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 Témoignage d'une vie à être H.Solace

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Y a Des Marqueurs
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Y a Des Marqueurs

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Dim 27 Mar - 4:38

Témoignage d'une vie à être H.Solace Solace10


La brise était légère d'été, elle rentrait tôt comme bien souvent. Ca faisait un certains temps qu'elle avait ammenagé son emploi du temps et elle qui était nocturne, avait fini par trouvé de la savoir dans les fraiches matinée et après midi ou elle rentrait. Elle tenait à la main son jeune fils qu'elle avait encore une fois du emmener avec elle au travail. Les couples qu'elles voyaient se lassait de l'entendre tout déranger dans son bureau attenant à sa salle d'écoute ou elle recevait les patients. Petra le savait elle devrait trouvé vite une tutrice mais se n'était pas avec un emploi aussi fluctuant que la psychologie et celui de son mari qu'elle pourrait se le permettre. Les impots étaient déjà assez lourd. Peut importe, elle perdait une clientèle... de plus en plus et ça n'aidait pas à pouvoir changer celà. Joshua était turbulent comme son père en dehors des heures de services, elle le reconnaissait à chaque fois dans sa tignasse folle rouquine, qu'elle avait tant aimé fut un temps et son comportement insolent. Petra eut aimé son mari fut un moment immensément, il était beau, original, avec cet air de mauvais garçon sans l'être, mais il avait une amante qu'elle ne pouvait plus séparer de lui. Cette femme de 26 ans se lassait désormais d'une relation ou elle était mère de deux garçons qui ne lui apportait plus rien, dont l'un était peut etre pire que l'autre.  Joshua avec 4 ans et balançait avec violence sa main nette et manucurée qui ensserrait la sienne. Elle se rendait compte que jour après jour qu'elle conseillait homme et femme pour trouver de la stabilité et finalement n'avait pas trouvé le siens dans son propre foyer. Petra fit tomber son sac en cherchant les clefs de cette minuscule maison loger dans les murailles au plafond trop bas. Aussi ridicule que ça l'était, elle en pleura sanglota une main sur le visage. Combien de temps cette angoisse permanente l'avait prise ? Tout regard sur elle la dérangeait, toute silhouette en fond de ruelle sombre la terrorisait. Son fils profita simplement du moment pour allé courir sur les dallages chassé les pigeons s'envolant. La contenance n'arrivait plus, car elle vivait dans la peur permanente et sans le soutien qu'elle aurait attendu, c'est à quatre patte qu'elle récupéra ses affaires roulante sur le sol maquillage et clef,  pour ouvrir la porte, le fard charbon coulant sur ses joues.

- Joshua, grésilla t-elle. Viens s'il te plait...

Elle tendait la main dans le vide espérant qu'il cesse sa crise à hurler sur les oiseaux et au ciel en agitant les bras. Il était hyperactif à son propre diagnostique d'étude des comportements. Il ne venait pas ... rien de surprenant. Petra reniffla, pinça les lèvres et cria à voix forte après balayé l'encre sur ses pommettes.

- JOSHUA viens tout de suite ! Maman n'a pas la patience ! Je vais rentrer et te laisser dehors si tu ne viens pas !

L'enfant s'en moquait trop loin dans l'imaginaire pour pensé à sa mère en retrait qui inspirait " Bien bien... Je rentre ! ", elle rentra faisant claquer la porte et se ruait déposé ses affaires sur la petite table presque pas hystérie, faisant glisser la bourse de soie dessus et retombante à terre. Un cri, un instant à s'en arracher les cheveux... puis elle s'assit ouvrant les chemises de dossier psychologique avec nerf, sortant les cas du lendemain pour les traités au mieux, omnubilé dans sa colère. Son fils ne rentra pas seule, se fut l'amie et voisine de pallier de madame Solace qui rentra la porte laissé ouverte avec le petit garçon épuisé tenu par la main.

- Petra ? tu es là ? Que faisait Joshua dehors ?

La jeune femme au cheveux chatain tourna son visage vers Jilly qui tenait son insupportable fils et réalisa.

- Oh par les six ou était il ?
- Devant... mais il était tout seul, c'est dangereux de laissé un enfant si jeune jouer dehors sans surveillance... bon sang Petra que t'arrive t-il ? Tu es en train de perdre pied...

La psychologue hocha la tête fondant à nouveau en larme mains cachant l'expression de son malètre en se moment.

- Je sais... , couina t-elle. Je deviens une atroce mère... une atroce épouse... je sais plus quoi faire Jilly... pitié ne me juge pas...

Après avoir mener le jeune garçon sur un fauteuil ou il s'endormit sans attendre, son amie vint la rejoindre sur une chaise de bois branlant trouvé au puce et vint la regarder et lui prendre les mains balayant les dossiers du travails.

- Qu'est ce qui ne va pas Petra ?, fit elle avec douceur.
- C'est Hub'... il... j'ai fais une connerie... il est jamais là... et j'arrive plus à travailler et il ne me soutiens même plus... je perds  des clients et Josh est insupportable ...
- Une connerie ?
- Oui... , hochant la tête. J'ai rencontré un homme hier, un inspecteur du batiment, il vérifiait la validité de mes locaux et... je ne sais pas se qu'il m'a pris... mais... je me sentais si seule, si mal...

Jilly inspirait.

- Je vois... tu comptes en parler à Hubert ?
- Tu penses qu'il m'écouterait ? Voyons ça fait longtemps que les morts et les psychopathes lui parlent plus... j'en peux plus... je...
- Tu as encore envie de le quitter ?
- Non ... non... il est si... , Petra inspirait lourdement. Il fait ça pour le promontoire pour notre sécurité à tous... et puis... a chaque fois que je le regarde ... je me dis que ça peut s'arranger que je peux retrouver mon Hub', qu'il ne m'oublie pas. Qu'il est toujours là cet étudiant en psychologie, un peu fou... mais...
- Regarde ou tu en es ma chérie... tu... il ne te fait plus du bien... tu devrais lui parler.
- Il a changer. Il a changer...

Le jour coula et elle resta là, assise, délaissé au fil des heures par l'amitié, elle pensa tout du long. La nuit tombait, son verre de Schnaps lui faisant oublier de préparer le repas. Se furent les clefs dans la serrure tentant d'ouvrir une porte déjà ouvrir qui la sortir de sa torpeur... minuit... affichait les aiguilles sur le cadran mécanique, josh dormait toujours. Son mari en uniforme d'orange et d'argent pénétra le salon avec un sourire, une bouteille de vin à la main, sa crète lisse rejetté en arrière rousse comme celà faisait des mois qu'il la portait comme celà. Petra l'avisa d'un regard mort, ne répondant pas à sa bonne humeur.

- Hey chérie ! Ca a été ta journée ?
- Hub'... pourquoi tu changes pas cette coupe de cheveux... on dirait un brigand... j'aime pas que notre fils voit son père avec une dégaine de mauvais garçon... tu étais ou encore ?

Hubert Solace vint embrassé sa femme dans le cou avec cette chaleur désireuse qu'il lui servait toujours trop tard le soir.

- J'étais au bureau, j'avais un profil et des pistes à vérifier... et pour mon coté mauvais garçon je croyais que t'aimais ça ?

Il déposa la bouteille au milieu des papiers ayant stagner jusque là et vint doucement tirer une chaise et s'asseoir en face d'elle l'attirant à lui. Petra eut une réaction violente le repoussant brutalement.

- Tu es père et tu es marié... il faut arreter de te comporter comme ça...
- Tu sais très bien que c'est important pour moi cette coupe... c'est... un souvenir. Je t'en es parlé qu'est ce qu'il t'arrive... j'ai une super nouvelle à t'annoncer.
- Tu m'en a parlé ? Non je crois pas ça fait un moment que tu me parles plus de toi... il n'y en a que pour ton boulot... tes criminels.
- Hey Petra... détend toi... c'est mon job, je suis Profiler, je pourchasse des types dangereusement malade pour pouvoir que notre fils grandisse dans un monde plus sur.
- En attendant, il grandit sans toi. C'est quand que tu parleras de tes horaires à tes supérieurs hm ? et on parle de la lettre que tu as reçu de se malade ? On en parle ? Moi j'appelle pas ça un monde plus sur.
- Et bien justement écoute moi un peu au lieu de t'emballer comme ça Petra, merde je suis claqué, la bouffe n'est pas faite, je dis rien et tu m'agresses comme ça... laisse moi au moins te parler de la bonne nouvelle.
- Vas y je t'écoute.
- J'ai été promu commisaire; il écarta les bras comme pour la prendre dans ses bras lorsqu'elle exploserait de joie... mais ce ne fut pas le cas.
- Pourquoi toi ? tu es trop jeune.
- En attendant, j'ai la formation de terrain adéquat, j'ai été d'un role majeur dans mes dix précédentes affaires... ils manquaient de Commissaire et... tu pourrais au moins être heureuse pour moi !, commençant à s'emporter.
- Tu bosseras juste plus encore avec tes séraphins... et Pelini ?
- Quoi Pelini ? Elle passe sous ma direction... bon sang on en a déjà parler c'est juste une collègue. Mais merde ! Tu me fais quoi là ?
- Je te fais que j'en peux plus de cette vie... d'avoir la trouille de tout les criminels que tu pourchasses... de sacrifier ma carrière pour m'occuper de notre fils car tu n'es jamais là !
- Mais bordel ! Tu t'occupes de couple qui arrive plus à coucher ensemble c'est pas non plus une Carrière !
- PARDON ?! c'est mon job à moi ! Mais visiblement ça vaut pas grand chose quand monsieur sauve le monde. Et tu sais quoi je sais même pas encore comme j'accepte que tu me baises tout les soirs en sachant que c'est à peine si on se parle ! Tu es un étranger... toujours le nez dans tes croquis sordides que tu ne ranges même pas assez bien pour préservé Josh, noooon, parce que le monde peut etre n'attendais que toi Hubert ? Ben je vais te dire une chose... on devrait peut etre finir dans mon bureau pour qu'on est une véritable conversation toi et moi.
- Tu inventes des problèmes sortis de nulle part Pétra. Je t'aime, je suis là autant que je peux oui, mon travail est exigeant mais tout va bien... personne ne nous a agressé et on dirait que je vais voir ailleurs. Non. Je fais se pourquoi j'ai étudié... tu étais là il me semble ça fait 8 ans toi et moi...
- Ben moi je vais voir ailleurs..., lacha t-elle finalement laissant planer un silence les yeux vert d'hubert s'ouvrant brutalement.
- Quoi quoi quoi ? répète un peu ça pour voir ?
- Tu n'étais pas là... tu n'es plus là... tu t'attendais à quoi ?
- Que tu te comportes pas comme une pute !, il se releva violement poussant Petra qui bascula de sa chaise dans un cri.
- Hubert ... arrete tu me fais peur...
- JE TE FAIS PEUR MOI ?! MAIS TU TE REND COMPTE DE SE QUE TU ME BALANCES LA ?!
- Je t'en pris... ne me..., il l'attrapait avec force par le poignet.
- Quoi que je te cogne pas ? C'était qui le fils de pute qui a osé alors que tu es marié putain... et t'ose me faire la morale... mais t'es une pure salope... tu mériterais que je te cogne Pétra largement. Merde ! Moi je me tue à la tache ! je sue sang et eau pour sauver cette ville de malade en puissance et toi ? TOI ! tu écartes les cuisses avec n'importe quel salopard que tu trouves ? Allez donne moi ton avis psychologique sur la question Pétra ? T'a jouis au moins hein ? Quitte à pas perdre ton temps ?!, il finit par la giffler et reculait ébourrifant sa crète rougeoyante.  MERDE ! MERDE !

Pétra était là par terre pleurant la main sur la joue, leur fils réveillé ne bougeant pas dans le fauteuil.

- je veux te quitter Hub... j'en peux plus de cette vie...
- C'est ça t'a raison casse toi, le séraphin rejoignait la porte et l'ouvrait en grand. Vas y que je te vois plus...
- Je partirai pas sans Joshua...
- Ah ouai tu crois ?! Joshua ici il a un toit et un père qui fait une chose honnete et noble de sa vie, pas se faire ramoner par toute les merdes du quartier !
- Je ne partirai pas sa j... aaah; son mari l'attrapa par les cheveux la trainant dehors l'y jetant avec force, la faisant rouler sur les pavets frais de la nuit en pleurant.
- Que je te revois pas ... que je te revois pas salope.

La porte se claqua, le séraphin balayait les dossiers sur la table en hurlant de rage. Son fils fut calme et simula le sommeil par pur instinct de survie primaire. Plusieurs meuble cederont sous ses poings rageurs dans des grincements lourd. Puis la voix naive de l'enfant résonna.

- Papa ?

Hubert s'arreta dans sa rage les mains dans les cheveux et les larmes aux yeux, il le rejoint s'asseyant sur le bord de l'accoudoir et lui caressant les cheveux.

- Oui fiston ?
- Vous vous êtes faché avec maman ?
- Oui... papa est faché contre maman oui; entre ses dents.
- elle va revenir ?
- T'en fais pas bonhomme je suis là tout va bien allé.

Petra au dehors savait que tout venait de basculer dans sa vie et elle en mouillait son visage. Car son mari avait une amante, son travail... et il avait aimé cent psychotique meurtrier bien plus... qu'il ne l'a jamais aimé.


Dernière édition par Admin le Mer 19 Oct - 10:49, édité 3 fois
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Mer 19 Oct - 8:52

Le Fléau



Parlons dans mes mots et non celui d'un autre. C'est dérisoire, si microscopique dans la misère humaine que je cotois chaque jour et pourtant ça me flingue, ça détruit les perspectives, un fléau simple. C'est le manque. Un manque inconsidéré comme inexpecté, d'un seul être. Ce n'est surement pas pour toujours, peut-être qu'un jour j'oublierai.

Mais la réalité, la réelle chose qui se produit n'est pas celle là. L'oubli je l'ai déjà fréquenter de prêt, je l'ai noué avec une certaine rancoeur et des matins sans heurt. C'est superbe de se reveiller sans ne penser à rien d'autre qu'a sa liberté immédiate et n'avoir qu'a se soucier de son café. Il est une rage incommensurable à vouloir poursuivre, on s'occupe, on bosse, on fait tout pour se relancer dans la dance. C'est appréciable, plus que tout, ce coup de fouet lancé parce que d'un coup on brise si brutalement des liens. Ce lien ont me la briser en me disant qu'un jour «ce n'était plus possible ». Elle m'a regardé droit dans les yeux et voilà se qu'elle m'aura dit.

C'est thérapeutique d'en parler, alors je ne vais pas m'en privé. Parce que là je cours pour tout détruire de ma vie... pour perdre pied.

Je sais que je peux vivre sans. Le problème vient de quelque chose de plus fin, c'est que malgré moi j'avais tout jeter aux oubliettes, avait pris une large pelle et tout enterrer cent fois. Je me suis même sermonner, qu'une chose pareille ne m'arriverait plus. Les chemins s'éloignant pour tant de raison non voulue, désolant et au final si loin que tout se brise. Mais voilà, plus que jamais j'ai un problème. Il y a ton fantome dans ma tête, revenu l'air de rien. Comme un meuble qu'on pensait trop vieux pour le garder et pourtant sans jamais avoir réussi à totalement le mettre aux ordures. Parce que c'est long, la vie, quand quelqu'un nous manque comme tu me manques. C'est pas normal ni même logique, j'ai pas envie que ça devienne que ça, ma vie, penser au fait que je t'ai perdu trop loin pour te rattraper.

Pétra... on a jamais arreter de s'aimer, peut être que ce auquel tu pensais était un souvenir d'un autre avant moi qui t'aura pourchasser durant neuf années. Que tu as même les remords de se que tu as pu m'infliger. Mais maintenent que l'on ne l'a plus que reste t-il sauf deux ames condamnés ? J'aimerai un didacticiel pour te lacher, un tutoriel pour juste sourire en entendant ton nom sans que ça me comble de joie rien qu'a ta mention. Parce que je vis par le simple fait de ton prénom. Parce que quelque part je te cherche dans un labyrinthe que je ne voulais pas créer. Ta présence, savoir ta respiration dans l'existence me tue car j'aimerai tellement l'entendre encore à mes cotés.

Tout était parfait dans mon esprit, quand rien ne l'était réellement. Tu me comprenais, on avait se pied d'égalité, tu savais au fond qui j'étais, se type un peu cassé qui aimerait sauver le monde encore et encore en faisant que l'écouter. Tu savais que je me ferai avaler par mes démons, mais tu restais encore et encore, en te demandant quand est ce que je serai digne d'autant de patience. A vrai dire, je ne suis pas sur de le mérité, mais une personne belle comme toi, il doit y en avoir d'autre, mais pour mes yeux d'abruti ? Tu étais la plus belle. Non pardon, Tu es.

Je rencontre d'autre femme, je me prend à les désirer, même parfois à  juste les trouver fantastique. Sauf que derrière chacune de leur image, tu hantes comme une louve qui guette sa proie. Parce que je ne peux expliquer tout les remerciements que je te dois, d'avoir fait de moi un homme meilleur et ceci sans lésiner sur les termes. Mais comment oublier ? Comment oublier qu'a chaque question de mes sœurs sur le fait que je me voyais veillir à tes cotés je répondais naïvement oui. Car je serai rester des siècles à juste pouvoir te voir dormir le matin, moi assis sur ma chaise de pénitence, un dossier de travail dans les mains. C'est pas facile, nous deux, parce qu'au final, deux psychologues pour se soigner. Sauf qu'on ne pouvait pas se guérir, on était juste là pour marcher à deux. Nous n'avions pas de rêve particulier à accomplir, sauf de se damner d'avoir eu la chance de respirer à deux. Sauf qu'on s'est mis à penser à des rêves qui n'avaient lieu d'être. Désormais, maintenent c'est de toi dont je rêve. Je m'endors, pour te chercher, je m'endors et je te retrouve. Pendant le temps d'une nuit, je retrouve la paix. Mais je me réveille et reste que le silence de mon logement. Pourtant, je ne suis jamais vraiment seul, je pourrai être accompagné, mais je sais qu'en me réveillant, je n'entendrais que le vague ronronnement des étals mis en place sur le marché.

Je n'arrive plus à être totalement moi, juste l'ombre de l'amant, l'aimant que j'ai pu être. Car comment oublier que finalement c'était beau toi et moi ? Comment oublier que ça va être long le temps sans toi ? C'est mauvais, mon amour, si je puis t'appeller une dernière fois ainsi, car dans mon esprit ça sera pourtant toujours ainsi. A la vie à la mort, dans le malheur comme la joie. Alors, si tu es une ame rattaché à moi, s'il te plait hante d'autre cimetière ou si tu pleures sur ma tombe, dis moi une prière que je sache enfin se que c'est, comment enterrer ? Ou comment faire sortir les morts... de l'endroit ou ils furent inhumé.
 

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