Note : Ici vous pouvez faire des compte rendu de votre expérience event ou usuelle du camps en temps de guerre. Ce que vit votre perso, mais en plus descriptif. Ces comptes rendus seront la mémoire de la Guerre par Replay.
Zyuzky La Main Gauche Replay
Age : 26 Localisation : Bretagne
Jeu 11 Juin - 22:22
"Je suis Daherys Vaillant de la grand chasse et nul n'a pu voir ce que j'ai vu..."
"Aujourd'hui le monde pense que je suis un fou égoïste. Le révolutionnaire,le tyran, le martyr, le sage... On m'a donné bien des noms. J'ai sentit l'ombre de l'ouest dans le rêve. La chaleur. La fin des temps... J'ai vu ces oiseaux de métal tomber et se briser les ailes contre les branches animées..."
"... les sylvaris ne feront et ne pourront faire partit de cette guerre. Notre détermination est sans fin mais notre cœur, lui, n'en fait cas ça tête si proche de son créateur... J'ai vu les créatures au-delà du désert de l'ouest. Au-delà des racines qui nous barrent la route. Nos frères fous. Nos faux frères."
"Je suis Daherys et cette guerre sera ma dernière guerre."
Y a Des Marqueurs La Main Droite Replay
Age : 30 Localisation : Avec DSK
Dim 14 Juin - 1:45
[ZONE BANDIT]
"Par Yadenax 3000"
- Chronique de Max/Mister Acid -
Texte.1 "Meet Max":
( Inspiré de Mad Max, j'ai conçu un pnj que vous rencontrerez surement dans le maguuma empirum largement inspiré de l'univers et il s'appelle Max pour le clin d'oeil ^^ j'men cache pas ! enjoi ! )
Sound:
Tout au bout de la roche, il y a moi, pied balant dans le vide, admirant le sable se soulevé légèrement par la brise chaude de l'ouest. Les sales races mordrémique remue en contre-bas et comme d'une habitude certaines, il se moque absolument de ma présence. Je sens la sève à plein nez et tout colle avec une effroyable manière, l'une à l'autre. Tissus à tissu, peau à tissus. Ma crète hérissée est engourdi de sable, de soleil et d'une certaine dose de sueur. Une drole de créature réside derrière moi un sorte d'amalgame de chair habillée, qui rugit et rumine dans un bruit immonde. Des rales en do mineur et un souffle execré au delà du vent. Racontons comme celà est depuis désormais des mois, le pourquoi de cette bête à multiple bras, rampante, léchant l'inertie et s'y frottant le ventre.
C'était il y a 15 ans, Beetletun et ses grandes intrigues, cette bourgade de la campagne avait toujours nourrit une bête de secret massive et aussi insidieuse que la chaleur de l'ouest. Une équipe aussi fine que la notre n'aurait jamais dut se faire appréhendé, c'était pour une stupidité sans nom que voilà Clarks et Goster se sont fait menotté. Il était ces ames de pélerin renégat que la loi exclue au banc de tout. J'étais là à leur tribunal. Le désert respire, on l'ouie amèrement, comme celle de leur respiration à se tribunal et lorsqu'il se tue au bout de la corde. Qu'avons nous fait rappelle moi Max ? Oh oui... tout s'éclaire, un massacre, que dis je un bain de sang répugnant. Une gosse que j'avais travaillé au corps muni d'explosif, les gosses à l'oesaphage oté de la gorge, j'mettais barré surement plus vite que les autres et pourtant je n'étais jamais loin. Le reste de se qui cru s'échappé finirent dans les mains des séraphins et moi, le crane et la colonne entamé par l'acide et le feu. Vivre dans un trou aussi perdu que la campagne, ce n'était absolument pas la mince affaire, pas une tune et pas une gueule à montré au risque de sentir le rèche d'une corde à mon cou. Je me souviens du regard de se serpent là, d'acide et de feu, aux long cheveux chatains délavé, elle était bonne cette salope, au pupille d'amethyste. Un an à croupir en fuite, mis en échec, par une pièce mineure, à rogner les racines et laisser pousser une barbe de grand sage. L'image cisellée du Promontoire avait largement perdu son charme. Rien n'aurait du me retenir plus à avoir l'air de se fou des bois volant bourse au escorte bourgeoise de Beetletun, comme le plus subtile des arnaqueurs. Certaines des femmes que j'extorquai avait même parfois un gout de relan de mer et d'une cyrprine au parfum de rose. Dans l'absolu ça rétorquait, une certaine futilité des choses. Or en main et femme bien trop facile pour l'aspect pudibond, agitant un éventail au grand été, qu'elle se donnait. Ou alors était je d'un charme fou ?
"Max ? Max ? Max ?"
Je me retournai laissant loin devant moi les souvenirs et regardait le monstre informe, elle m'appellait, cette douce au regard d'amethyste, sulfureuse comme le glas, au cuisse doucement écarté. Son jeune age ne m'avait pas rebuté, elle renifle l'air et me cherche. L'inertie rampe et la chaleur suffoque. Rappelons nous comme celà s'est passé ? Oh oui, la main prise dans le sac, un tronc scillé et les doigts suivirent et là j'entendu les fins mots de la loi de Kryte, l'Exil de l'Ouest aussi légendaire qu'il créa des fanatiques. Dix foutus années à me faire des rails de sable chaud et à apprendre à aimé ça. Je faisais roulé les cailloux entre mes dents et j'avais appris à manger l'humanité. Max... qui est Max ? Ce sable était mon sable, ma maison, mon empire, là rien ne me pourchasse, j'en connais le moindre recoin. Un reptilien et sa fleur sauvage à ramener son ambition à ma construction de terre molle et de falaise escarpé, on vit ensemble, mais je ne l'aime pas vraiment. On ne va pas même causer de l'empire de Metal installé à l'ouest.
"Max ? Max ?"
Encore elle, elle est partout... elle me traque cette salope, mes yeux vert vif hallucinant roule en tout sens. Poingcanon m'a vu la tronché, des yeux d'amethyste... des yeux d'amethyste, qu'est ce que se fut bon, terriblement bon. Mes paupières s'ouvrent puis j'aperçois Extasy, c'était son timbre, son grave, sa note cosmique et sa gueule de merde. J'inspire mon oeil le défigure, il n'est pas aussi beau que cette créature sournoise à mes talons, j'abaisse mon bandana sur mon visage, mes vetements sont des rapiècements du Pacte et de type paumé.
" Acid Tu es encore fou ? "
Ma voix ne parlait pas et je continuai de mirer toute la deception d'etre face à un genre tel que celui de Extasy.
" On a récupéré les fringues de la pute... son cadavre fait plus jouir les gars... tu penses qu'elle est encore assez fraiche ? "
Je me levai et rejoignai d'un pas lent le troupeau qui s'était ameuté autour d'un corps frèle maquillé d'une balle dans la tête, nu et durcis par la mort. Elle était là étendu le regard dans le vide, et je vins m'asseoir sur son ventre et la regardait, iris d'un bleu asuré, cheveux d'un chatain délavé... ce n'était pas encore ça... le sexe nulement épuré. Quoi qu'il en était je la regardais attendant, avant de mirer l'Ombre poser sur une falaise au loin. Je fini par égosillé ma gorge pleine de cailloux roulant.
" Ils ont rammené la bête ici... putain de Pacteux... alors qu'on crève la dalle... comme si ce n'était pas assez d'emmerde comme ça... "
Mon nez se fronçait, mon visage se tordit d'une expression de colère intense. Mon sable, mon soleil, mes falaises et un empire de métal marchant comme une sordide mécanique sur mon ouest, il déformait tout, absolument tout... comme Poingcanon, ils déforment toujours tout se que j'entreprend, depuis l'est jusqu'au plus profond du trou du cul de la jungle.
" JE TE VOIS MAX !! "
Un cadavre me parlait. Cette femme au cadavre mortifié se redressa brutalement et venant aggripé mon visage et plongeant un regard violacé dans le miens. J'écarquillais les yeux et vint rageusement planté mes crocs dans son visage avant de faire rouler un bout de pommettes entre mes dents vivement d'un air non chalant. Le corps n'avait pas bougé, alors que je la machai avant de la déglutir. Plusieurs n'attendirent pas plus longtemps autour de moi pour venir prendre membre en bouche et m'imité salement, d'un bruit de chair encore molle. Je continuai à macher regardait les yeux bleu ouvert... Sale pute va, t'aura au moins la vertue de me caller la faim. Ca grogne dans le creux de mon plexus, ça hurle, ça mugit ... AHOUUUUUUU... j'perd la tête je crois. Le désert respire... le sable se soulève... la nuit tombe et l'Ombre s'envole. Un autre vint me rejoindre au bout de la falaise des heures plus tard, je m'y étais reposté, pied dans le vide, les y agitant comme un enfant.
" Tu r'garde quoi Mister Acid ? "
" J'regarde Le trou violet là bas ", Emit je en pointant l'enclave de l'indigo.
" Et s'passe quoi dans le trou de violet "
" Elle me cherche... elle m'attend... faut que le pacte la butte... et après on mangera bien... plein... tout un tas... les autres ploucs vont revenir avec du Fuel, il m'en faut... on a besoin de munition et de fuel... de l'eau aussi, si il prenne la bas, on mangera bien... plein... tout un tas... le fuel... "
" Tu es encore fou. "
Texte 2. Who Am I ?:
EN COUR
- Chroniques du "Gouffre" -
COMING SOON
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Y a Des Marqueurs La Main Droite Replay
Age : 30 Localisation : Avec DSK
Mer 29 Juil - 21:37
[MEMOIRE DE JONAS ARKER]
"Toujours par Yadenax 3000"
-Discours du Capitaine Jonas Arker (Nomination)]
"J'arrive, entre deux lattes, pas de discours, je n'étais pas au courant. Je suis ému. Capitaine de la XIIIième, les "Chanceux" comme on les appellent, se n'est pas rien. Je devrais surement remercier mes parents et toute ma famille, mais remercier ne sert à rien. Remercier c'est devoir à quelqu'un qui ignore sa valeur. Hors, vous savez la votre.
Alors, j'aimerai parler à vous tous, avant-garde, mes frères, mes soeurs.
Depuis toujours, il est l'ombre, grandissante sur les landes, sur les mers. Certains pleurent, espèrent, d'autre se battent. Pourquoi est ce que l'on se bat ? Car nous avons gouté le miel, la chaleur et toute ces choses qui importent à l'ame. Nous avons vu les rosées du matin et les fraiches soirées. Beaucoup aspirent à l'héroisme, alors qu'etre un héro est simple, c'est d'aimer ce monde, ces choses qui nous font battre le coeur. Etre grand est d'aimer assez pour l'etre. On ne parle pas d'amante ou de famille mais juste de se gout pour respirer, rire et même pour la tristesse. Un héro ne meurt pas, car il est immortelement vivant. La mort est une anecdote, car si une ame meurt pour vivre alors elle aura tout accomplit en vivant jusqu'au dernier sang. Mais l'ombre avance. Le peur grandit, mais la peur n'est pas exister, elle est une attente infinie, une langueur amère.
Mais il est un mur.
Un mur qui n'a rien à envier à la pierre et aux hauteurs. Il n'est pas immense, c'est un mur de coeur battant et de sang bouillonnant. Celui ci marche, il est rempart contre cette langueur, contre cette crainte, ce râle dans les esprits qui n'ont pas la force pour se battre. Il n'est aucune honte à ne pouvoir lutter, car l’héroïsme n'est pas dans les muscles, ni dans la grandeur d'esprit mais dans cette volonté inconditionnelle pour vivre. Car il est un mur, lui, armé, brisant la tempête qui martèle leur armure; cassant la mer déchaînée et les vagues intenses, les vents brûlants. Et ils continueront à marcher.
L'oeil dans la nuit et le froid. Les Veilleurs dans le Val et la chaleur. Il est un regard qui protége ceux qui n'ont pas les armes pour le faire. Ils sont les derniers visage vu par l'ennemis. Ils sont vivants, fait d'émotion et de sentiment, et pour celà affronte sans crainte. Aucune peur ne peut briser se qui est nourri de ses choses qui les poussent à marché. Nous vivons, nos coeurs battent, nous sommes plus puissant car nous pensons, respirons sans ordre. Nos pas ne détruisent pas ils construisent. Il est un mur, un mur nimbé d'ame et d'espoir.
NOUS SOMMES SE REMPART ! NOUS SOMMES L'AVANT GARDE !
Et je suis fier de pouvoir marcher avec vous..."
Lilly Doll La Diplaymate
Age : 30 Localisation : Quartier de Salma, Promontoire
Jeu 30 Juil - 23:31
Lettre de Violine Monroe. Retrouvée dans sa tente dans ses thèses et près de son diplôme d'historienne.
« A mes chères petites sœurs,
Quand vous lirez ces lignes, le temps aura fait son œuvre pour moi. Je ne sais pas de quelle manière je serai partie, ni dans quel état. Mais je sais au moins une chose. Je serai partie avec la fierté de vous avoir eu avec moi, jusqu’à mon dernier souffle. Je ne suis pas très expressive à l’écrit. Je dois tenir ça de papa. Aussi je serai brève.
Ne me pleurez surtout pas. Malgré les souvenirs, malgré les disputes. Souvenez-vous seulement des moments partagés ensemble, dans notre tente, en train de parler des rêves tordues de Bertille, du jargon de Lys et de mes relations sentimentales. Continuez d’avancer comme si une corde vous propulsait à l’avant. Quand vous vous sentirez à bout de souffle, posez-vous, regardez autour de vous, et profitez de l’instant. Allez voir des hommes, jouez avec leur beau petits culs comme j’aimais le faire ou créez des histoires. Comme Lys sait si bien conter les choses, malgré sa pensée abrupte parfois. Mais j’ai confiance. Bertille corrigera les fausses notes. Elle a toujours su arrondir les angles. Gardez-vous l’une pour l’autre et avancez ensemble. Vous avez toujours été invincible ensemble. Bien plus que moi en tout cas.
Quant à moi je ne demanderai qu’une chose. Brulez mon corps et répandez les cendres là où je suis morte, près de ma terre adorée qui m’a portée jusqu’au bout. Mes études, mes livres, mes titres, je vous donne tout. Faites-en ce que bon vous semble. Créez-vous un collier en papier avec mes théories à la con ou bien donnez tout. Qu’importe au fond si j’ai marqué ma trace au Prieuré ou non. A partir du moment où j’aurais pu marquer votre cœur par mon affection, alors j’aurais réussi à rentrer dans l’histoire. Et pas n’importe laquelle.
L’histoire de mes deux sœurs. Car au fond, vous avez été ma plus belle histoire les filles. Vous avez été ma plus belle aventure et mes plus belles emmerdes. Rien que pour avoir vécu ça avec vous, je serai prête à reculer pour tout recommencer. Alors bordel, vivez aussi. Si vous souriez, je sourirais assise avec mon petit Grenth une bonne pipe à la bouche. Faites-moi rêver les filles. Ecrivez-moi de nouvelles histoires.
Je t’aime Lys. Je t’aime Bertille. Retenez-le… je vous aime mes sœurs adorées.