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 Les McAllans

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Y a Des Marqueurs
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Y a Des Marqueurs

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Jeu 22 Jan - 18:02

CHRONIQUES DES MCALLANS
"Nouveau regard sur la Famille McAllan"

Les McAllans Parental-advisory-i7547

"Les textes sur les McAllans ne sont peut être pas extrèmement explicite dans l'écrit, ni vulgaire, néanmoins certains sujets peuvent heurter la sensibilité de certains, je prie de bien en prendre conscience avant votre lecture"

PREVENTION ACTUELLEMENT LE CONTENU DE CETTE PAGE EST DE 12 PAGES WORLD D'ECRIT, PREPAREZ VOUS A UNE LECTURE CONSEQUENTE.

AXE I

CHAPITRE 1

--- Le sourire de Mona ---



Texte du Chapitre ( Explicit Content ):

CHAPITRE 2

--- Si les Dieux Nous Aiment ---


C'était sur les cimes des toits que deux silhouettes se découpaient. Ils étaient allongé de tout leur long sur les tuiles rougeoyante sous se soleil d'été. La houle des nuages se déformait sur la lentille de leur yeux dans un ballet de ces lumières mouvantes au rythme des halos dégager par les formes cotonneuses. John venait d'avoir 5 ans et il redessinnait les monstres du ciel de son doigt. C'était un de ces moments de calme avant la tempête. Ceux dont le souffle du temps se retient de rugir, laissant juste la brise d'une parfaite journée au tons mordoré et bleu azuré envelloppant tout ceux qui veulent bien s'arreter pour en apprécier la poésie. Ces journées sans rien d'exceptionnel, si simple, dont on se souvient toujours, car la musique du vent et la lumière était bien trop belle, et parfois si rare. Jack les doigts sous sa nuque soupirait les yeux absorber dans la voute astrale au dessus de lui, pouvant sentir le sol bouger sous ses mains, tout comme son corps, l'unisson d'un tout. C'était dans ces journées qu'il pouvait croire que quelque part là bas quelques choses pouvaient les aimé. Son petit frère riait sur les tuiles en apercevant quelque centaures tomber à la renverse dans les contours pale d'un nuage sur se fond d'un bleu éclatant et uniforme. Jack se prit même à rire en le voyant à son tour. C'était l'imagination des débuts. Si l'on apprenait au enfant que c'était là la plus belle chose de leur vie entière, que demain ils seront grands et que le monde n'aura plus ses mêmes couleurs d'or et s'evertura à se délavé.
- Tu as vu ! fit John montrant une nouvelle image celeste.

Son grand frère ne voyait rien, il sentait ses yeux trop vieux étrangement pour voir. Il s'était mis à pensé à bien mille autre chose alors qu'il inspirait cet air pur et sans poid de plomb de tout les précédents. Alors, qu'il ne répondit pas John se redressait et regardait le jeune brun au cheveux fou à ces cotés la mine inquiète quand à son mutisme.
- Tu crois aux dieux ? demanda Jack sans l'annoncé alors qu'il tentait d'écarter les rideaux divins pour y entrapercevoir une lumière plus éclatante que celle de ce jour.

Le plus jeune des deux n'eut pas longtemps à réfléchir et il ignora la saison pour mirer fermement les tuiles.

- Non. Si ils existaient, maman serait là avec nous. Mais elle est plus là. Les dieux n'existent pas. Ou alors, ils sont méchants. Ou qu'il ne m'aime pas. Tu penses que j'ai fais une bétise ?

Jack regardait son frère et lui sourit les fossettes dans ses joues déjà naissante. Les yeux presque bleu d'avoir avalé le ciel ne prévinrent pas John de la petite tape que lui donna son frère pour raconter de telle inepties. Jack adorait recadré son frère, il aimait se role de père à un age bien trop précoce. C'était un jeu de grand comme bien d'autre auquel il finissait par prendre un réel plaisir à jouer. Mais, John dans une mine boudeuse releva les yeux pour gober l'azur.
- Non je suis un gentil garçon... hein ? Et toi aussi, ça veut dire qu'ils existent pas. C'est des histoires pour faire manger de la soupe aux autres enfants ! fit John se tapotant l'arrete du nez. Mais, moi je suis pas bête j'ai compris que c'était pas vrai !

- Tu es plus malin que moi Johnny ! Mais ouai... ça doit être des histoires...

La réplique de Jack prit un air lointain, abstrait, mourrant dans la fin de phrase. Comment croire à ces choses quand les jours précédents tout était si gris ? Ils se souvenaient l'un comme l'autre qu'il pleuvait se jour là. John courait dans la ruelle mouillé et jetait avec frénésie la boue d'une flaque sur une pauvre chien accroché à la laisse au barreau noir des barrières de Salma. Son ainé l'avait pourchasser pour qu'il ne se perde ou fasse une connerie irréversible. Leur mère ne s'était pas réveillé de sous le porche ou ils l'avaient laissé. Le chien couinait par moment se recroquevillant, tremblant de froid, mugissant; parfois ils se prenaient de rebellion en tirant sur sa laisse et aboyant d'un son lourd et grave. Le cadet avait depuis longtemps compris les rôles des laisses et le peu de liberté quelles donnaient, il en connaissait les limites. C'était pour celà que Jack le retrouvait à pas un pied de la gueule du gros canidé. Son petit frêre la mine dans l'haleine de l'animal l'imitait avec ironie, se contrefichant bien de l'humiliation qu'il imposait à la bête. Les enfants étaient naturellement cruel, d'une perversion innée. Jack ne dérogea pas à la régle et allé savoir si c'était l'inquiétude pour John qui le fit frapper dans le flanc de l'animal pour qu'il s'éloigne du visage du petit de 4-5 ans, ou par cette cruauté bête et méchante. Le chien grognait et reculait visiblement souffrant du coup non maitrisé de petit bonhomme. Comme un bon grand-frère, il aggripa le bras de John l'éloignant du potenciel danger. Le plus jeune était barbouillé de pied en cape de boue, à force de se rouler sur les pavets.
- Arrete maman va devoir te laver ! fit jack agaçé.

- Maman me trouvera beau même tout sale ! rétorqua le plus petit.

- Maman, te trouvera juste sale.

L'orage grondait et la bruine ambiante ne suffirait pas à lavé le crado, avant que leur mère ne se réveille. Une zébrure fendit le ciel éclatant d'une lumière électrique et pas même une seconde le rugisement du tonerre vombrit jusque dans la ruelle. Ce n'était pas passé loin. John eut un sursaut qu'il ne put caché s'accrochant de sa carcasse boueuse au bras de son frère. L'ainé huma l'air, secouant la tête au cheveux bouclés d'humidité.
- On va rentrer.

Rentrer ? Qu'est ce que celà signifiait quand le toit était le dessous d'un pont. Du moins ce soir, c'était ça. Jack tranait la tumeur de petit frère qui s'était greffé à son bras parmis les ruelles mouillés... et ce fut là que la pluie s'abbattit sur le promontoire. Cette eau tiède de grosse pluie d'été approchante, était lourde et chargé d'air étouffant. John disait que c'était comme des coups de poing de nain. En quelque sorte ça s'en rapprochait. Le rideau tomba grisatre sur la ville et se fut comme une traversé de jungle pour retrouver le dessous du pont. La crasse s'était transformé en boue coagulant sur les vetements de pauvre qualité de John. Les deux mômes avait la mine ruisselante et les cheveux noir comme une tache d'encre collé au front. Mona était là assise, la main sur sa bouteille et les yeux clos. Elle n'avait jamais été bien épaisse, mais le temps avait continuer ses ravages, son visage était mortuaire depuis bien des mois. Il semblait que un mal rongeait sa peau se rougissaient par moment comme des imapct dans la peau, le blanc de ses yeux avaient rougis et jamais Jack et John n'eurent vu leur mère accumulé les symptomes de grippes et de fatigue constante comme elle le faisait ses derniers temps. Tout deux s'inquiétaient pour elle. Mais il est un age ou votre mère est immortelle. Ils s'ébrouèrent sous le proche pour éviter d'attraper froid. Jack fit signe à son petit frère de ne pas faire de bruit et de laisser la douce mona usé et érinté, dormir encore un peu. Le comble de la délicatesse vint quand le cadet déplia une des couvertures de leur paquet de voyage pour enroulé la frèle femme dedans. Les deux frères contemplèrent la pluie un long moment en silence, tentant mutuellement de se faire craquer par un éclat de rire ou une réprimande, en se chatouillant tour à tour ou se donnant des coups de coudes. Jack, était plus grand et plus fort que son frère et la nuance n'échappait pas à John.
- Arrete tu triiiiiiiches ! MAMAN ! fit par crier John.

- Ta perdu ! chhht la réveille pas, elle va pas être contente...

Jack mit la main sur la bouche de son frère en riant et scrutant Mona toujours affalé dans son coin, n'ayant pas remuer d'un pouce à l'appel du jeune garçon. John remuait dans les bras de son frère comme un poisson hors de l'eau.

- Ta de la chance tu ne l'as pas réveillé... réprimanda Jack.

C'était bien une chance pour le plus jeune des McAllans, si elle s'était réveillé un jour. La Syphillis comme l'avait appellé les adultes, lui avait dévoré le coeur, et ce dernier fatigué, c'était tut. De ces jours gris, l'on s'en souvient autant que de ses jours radieux. Alors, si les dieux existent? Aucun des McAllans ne pouvait y croire, car personne ne nous aime là haut. Les humains leur semblaient si seul, à leur image. Finalement, c'est peut être comme ça que John avait fini par se dire qu'il n'aurait jamais du embetter le chien.


Le souvenir du chien et de sa mère revenait lors des distributions de nourriture au démuni, qui faisait que John filait droit la mine basse. Ca leur était nécessaire pour tenir les jours. Jack tenait par la main son petit frère et patientait dans la queue dense et opaque de monde, patiente de mérité son droit à continuer à pouvoir subsister un jour de plus. Le malaise était latent pour les deux jeunes garçons, en même temps quoi de plus normal, ils risquaient à chaque rationnement d'être trainer de force par les religieux dans un quelconque orphelinat austère. L'ainé ne si résolvait pas. Jamais, il ne mettrait son frère sous la tutelle de principe douteux et en lequel il ne pouvait avec le temps plus croire, et possiblement se retrouvé séparé dans deux familles aléatoire, ne prémettant pas forcément douceur et compassion. Il s'était investit d'une seule régle, ne devoir les choses que par lui même, l'on en demeure bien plus prospère. John regardait ses pieds, il avait toujours cette facheuse tendance à croire que si il ne sondait le miroir de l'ame d'autrui aucun mal ne lui serait fait. C'était une idée toute bête qu'il s'était dit qu'a trop braver l'inconnu, on en était puni sévèrement. Bien qu'il se targuait à ne vouloir envisagé les divinités dans se ciel bien bleu, il redoutait néanmoins les méfaits du Karma et de ses douloureuses leçon d'existence. Jack haissait au plus haut point voir son frère ainsi, dans un faiblesse de petit garçon dans un monde trop grand. Ils avançaient pas à pas sentant toute ses odeurs de sueurs et de sorte de nécrose qui embaumait la masse de monde. Les guenilles sont étrangement terne, formant cette marée noire de pollution sociale, face au flamboyant bleu et doré des bures des prètres de Dwayna. La grand frère de john lui secoua un peu l'épaule et le jeune garçon se laissa balloter.
- Johnny ! Leve les yeux... ta pas à avoir honte de notre situation, finit par décoché amer le jeune Jack.

- J'ai pas honte..., chouina doucement le plus jeune.

- Alors pourquoi tu regardes par terre ?

- Pour pas croiser le regard de la mort...

Jack écarquilla un peu les yeux à cette élocution. Un flash lui survint accompagné d'un sérieux gout amer en bouche et remontant dans son nez. Etais ce normal qu'un gosse comme John puisse tenir  se genre de propos ? A l'évidence, non. Mais c'était ainsi, depuis la mort de leur mère John était devenu plus sombre, il jouait moins et faisait attention à tout, il ne voulait brusquer le destin. Et même si Jack ne connaissait pas grand chose aux autres enfants bien heureux qu'il évitait comme la peste noire, il savait que là n'était pas un comportement usuel de môme. C'était du haut de son jeune age que le krytien à la tête brune se mettait à penser de ses reflexions execrable de parent. Puis, se remettant du choc il finit par de nouveaux prendre parole.
- Tu connais quoi à la mort ? Tu comprends se que c'est au moins ?, continua assez acide et frustré Jack, de voir son petit frère dans cet état.

- Ben tu fermes les yeux et tu meurts. Tu te réveilles pas. Et c'est nul. Et je veux pas qu'un truc nul m'arrive, ni à toi jack.

- La mort aime les faibles comme maman.

- Comment tu peux dire ça ?!! s'offusqua John redressant les yeux vers son frère révolté.

- Tu vois je te préfère bien mieux comme ça, car je sais que quoi qu'il arrive tu seras assez en colère pour t'en sortir, lui répondit posément son ainé.

John se plongea dans le mutisme sondant d'un regard haineux son grand frère,et finit même par lui lacher la main. Son grand frère remarqua la rebellion tacite du jeune garçon et sourit doucement, car Jack le savait, il n'y avait qu'avec fierté et hargne qu'on s'en sort dans se monde tristement cruel. Oui, le plus jeune de Mcallan désormais se tenait avec fierté lorgnant ses adultes miséreux autour de lui sans crainte aucune de la main froide des faucheurs en cet instant. La colère poussait à la survie, et Jack n'en manquait pas... de cette colère. Ils finirent par arrivé devant se comptoir charger de caisse et de nourriture. La pretresse posé derrière se redressa légèrement sur sa chaise pour mirer les deux petits bonhommes qui lui faisait face. Soudain son expression se mua, non en chaleureux acceuil mais en pitié. La femme allait pour énoncer quelque mots que john la coupa.
- Du pain, de l'eau et une boite de haricot. Merci.

La pretresse continuait à les regarder sans agir puis finit par doucement leur intimer "ou sont vos parents ?". Se penchant exagérement sur le comptoir illustrant un merveilleux decolleté que Jack regarda un instant, trouvant celà assez séduisant à regarder.
- Du pain, de l'eau et une boite de haricot. Merci , répéta mécaniquement John les dents serrés toujours passiblement énervé des propos qu'avait eu Jack.

La pretresse lorgna le jeune garçon et fit ondulé sa crinière feu en détournant son visage vers ses collègues les hélant. Un vieil homme à la mine joviale, rouge et rondouillarde vint se présenter au deux garçons et plia son corps en accordéon pour s'agenouillé péniblement, les regardant avec douceur.
- Vous n'avez plus de parents ? fit mielleuse l'homme en tentant de prendre l'épaule de John, qui brutalement suréagi en lui tapant la main.

- SI ! j'ai une maman et un frère, j'ai plus de famille que toi ! J'veux mon pain mon eau et ma boite de haricot ! J'ai faim !

Jack ne put contenir sa surprise. Le gros bonhomme rit avec tendresse d'un "oh oh oh " qui vut de l'extérieur était associable à du mépris.
- Ecoute garçon je sais que tu ments... et nous pouvons vous aidez la déesse n'ignore jamais les enfants dans la détresse.

- C'EST TOI LE MENTEUR, beugla John alros qu'il coupait Jack qui allait rétorquer quelques mots. VOUS ETES TOUS DES MENTEURS, J'VOUS AIME PAS ET VOUS ETES MOCHES ET VOS DIEUX AUSSI !

Le ventru à la mine d'outre à vignasse fronça les sourcils et aggripa le bras de jack comme pour lui donné une correction pour se blasphème. Ce que Jack vit dépassa toute son imagination, ainsi que celle des pretres et de la foule présente. John dans un élan de colère brutale d'enfant capricieux beugla un drole de " NON TU VAS PAS ME FAIRE MOURIR ! " et mordit à pleine dent la main approchante du prètre. Le petit garçon s'enfuit en détalant, en éclatant en sanglot par la même occasion. Jack dans un instinct de survie animal se jeta sur l'étal de nourriture et attrapa les quelques conserves à porté de main et fila comme un brigand à la pourchasse de son frère. Le cadet filait les mains sur les yeux à travers les rues du promontoire se moquant de la destination, Jack plus grand arrivait à le suivre, sur ses talons. Au final, le petit bonhomme essoufflé finit par s'arreter et se retourna vers son frère lui ruant dessus avant de le prendre dans ses bras et sangloter comme le tout jeune enfant qu'il était. Son ainé les bras chargé de quelques conserves se laissa serrer.
- P-pour... pourquoi tout est méchant ?, sanglota John.

- Car, frangin... ils sont jaloux, tu est plus intelligent et plus courageux qu'eux.

Les deux frères éclatèrent de rire dans cette ruelle, se moquant bien du monde, tant qu'il serait deux McAllans, ils n'y avaient personnes pour leur octroyé le droit de faire se qu'il aspirait de faire. Ils s'en sortiraient à deux. Le monde est cruel, mais si il était un doigt d'honneur s'était le leur, à la face des cieux et de ses astres. Alors, si les dieux nous aiment ? Dirons nous qu'ils auront préféré s'aimé avant.


CHAPITRE 3

--- Première Fois ---


Jack regardait son reflet dans l'eau du caniveau qui ruisselait de la fraîcheur d'une pluie nouvelle, il inspirait réajustant son petit veston limé. Il avait les cheveux fous, noir de jaie bataillant sur sa petite tête de sale môme de pas même une dizaine d'année. Il s'était inventé un anniversaire pour lui et son petit frère, sa mère n'étant pas resté assez longtemps pour lui permettre de s'en souvenir. Le gosse plongea ses mains poisseuse dans l'eau croupie qui stagnait mollement dans son antre. Il se débarbouilla le visage et inspira, il regardait les épais murs blanc de la citée, les séraphins tournait devant les immenses battant, il ne se rappelait plus tout à fait pourquoi il était là, il était terrifié comme un gamin face à un monstre, sauf que ces créatures terrifiante à un age trop tôt était les forces de l'ordre. Comment pouvait on être si terrifié de la prison à neuf ans ? Il inspira réajustant se veston à la doublure trop chargée de saloperie pour des trafics qui le dépassait, Jack était jeune et il n'avait pas conscience que là était la chose la plus anormale du monde. Il vit John avec son bilboquet derrière le barrage séraphin qui patientait ne regardant que la boule qu'il encastrait sur le piquet. John était plus jeune de trois ans et il savait déjà que si son frère était arrêté, il serait seul et que se soir il ne mangerait pas et se ferait jeter en dehors du squat que Jack avait trouvé, les planquant dans un vieux dressing usé. Le vieux Scott le choperait par les oreilles comme toujours, seul Jack savait armé le petit pistolet à plomb pour le tenir en respect. Si Jack s’arrêtait à cette frontière... c'était fini des jeunes McAllans. Ce que John savait au delà de tout c'était que son grand frère était invincible, déjà tout minot, Jack était son héro.
Alors, le plus vieux des deux McAllans inspira profondément et avança sans crainte vers ces hommes en armure. Il appela son frère agitant son bras, jouant le gamin qui voulait rejoindre son ami. Il passa dans l'ombre de l'ordre en armure d'argent, ils semblaient si grand, ils semblaient si fort, leur arme faisait trois quart de sa taille et leur yeux roulaient comme du gravier sur lui. Aucun égard, les rétines vers son seul interet, John, toujours John, pour lui, il ne scilla pas, trottinant en riant, hélant son petit frère qui le regardait avec un sourire de merdeux. Il jouait de manière si malsaine à des jeux de grand. Les séraphins finirent par reporter toute attention sur la route, l'air dans les poumons bloqués du jeune garçon s'engouffra dans une grande goulée d'air. Jack s'était sentis mourir le temps de ces quelques secondes les pieds dans l'ombre de la prison. Il arriva jusqu'à son petit frère avec le visage fendu de la douleur d'un sourire forcé et le gamin de 6 ans le prit dans ses bras, le serrant. Jack McAllan soupira et lui frictionna les cheveux l'air lointain et fort et le prit par les épaules.
- Fais pas comme si tu doutais de moi ptit frère... fit il doucement l'air si fier et si maitre d'une situation qui lui échappait.
- Je le savais, t'es trop fort, il planta son bilboquet dans le piquet de bois en ricanant.

Le jeune John emmené par l'épaule par son grand frère pénétrèrent le Promontoire, l'aura de l'immense cité les berçant de la voûte de son immense porte. Jack y perdit son regard et la redessinna de la main, la suivant des rétines, au rythme de ses pas. Il se disait qu'un jour il rentrerait sous cette même voute sans crainte aucune, il serrerait non pas avec protection l'épaule de son frère, mais avec gloire.
- John... un jour le Promontoire sera à nous...
Son petit frère rétorqua en ricanant.
- Rêve pas trop !
- Je rêve pas...

Bien sur que si, c'était un songe lointain de gosse paumé regardant les couchés de soleil saignant les dents du Promontoire Divin, il se disait que s'il limait ses dents à son image, il offrirait un lendemain à son frère. Alors qu'il empruntèrent l'artère de Dwayna et que ces yeux se noyait dans les nuages épais et grisonnant en se jour du Colosse, il sentit son épaule se faire hapé dans un coin de ruelle. Au réflexe quand l'obscure présence des maisonnées de bordure s'abbattit sur lui, il dégaina au réflexe son petit pistolet rouillé à bille de plomb pointant celui qui osa le toucher. Sa main ne tremblait pas, il ne tremblait jamais avec le chaud d'une crosse dans ses paumes. L'homme en long manteau limé donna un coup de main dans le pistolet ridicule et Jack de ses petites mains de petit garçons lacha prise et vit l'arme perçé l'air et tombé bruyamment sur le dallage glissant. Eddy le Borgne choppa les joues de Jack pendant que son petit frère médusé tirait sur le manteau de l'homme de un mètre 80 tenant en respect son grand frère.
- Lâche le ! Rugit le petit bonhomme de six ans.

L'homme ricanait en arrachant en silence le veston chargé de produit blanc comme la neige en sachet de carton. Jack lui mordit la main et le type lâcha le veston, hautain le regardant avec dédain.
- Tu as cru que tu étais un grand bonhomme parce que tu bosses pour des gars trop dangereux pour toi, te plains pas, jte laisse tranquille parce que tu es vraiment... trop mignon, fit Ed' avec un ton des plus insultant.

Jack fronça les sourcils, tirant John pour qu'il évite de s'en prendre une à provoquer le danger. Et il tendit simplement la main.

- J'ai fait se que vous voulez ! Mon argent !

Ed' secoua la tête en riant alors qu'il récupérait le veston tombé et murmura un « Adorable », et se retournait ajustant un large chapeau sur son visage, leur faisant dos. Il commençait à partir quand il entendit de nouveau le garçon beugler.

- HEY ! MON ARGENT !

Jack n'avait jamais peur des plus grand et il chopa la veste de Ed' qui se retourna le sondant de son unique œil nimbé d'un rouge sanguin, l'homme lui chopa la gorge et le plaqua sur le mur.

- C'est que ta des couilles à ta place je m'estimerai heureux, t'a rien fait d'incroyable je vois pas pourquoi je ruinerai mes tunes pour une petite merde comme toi qui se croit le roi des rues.

Jack plissa les yeux avant qu'il les referme par réflexe lorsque de Eddy lui cracha au visage. Il sentit la salive coulé sur son épiderme, John hors de lui chercha le pistolet du regard qu'il ne vit pas sur le sol. Le petit garçon paniquait alors que son grand frère lança un regard meurtrier à l'homme vulgaire.
- Ma mère m'a appris la politesse et le respect, répondit avec une voix trop adulte Jack.

- Ta mère était une pute, ptit con elle morte d'une merde parce qu'elle s'était fait rouler dans l'intérieur par tout le promontoire.

- Oui... Ma mère est une pute et elle a fait naître des fils de pute.

Un son sec retentit, une détonation, John écarquilla les yeux et vit Eddy doucement laché la gorge de Jack, le regardant avec un air dominateur au delà de tout respect, même pour des enfants. John se rua sur son frère, le bruit d'une arme il connaissait … et il savait que son frère s'en était prise une. Il vint le soutenir puis ne sentit pas le sang et vit la main de jack tenant le pistolet à plomb, il l'avait ramassé lorsque Ed' s'était retourné et regardait froidement celui-ci. L'homme blessé se tenait le ventre un instant et regardait ses paumes rouges de ses veines, il regardait sidéré le petit garçon et dégaina son colt allant pour le pointer sur John qui écarquilla les yeux face au canon avant qu'il vit l'ombre tenant l'arme vacillé suite à un nouveau retentissement. Il sursauta ferma les yeux. Le son se propagea dans ses oreilles tintant à ses tympans... L'aiguille du temps se figea un instant bien trop longtemps, le cadran narguant l'infini. John rouvrit les yeux Ed' était à ces pieds la tête crevé par une bille de plomb visser dans le crane. Le flou d'une vision happer par la course d'un frère qui vous entraîne dans la peur d'être prit sur le fait, des gamins terrifier à devoir mordre avant qu'on nous bouffe. La main de jack tenait le canon encore fumant, il sentait la poudre sale et ses yeux cherchait un endroit, vide, avide de trouvé une rédemption. C'était la première fois qu'il tuait. Jack s’arrêta devant une bouche d'égout, glissant sur les pavés blancs encore humide d'une récente pluie. Il chuta écorchant ses mains, John le ceintura pour le relevé. Jack toussota et ses mains saignante, il agrippa la plaque de métal forgé et la délogea et sans hésitation se jeta dans le tube noir et sans crainte aucune son petit frère le suivit tombant dans l'eau épaisse et opaque. L'onde fit remuer la souille à l'odeur de merde qui jonchait et noircissait l'eau laissant valser les détritus sur sa surface miroitant d'huile. Jack se tint le nez et remua la surface jusqu'à un tuyau un peu en plus loin, et ce fut à ce moment là qu'il réalisa que son petit frère portait le veston qu'on lui avait usurpé et se laissa tomber sur le bord métallique qui résonna faisant grogner plus loin dans la tuyauterie des Drakes. Jack ferma les yeux et toussota et massa sa gorge. Le plus jeune se mordilla la lèvre regardant son grand frère qui semblait si vieux le temps d'un vacillement de lumière, usé à l’extrême au point ou ces os semblaient se découper à travers sa peau. Puis, il vit sa silhouette tombé à genoux dans un fond d'eau poisseuse et son ombre remua doucement secoué de sanglot. John glissa mouillé sur la rouille de la cavité et vint prendre son frère dans ses bras.
- Jack...
- Je te jure... petit frère je te jure... que bientôt... tout ira mieux, tout ira mieux.

L'étreinte s'échangea dans les bruissements de l'eau pourrie qui résonnait dans la cavité des égouts.

ADD ON EN COUR

Chapitre 4

--- La Cocaine est la Neige des Adultes ---


EN COUR

Chapitre 5

--- Pourchasse Dans La Plantation de Pierre ---


EN COUR

Chapitre 6

--- La Gachette de Midas ---


EN COUR

Chapitre 7

--- La Fin et L'Origine du Monde  ---


Descendez. C'était cet escalier qu'ils descendaient lentement. Quelque part nous les accompagnons un peu, ou nous les accompagneront un jour. L'odeur est de plus en plus forte. Pénétrer cet endroit n'était que le préambule assez étrange qui lézardait sur les murs nappées de fumée, à ce qui allait venir. Ce soir la bande s'était réunis là bas et les deux adolescents y étaient largement conviés. Lorsque l'on fait parti des loups ont apprenait à hurler à la lune comme les autres. Jack commençait à avoir la gorge bien usé de les imiter. Là, c'était la terre inconnue, le sol infoulé de la chair. Etrangement, du haut de ses treizes années, son frère qui l'escortaient semblaient bien plus se delecter du moment. Le tabac dans les yeux, l'alcool remuant l'estomac du bouge. Tout était d'un brun terrible, flatter et embrasser amoureusement de l'ondulation des flammes des candélabres et lustre. Les tentures pendait d'un rouge cramoisie comme une rivière de sang séché du plafond jusqu'au sol. Le plus agé des deux caressa la crosse vissé dans son pantalon flattant son entrejambe. Il commençait à apprendre à ne plus s'en séparé. Un revolver chromé à crosse de bois vernis, qui était devenu son nouveau frère. Une femme au corps vétut de simple étoffe translucide et fluide comme l'eau sur les roches prit une main de chaque frère, les faisant transpercé doucement la chair des tissus flottant qui faisait décoration. C'était comme entré dans un corps chaud et brulant, vivant et palpitant. Le canapé sur lequel ils s'assirent semblait respirer, mugir et gémir. C'était une sensation de cocon de chair dans la brume des fumées illégales. Les deux frères se prirent à doucement laissé allé l'esprit dans l'ennivrement de l'espace. La chaleur y était dense, aussi quelque bouton de chemise de coton à manche bouffante, se retirait, l'on apprenait à se vautrer comme les illustres vizir d'Orr et se comporter comme un homme dans sa plus grande extase ou déchéance. C'était au plus profond des sols, au plus profond de la vertu. Aussi, tout ces camarades armé jusqu'au dent s'exposèrent comme des califes du paradis de la chair. Il riait doucement en regardant les deux jeunes hommes encore pourvu d'une certaines innocence.
Alors, que seul se sons de hyène, de banjo et de souffle humain dans cet ambiance de desert aux arabesques éloniennes, résonnaient; le premier verre fut mit en main de Johnny. Bien des parents auraient jugé que le garçon était bien trop jeune, il n'était nulle autorité depuis longtemps pour l'avoir empeché de se roder le gosier sur les pourtours d'un verre d'alcool translucide aussi amer que son passé. Jack ne parlait pas, il regardait son frère, l'air incertains, John semblait si bien se calquer à cet univers de débauche qui naissait entre ses doigts. Son grand frère lui demeurait dans une certaine crainte, celle de grandir plus qu'il ne l'avait déjà fait, allé savoir, peut etre était ce cette responsabilité de son cadet dont il s'incombait nuit et jour. Ce soir, ils avaient accepté de tomber dans le gouffre, d'allé toucher la peau, la sueur et la cyprine, jouir de la bassesse des désirs de l'homme. Jack ignorait s'il était pret. Il ne l'était surement pas. Mais comme tout rite initiatique, cette épreuve devait finir par un jour bien être franchie. Jack avait été droit durant tout ce temps, étrangement vu se qu'il cotoyait au quotidien, mais c'était la droiture d'un patriarche qui le guidait. Il était devenu le maitre de famille depuis un moment d'ailleurs. C'était la fin d'une ère se soir, la fin d'un état de garçon pour devenir des hommes. C'était un peu la fin d'un monde. John rua le liquide clair dans sa gorge et fit claquer le verre soufflé au couleurs rougeayante sur la table basse. Il émit un rale secoua la tête, certains de ces camarades de sang applaudirent l'exploit et se fut au tour de Jack d'etre munit d'un verre et encourager d'une tape virile dans le dos. L'ainé bu sans broncher, ça ne serait pas la première cuite qu'il prendrait.

- Faut se détendre, fit leur collégue Atcher alors qu'il les regardait et remplissait une multitude de shot.

- Je suis détendu ! ricanait John aimant se donné ses airs de grands gaillards à l'aise.

Atcher rit et serra la main du cadet des McAllans. Pour ce brigand, cet assassin à la petite semaine, John avait se grain de folie que Jack murait trop derrière un sérieux despotique. Il vint s'asseoir à coté de john et lui passa le bras autour des épaules et commençait à lui montré ses créatures mouvantes, suave et sensible derrière les tentures semi opaque. Le ballet d'ombre était effroyable de sensualité et manifesté au fond de quiconque l'envie d'écarté les tissus pour contempler le corps et le mouvement.

- Tu vas voir mon gars... ça va être la plus grosse barre de ta vie, de la dope. Le kiffe que tu n'oublieras jamais, tu vas gouter au meilleurs fruits des meilleurs arbres ! fit atcher dans la transe des fumées parfumée de chanvre venant des encensoirs. Ici ça déconne pas c'est pas de la merde se bordel. Nec plus ultra rien que pour ta première fois !

Jack avait une certaine révérence pour le lieu et l'ambiance, se disant qu'un endroit pareil couterait une fortune, mais qu'on s'y laisserait si bien absorber qu'on en payerai le prix.  

- Combien ? fit jack pragmatique buvant un second verre en espérant obtenir le calme de son frère.

- On a déjà choper ça sur vos payes les gars, mais on pouvait pas vous laissez comme ça ! On voulait vous offrir la découverte du cul d'une femme de bonne qualité. Faut vous ménagez ! fit Park à l'autre bout du canapé.

John jeta un regard à son frère, lui murmurant dans le silence que tout allait bien se passer. Le petit frère contemplait la main de jack proche de son revolver et de sa posture droite et guindé. Seul son frère aurait pu comprendre que l'inquiétude était à l'égard de l'autre et nullement des évenements à venir.
Alors, que l'air chargé et cette ambiance boisé avait fini par usé les retines, les filles commes des ombres canthienne vinrent se découpé au regard candide des deux hommes. Leur comparse les présentaient une à une tel du bétail d'une tel ou telle qualité. Ce n'était pas de la mysoginie, juste un état de fait, l'industrie du corps et ses couperets d'abbatoire de chair.  Jack ne voulait en aucun cas que son choix celui d'un autre, quitte à ce plié aux régles ils voulaient en être le maitre. C'était ça manière éternelle de relativisé l'oppression, de se donner cette impression d'avoir un libre arbitre, d'être dans un évenement de démocratie ou son vote compte. La réalité néanmoins, il ne l'ignorait pas. Il était un mouton dans un joli costume de loup qui belait bien. Il s'approcha cigarette au bec d'une jolie femme, au visage poupin et cascade d'or coulant sur ses formes pulpeuses. La prostituée avait un regard bleu d'eau cristalline, semblable à un ange adolescent et assexué. L'air qu'elle expirait était emplis de crainte et de faiblesse, ses pupilles fuyantes, minaudante dans cette image de perfection sainte et innocente. La jeune catin était là depuis bon nombre d'année, mais la fragilité qu'elle surjouait séduisait Jack qui avait se faible terrible pour les jolies blondes et pale ascalonnienne. Ils avaient toujours l'impression de découpé une femme dans la lumière et le blanc lorsqu'il voyait une jeune femme de ce genre. Pourtant, le McAllan n'était pas connu pour sa poésie envers les demoiselles, d'ailleurs il avait un certains mépris pour ces dernières, mais celles ci lui rappellait la condition de la pureté féminine qui le mettait en émoi et suscitait son respect. Jack ne démordait pas de son role de canidé et vint lui saisir la machoire, lui forçant à tourner son visage de tout coté pour la jauger, passant ses doigts dans sa bouche pour vérifier l'état de ses dents... puis finit par exprimer "Elle".

- Qu'elle chance j'ai ! fit la jeune femme perdant tout son aspect prude en prenant son intonation de voix provocant.

La pute au visage de divinité, ne mentait nullement dans ses mots. Elle aurait pu usé de ces flatteries pour satisfaire le client, mais Jack était un jeune homme d'un charme rare. Ces cheveux noirs épais en bataille sur sa tête, son air de patriarche à la machoire ciselé dans le roc, ses lévres bombés ainsi que sa barbe de quelque jours, faisait de lui un homme d'un visage assez élégant. Il n'avait nullement ce genre de faciès apparenté au brigand, mais celui d'un male protecteur à la plastique entretenue. Mais, combien aurait parlé de son sourire ? Il le tenait de sa mère, envoutant et rassurant, le regard d'amande lumineux du noisette de ses yeux. Personne ni même la jeune femme n'aurait imaginé le passif d'un homme avec une telle apparence d'une simplicité et d'un charisme naissant naturel. Aussi, elle n'attendit guère longtemps pour le happer aux étages, traversant tissus et fumerolles, alors que le regard mature de Jack se tourna un dernier instant vers son frère lui souriant.  
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Chapitre 8

--- L'Ascension des Zéros ---


EN COUR

Chapitre 9

--- La Voix Blanche ---


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Chapitre 10

--- De "Il" a "Jack" ---


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Jeu 29 Jan - 23:39

AXE II

Chapitre 10

--- Pour Toi Mon Frère ---



« Ca va changer… C'est étrange, je n'ai eu que quelque seconde, j'ai entendu l'éclat, l'oeil noir qui me regarde. Je ne l'avais pas attendu. Je l'ai entendu et pourtant je ne l'attendrais plus ni ne le verrai. Quelque part au fond de moi, je le savais. Bien que désormais, je ne le saurai plus jamais. J'avais murmuré tant de mot à Beth, je lui avais appris à m'oublier que l'oeil me jugerait au plus bon. J'ai mentis, j'ai salis mes mains pour pouvoir faire croire en cette chose que le pardon, existe, que rien ne nous définit vraiment au début. Nous sommes des visibles si invisible, qui prèchent se que nous ne verront jamais au lieu de suivre la voix de Saul pour voir se qui est.
Je ne me salirais plus les mains, je ne verrai plus. Je n'étais qu'au prémices d'une vie, avalé par un empire d'argent et d'orichalque, des morts en « bière » et de croyance comploteuse. Je regrette ? Non. Je n'aurai plus l'occasion de regretter. Se qui pénétra l'os et la chair le fit alors que j'étais sur.
Désolé, John... Désolé... perdu dans des raisons honorable chercher l'irraisonnable, l'enfer est pavé de bonne intention. Je mentirais encore en le disant. J'aimais le goût de miel et de sang, l'acide et l'amer du fer des balles, la salive et la cyprine sur ma verge, le sucre du pouvoir et la fraîcheur de mon trône de diamant. Je ne regretterai plus mais de toute les manières que regretter. Je t'ai offert le plus beau des mauvais royaume, une couronne en abeille de fer chaud, nous n'étions rien et désormais 1+1 était égale Mille. Je t'avais promis la voute du ciel et le fertile de la terre, je te la donne, à coup de feu sec en pleine tête. Je t'aime John. Plus que ma vie. Tu es tout ce don je suis le plus fier, au couvert d'une protection par balle, je t'ai endormi mais en toi à grandit le murmure d'une fraternité, celle qui ne tombera jamais, sous le voile de l'incapacité j'ai vu la veine des McAllans se forger du plus beau des aciers. J'aurai tout donné, mon or, mon amour, ma vie, surtout ma vie, pour que tu puisses resté. Nous aurions du peut être naître au même moment à la même heure, et pourtant nous sommes un pour deux. Je respire ton air, pourtant, je ne le respirerai plus. Il m'est arrivé de t’abandonner, pourtant je ne peux plus t'abandonner. Tu m'as offert le luxe sans prix d'aimé, tu m'as donné tout ce qu'un homme aspire, une famille. Tu es ma famille. Petit frère, merci. J'ai fait couler des rivières d'or pour ne plus jamais avoir peur et je m'y suis noyé, fou obsédé, usant de compassion pour me donner une raison. Mais je m'en fou et je continuerai à m'en foutre. Désolé, John.. Désolé... quelque part, je l'attendais, je le sentais, la vipère sifflait à mes pieds depuis tant de temps, juste le temps de tout te léguer, le monde, la drogue, les putes, l'argent, ma femme, ma fille et ce que tu ne vois pas encore. Tu comprendras vite, que ce n'est pas un aurevoir, ni un adieu, mais une bonne journée autour d'un rhum café. Je n'ai jamais été plus présent qu'en étant pas là. Pourquoi ai je fais tout ça ? Pour toi. Et un peu pour moi... surtout pour moi avec beaucoup de toi.  Quelques secondes pour autant pensé ce que je ne sais pas dire. Je ne savais pas si bien parlé de certaines choses et je n'apprendrais plus. Ma main est froide. Tiens, ça y est l'os à explosé doucement cela s'enfonce dans ma tête. Trop peu de secondes pour bien énonçé. Je serai bref car les lumières s'éteignent. Tu es un McAllan mon frère. Je ne suis pas désolé, car je suis à tes cotés. J'aurai voulu te dire tout ceci, j'aurai voulu que tu l'entendes, désormais tu ne m'entendra plus et je ne dirai plus. Ca y est tout est noir, les dernières étincelles pour dire que : Je suis Jack McAllan, je suis mort et ce n'est que le début de l'histoire de mon Nom... »
Jack McAllan
 

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