Hum… Merci…, fit-il véritablement reconnaissant.
La marionnettiste le regarda alors, froide comme la neige.
- Ne te réjouis pas trop vite. Il y a des conditions, des règlements à suivre et à respecter. Et tout se résume à la volonté de la personne qui se laisse manipuler. Et je te préviens: j’agirai toujours selon la pensée du patient. Quoi qu’en dise les médecins !
Il se pétrifia un instant pour la contempler puis hocha maladroitement la tête.
- Ce sera fait… on prendra rendez-vous avec le directeur…
Elle hocha la tête et le salua d’un geste de la main. Elle commença sa marche quand Alfred interpella une dernière fois :
- Lilly-Rose, tu m’en veux ?
La jeune femme aux boucles blondes s’arrêta pour le regarder avec douceur.
- La seule personne à qui j’en veux c’est au temps, si tant est que s’en soit une.
Elle partit sur ses mots, la neige couvrant ses traces. »

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Mer 18 Jan - 1:22

Une autre Histoire du Temps et de la Mort
«  Texte à Rebour du Précédent »

Une ligne traçée à la mesure d'un ruban déroulé. Une hauteur effilé à mettre au talon. Les tissus coulant d'une fluidité rampante, mordillant d'ombre le tabouret et tombant jusqu'au latte de parquet lamé. Une aiguille comme maintient donnait la cadence du travail de tissage des plumes de Moa noir tout son long, d'aile pour un déchu. Gordon s'était faite la bouche épineuse de mordillé les chas. Parfois, sa main décharnée replaçait la stature longiligne du « Diable ». La perfection des plis aspirés par l'inertie était une exigence du couturier. Cet homme hors de temps allongeait sa silhouette éthérée regardant un lointain vague ou battait une pluie glaçé sur les carreaux opaques de l'échoppe.
A voir, il avait une mine hors d'age, sans sexe, des yeux seulement vivant et une expression sans rien y décrire, comme on figerait la chair pour en faire une sculpture. Stanford à genoux dans son tissage méticuleux leva ses yeux vers ce mannequin avec la seule différence qu'il saignait. Avec cette cape monstrueusement lourde et irisé d'un noir bleuté sur les épaules, il lui fit pendant un bref instant l'impression d'une image ésothérique d'Art Religieux. Dans un moment de reflection, aussi contemplative que nourris d'admiration, il cessa tout geste, inspiré par cette figure unique qui l'inspirait à être une égérie. Le martelement des gouttes cachaient le bruit des respirations donnant cette impression de faux silence paisible planant. Les yeux vert de son modèle le sondèrent après un moment d'absence à l'instar de celui du couturier.

- Il y a t-il un problème Stanford ?
- Juste la méprise de m'intriguer sur le secret de votre jeunesse intarrissable.

L'ailé de noir eut un léger rire en mirant à nouveau les vitres martelées. Replaçant d'un geste de doigt une mèche immaculé et reflétant presque argent poli, il vint néanmoins inspiré avec lourdeur sur le propos de cette question.

- Il n'est nul secret à cela Gordon. La nature de ma magie est seule réponse, à user de l'énergie vitale l'on ralentis son temps à vieillir, ça ne m'exorcise en rien de la mort.
- J'aurai aimé.
- Quoi donc mon ami ?
- Que le temps passe au ralentis si souvent, être moins vieux, cesser le tremblement de mes mains, taire les rides s'approfondissant sur mon visage.

Contrairement à tout attente, Azaël descendit de la marche de son tabouret faisant glisser l'épais volume de cette traine sombre à ses épaules l'enveloppant presque totalement à quelque angles de vu, pour se tourner vers cet homme à genoux et se pencher sur lui une main à sa joue pour qu'il le regard droit dans ses prunelles de vert spectre.

- Croyez moi Stanford. Ces lignes sont d'une écriture délectable,  je dirai sans mentir, bien plus belle que la perfection lisse d'une jeunesse lente à mourir.
- Oh je doute que le temps plaise à qui que se soit monsieur Herkassel.
- Puis je vous posez une question ?, la main se détachant doucement du visage parcheminé pour faire glisser cette silhouette ombrée vers une bibliothèque délogeant un livre à l'odeur ancienne et au page jaunis.
- Faites Ser.
- Pourquoi lisez vous une œuvre littéraire, comptant une histoire ? Comme celui que je tiens en main.
- Pour me faire prendre par sa fiction, pour... voir comme les choses se déroulent et comment elle vont finir je suppose.

Azaël munit d'un sourire fin sur son visage intemporel, leva un index alors qu'il se retournait vers le couturier se relevant doucement.

- Précisément. Beaucoup de gens aspirent à se qu'un roman de fiction dure éternellement, qu'il est plusieurs suite conséquente durant sur des années. Mais, toute ses histoires s'éternisant, finisse par perdre leur charme et leur message, il n'est aucune fiction sempiternelle qui n'est pu finir à la hauteur de son début, l'existence s'y limant au fil des pages. Jusqu'a devenir creuse, sans interet, pour finir oubliée dans sa morale pour ne devenir qu'un suivit de récit avec quelque héros pour image esthétisante, mais sans rien à offrir. Un livre se savoure réellement pour sa fin. Comme elle fut ammener, comme elle porta son héritage qui marquera son lecteur, elle nourrit par se qu'elle finira par nous dire le point final donné. Tout comme on respire l'odeur des pages vieillissantes force de les manipulés, prenant du caché avec le temps. La vie. C'est comme un livre d'un auteur hatif ou patient. Vieillir est une chance. Mais nous demeurons que simple synopsis, despote d'une pensée si elle dure éternellement. Elle ne laisse pas la place à l'héritage, au souvenir, à la nostalgie évolutive. Tout stagnerait. Car c'est la fin qui ammène le sens et de savoir à chaque jour que l'on tourne les pages, l'on sait que tout ceci s'inscrit, sur notre visage. Je ne vois pas votre age.

Il s'approcha et dessinna sans pudeur aucune les traces de la vie sur le visage du travailleur.

- Ce visage ne raconte pas la mort, mais des colères par centaine, des éclats de rire, des vécus qui vous dessinne comme être unique. Vos mains devenu tremblantes et calleuses ne sont que l'expression de tout le travail que vous avez donné. Votre histoire que vous avez cousu avec acharnement pour inspiré un jour un plus jeune. Un travailleur des champs aura ses mains lui, racontant tout les efforts qu'il a fait pour donner un avenir brillant à ce qui lui son proche et dont le temps le depasseront, du moins se qu'il espère. Imaginez... si votre temps était éternel, que vous étiez figé dans une période. Vous finiriez par vous lassez de votre art, un esprit comme le votre finirait par ne plus pouvoir nourrir d'idée qui vous ferez vibrer. Les choses deviendraient irrémédiablement fade et à la fin vous auriez accomplis millier de chose mais vous n'en auriez plus même la saveur. On a peur de la fin car c'est la signification que tout s'arrete. Mais a bien y regarder. C'est une chance incroyable que de finir l'histoire. Sinon... rien ne serait achevé. Le monde serait pris d'un malheur néantique, à s'ennuyer. Alors pourquoi la hair et la détester ? C'est magnifique de vieillir et de mourir accomplit, d'avoir tout fait pour que se le soit. Même si le temps est court parfois.

Gordon le regardait, secoué comme une feuille à la merci de la brise. Ses yeux marqué et délavé grand ouvert le regardant. Le couturier sentait étrangement à ses contacts sans gène qui était propre au « Diable », comme se réveillé un autre temps en filigrane dans le fond de ses souvenirs. Alors, qu'il lui tenait ses mains, les regardant avec peine.

- Vous n'aimez pas paraître si jeune n'est ce pas ?
- Non... parce que je n'ai rien à témoigner à ceux qui me suivront, mon visage, ma stature ne sont que des pièces esthétique peut être, mais vide. Il n'y a pas l'expérience ni mon vécu qui me marque. Juste une image, je suis une image plate et c'est se que tout le monde verra chez moi, pour longtemps. Je suis encore le jeune homme de 25 ans dépravé, expérimentant l'existence pour définir la sienne et sa propre harmonie. Aussi vrai que l'age a laissé tout ceci derrière moi, je vois dans leur yeux en me regardant, qu'ils ne peuvent voir les années qui me marque, ni même le changement propre au temps. J'adore vieillir, j'adore voir les gens vivre leur temps. Parce que c'est ça... tout ça qui fait qu'on lit l'autre. Mais lorsque nous ne sommes que de cire intemporelle, un sortilège étrangement lancé pour rester comme une ancre innamovible... alors on ne verra que, là ou s'est posé cette ancre. Un jour j'aurai un enfant et cet enfant n'apprendra rien des sourires que j'ai pu avoir, ni de mes larmes. Mes cheveux ne seront jamais gris, car trop blanc pour être naturel. Comment pourrait il m'appeller père ? Comment pourrait il y voir la sagesse ou la bétise d'une existence menée ? Et à la fin, je serai juste un beau cadavre dans un joli cerceuil et rien qu'a me voir, personne ne saura si j'ai bien vécu.
- Vous... vous avez peur de la mort ?
- Non... la mienne sera douce comparée à celle de nombreux autres qui toute leur vie auront trimé dans l'existence pour écrire cette vie si précieuse, pour tenter de la quitter avec calme. Mais... je ne veux mentir. Il n'y a rien de bien de l'autre coté, si je suis là... si un jour j'ai l'opportunité, je changerai cela, que les méritant puisse être jugé avec descence et non mit au même rang que les renégats. Je pourrai avoir peur de la mort à le savoir... mais je ne suis pas de ceux qui veulent apprendre que la mort est un fardeau. Car ça serait oublier le sens du temps qui passe. La seule chose que nous offre la fin, c'est que la vie continue. Ceci est la régle actuelle. Je préfère mourir comme belle histoire et douce leçon pour certains même s'ils sont peu, que tout cela continue au delà de mes espérances et possibilités que vivre éternellement pour ne pas confronter l'après. L'homme est perfectible grace au temps précisément, je crois en cela. Et si personne ne leur apprend les erreurs et les justes causes... alors qui le fera ? L'éternité est un serpent se dévorant la queue.
- Vous êtes un homme remarquable Azael et du peu qui peuvent le voir, j'ai l'honneur de pouvoir le contempler. Vous laissez beaucoup peut être pas sur votre visage, mais dans vos mots. En toute franchise... vous êtes une créature aussi inspirante pour moi, que j'ai peur de la mort en réalité... j'aimerai être serein... mais...
- Puis je quoi que se soit pour qu'elle vous effraie moins ?
- Une chose Ser ou deux... je ne veux pas souffrir, j'ai mener une vie honnète. Je ne veux pas mourir comme la personne que je n'ai pas été. Wilson ne me laissera pas partir par égoisme si je suis le premier. Si vous êtes encore là... pouvez vous je vous pris m'y mener ? Je n'attend rien de l'après, juste, je ne veux pas souffrir. C'est se qui me fait peur dans la fin... la vie se cloture souvent cruellement et par gratuité régulièrement. Un corps mourrant est très aléatoire sur sa punition, mérité ou non. J'ai trop d'humour pour mourir avec un rictus de douleur. Et enfin... porter mes vetements jusque dans votre tombe, au moins vous aurez pour histoire d'avoir eu le goût de porté du Stanford Gordon. Ca sera mon histoire portée avec élégance.
Je sais... que vous êtes un être particulier Azaël, vous ne pouvez mentir à se sujet... vos yeux vous trahissent et je sais qu'il y a quelque chose que vous pouvez me donner au moment venu et je l'accepte volontiers. Pouvez vous me promettre que l'éternité sera Paix, peut importe sa couleur ?

Azael hocha la tête puis lui sourit doucement. Gordon le nez levé de la hauteur qu'il avait, trouvait qu'il avait quelque chose d'ange de la mort avec cette cape. Ce visage sybilin ni homme, ni femme, ses ailes en volute le cernant. Oui, s'était une belle cape, le couturier en était particulièrement fier, si il le laissait finir. Il sourit marquant ses pattes d'oie puis tapa dans ses mains avec autorité et humour.

- Remettez vous sur se tabouret. Je n'ai pas fini Ser. Je compte rester un certains temps pour voir ma nouvelle collection sur votre dos lors d'un défilé.

Herkassel en hochant la tête dans un rire repris poste, l'homme d'un certains age reprenant son travail consciencieux.

- Vous êtes très convainquant. Vous devriez plus parler aux gens que vous emplir la bouche de leur « Attribut ».

Le couturier se prit un coup de bottinne taquine.

- Vous êtes médisant Stanford.
- Oui mais ça ne fait de mal à personnes. C'est même plutot drole.
- Oui. Ca ne fait de mal à personne.
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Dim 29 Jan - 22:35

- Quantum of Solace -

Quelques verres de trop déjà un taux d'alcoolémie un peu élevé, je chancelais dans ma masure. Comment ça se pouvait que je regrette ne pas m'être plus battu pour ça... mais si je pensais qu'un aussi gros ivrogne en deux mètres échassiers viendraient tambouriné à ma porte pour me donner cette occasion. J'ai ouvert la porte et à peine eu je vu ses cheveux blancs nacré apparaitre sous la capuche, une aversion profonde se réveilla puissante dans mes trippes. Je l'aurai étrangler se batard... et il aurait été foutu d'aimé ça. Ses avants bras étaient profondément griffé. Bordel, c'était reciproque... bande de taré. Pourtant ça me brulait les pommettes pris d'alcool, une forme de jalousie insensé. Il ne me demanda pas pour entrer, il entra dans un bruissement de tissus, dans le mouvement de l'air.

- Vous avez vu Lady Willdreneur aujourd'hui n'est ce pas ?

- Ouai... ouai j'lai vu et c'est quoi qui vous ramène ici Herkassel ? hm ?

Le mage en rodant comme un loup leva deux doigts en l'air me toisait avec méchanceté.

- C'était une erreur ... ça ne se reproduira plus... Monsieur Herkassel...

- De l'avoir baisé ? oh ça c'est une erreur qui vous regarde et que vous n'avez pas eu les couilles de porter. Ca c'est votre problème pas le miens. je sais qu'elle fréquente d'autre homme et contrairement à quelqu'un comme vous je ne l'a juge pas sur ça. Non par deux... c'est deux fois ou vous me la mettez plus bas que terre, à pleurer dans l'ombre et ça...

- Attendez vous allez me faire croire que vous vous moquez royalement que quelqu'un puisse... mais pas qu'on ... quoi ?!!

- Vous ne le comprennez pas car vous ne dissociez pas cette chose dont vous avez profitez, car vous le vouliez vous aussi malgré toute votre foutu morale qui le nie et à pousser surement à le repousser ou avoir qu'un égard effroyable à son encontre. Parce que vous ne pouvez concevoir qu'elle ne peut pas appartenir à un Homme. Son role dépasse votre petit monde étriquer. Avoir la chance de pouvoir la mirer s'éveillé un matin, mérite le sacrifice de lui laissé sa liberté. Le problème c'est qu'elle s'amourache de liberté dans votre genre Solace ! Et vous... vous la jugez... elle n'a rien d'autre... son monde est encadré d'un codex, mais c'est une femme qui vit, qui aime, qui est passionnée et qui se déteste si souvent. Sa liberté elle l'a dans une relation, dans l'idée qu'elle ne peut pas être seule...

- Mais... a quel seconde vous vous êtes frappé le crane Herkassel ?! Elle est malade !

Brutalement, le mage me décocha une violente gifle en pleine figure, qui me fit plier genoux... il avait plus de force qu'escompter se batard.

- Malade ? c'est comme ça que vous appellez les gens qui ne sont pas dans les carcans de vos valeurs ? Je suis malade aussi d'être nécromant je suppose. Elle vous appréciait surement pour ce sens de la justice qu'elle révère et votre intellect. Et vous lui avez craché dessus par peur. Parce que vous avez peur de vos propres vices.

- Bordel de merde vous êtes sérieux ?!!! elle m'a harcelé ! Elle me voulait à un point dément.

- Vous avez réellement refusé ?

- Oui...

- Dis qu'il n'y a rien et n'aura jamais rien que vous n'étiez pas du tout interressé, et d'ailleurs lui avait fait comprendre de geste et de mot ?

- Euhm...

- Merci voilà que la nuit s'éclaire vous le vouliez... et vous avez pris se que vous pouviez pour ensuite surement encore une fois l'insulter. Ne vous avisez plus jamais Hubert de lui faire du mal... plus une fois car contrairement à vous, quand j'aime... je n'abandonne pas, même si s'est dans l'ombre. Mais votre médisance vous empêche de le percevoir. Alors je suis Shaytan ou un malade mental. Croyez moi je joue à tout vos jeux psychologique plus par respect, alors que j'en suis exécré. Mais là vous touchez à une de mes aimées et ça... ça, ça ne fonctionne pas.

- Vous allez faire quoi hm ? me giflez encore ? Allez y et faites en sorte que je le sente cette fois ci !

- Vous savez quoi... battons nous.

- Pardon ?

- Je ne pourrai pas utilisé le fait que vous m'avez battu contre vous car j'en aurai fait tout autant... et inversement. Battons nous.

- Mais je vais vous ruinez ! Vous avez vu votre physique.

- Si ça peut vous foutre du plomb à l'ancienne dans le crane, je suis pret à me prendre une branlée... histoire que ça ne se reproduise plus jamais. Je me bat pour l'honneur d'une femme que j'adore, alors maintenent vous avez quoi comme grand mot à me retorquer. Ah oui je crois oublier vous ne rétorquez rien. Car vous savez avoir tort. Vous avez tort Sol...

Sans que je puisse le réaliser je lui décochais une droite violente dans les dents... je n'avais pas vraiment attendu le coup d'envoi... et c'est comme ça que malgré moi... je me suis retrouvé à me battre avec Azael Herkassel.
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